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by WERY DEV WEB

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AZA MAG BUSINESS

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MED’INNOVANT AFRICA

Face aux crises comme aux défis économiques et environnementaux, les innovations de résilience et les solutions durables doivent plus que jamais être soutenues pour répondre ensemble aux enjeux de développement et d’aménagement d’un territoire capable de surmonter les chocs.

Après une première édition réussie qui a vu la participation de 180 startups et la distinction de 3 pépites africaines aux projets inspirants, Euroméditerranée lance la 2e édition de son concours destiné aux startups africaines qui permet d’accélérer les projets de startups africaines, sur des problématiques liées au développement des villes méditerranéennes et africaines durables et résilientes.

Ce dernier a pour objectif :

  • De détecter des « pépites africaines » capables d’expérimenter leurs solutions innovantes, le cas échéant, sur l’Ecocité Euroméditerranée ;
  • D’installer ces startups sur le périmètre d’intervention de l’aménageur dans l’objectif de faire croître leurs parts de marché vers l’Europe ;
  • D’attirer des TPE, PME comme des groupes français et européens qui souhaitent se développer en Afrique.

Alors que cette nouvelle édition place la résilience au cœur de sa démarche, les pépites et porteurs de projet africains sont invités à proposer leur candidature du 1er juillet au 31 août. Après analyse des dossiers et sélection par un jury d’experts, deux lauréats accéderont au territoire d’expérimentation d’Euroméditerranée, pour tester et déployer leur solution au cœur de la 2e métropole de France. Ils bénéficieront d’un accompagnement dédié et remporteront une dotation financière pouvant aller jusqu’à 7000 euros. Ils seront également amenés à pitcher leur projet sur scène à l’occasion du sommet international Emerging Valley (7 et 8 décembre à Marseille), une occasion unique de visibilité et de networking.

L’Afrique est aujourd’hui un marché émergent majeur. L’innovation technologique s’y développe de façon exponentielle, stimulant le déploiement de nouveaux usages et la création de startups.

Source : afrique.latribune.fr et www.euromediterranee.fr

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E-commerce

L’e-commerce est un secteur qui ne cesse d’évoluer depuis ces dernières années. Le nombre de sites qui vendent soit des produits ou services ne cesse d’augmenter pratiquement tous les jours. Nombreuses sont aujourd’hui les sociétés qui choisissent d’ouvrir leur boutique en ligne dans le but d’accroître leur visibilité et profiter du développement rapide des nouvelles technologies.

Cependant, il est important de savoir comment ce secteur marche pour pouvoir y évoluer.

PRINCIPE DU E-COMMERCE

L’e-commerce ou commerce électronique correspond à la vente en ligne de biens ou de services au travers de sites web marchands. Il se caractérise par une vente aux consommateurs à n’importe quel lieu et à n’importe quel moment. Il peut s’agir de sites internet pour la vente d’objets publicitaires, de meubles, de cours ou encore de produits cosmétiques, entre autres. Ces transactions commerciales électroniques se font principalement grâce au réseau internet, même s’il existe d’autres types de réseaux dans le cadre du commerce B to B (inter-entreprise) par exemple.

L’e-commerce englobe également d’autres activités comme : la mise à disposition d’un catalogue électronique, le paiement en ligne, le service après-vente, le service clientèle, ou encore la réalisation de devis en ligne.

CONCEPT DE LA BOUTIQUE EN LIGNE

Créer un site e-commerce vous permet d’être ouvert même quand votre boutique physique est fermée. Avec un site web, votre entreprise est ouverte 24 h/24 7j/7 c’est-à-dire 168 heures par semaine soit 4 fois plus que votre magasin. Par conséquent, vous pouvez réaliser des ventes même pendant les heures de fermeture de votre boutique physique.

La boutique en ligne comprend une partie « front-office » et une partie « back-office ».

Pour la partie « front-office », on y retrouve en général les composants suivants :

  • Un panier virtuel ou caddie virtuel qui renferme l’historique des achats du cyberconsommateur lors de son parcours dans la boutique.
  • Un volet « suivi des commandes » pour permettre le suivi du traitement de la commande du client et parfois même l’obtention de renseignement sur les conditions d’acheminement du colis.
  • Un catalogue électronique qui présente les produits disponibles avec leurs prix et leur situation en stock.
  • Un moteur de recherche pour faciliter la recherche d’un produit par le client.
  • Un système de paiement en ligne sécurisé.

L’autre partie se nomme « back-office ». Cette deuxième partie est totalement dédiée à la société propriétaire de la boutique en ligne. Elle sert notamment à l’entreprise à gérer et à administrer son site de vente.

LE MOBILE MONEY, LA MÉTHODE DE PAIEMENT POUR LE E-COMMERCE AFRICAIN

L’obstacle majeur pour le commerce en ligne en Afrique a toujours été le faible taux de bancarisation du continent africain. Toutefois, cet obstacle n’a pas été un frein majeur puisqu’il y a l’apparition de nouveaux moyens de paiement grâce à l’usage du mobile. Désormais, il est possible d’utiliser les services de mobile money pour faire des transactions sur les sites de commerce en ligne.

Tout en espérant que cet article vous a été utile, nous vous donnons rendez-vous la semaine prochaine.

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Mobilisation des entreprises de la tech contre le coronavirus

Depuis quelques semaines, le coronavirus (Genre de virus à ARN responsable d’infections respiratoires et digestives chez plusieurs espèces de mammifères dont l’être humain) commence à faire des ravages en Afrique. En effet, L’OMS (Organisation mondiale de la santé) a dénombré 635 cas confirmés positifs ce 19 mars.

C’ est ce qui a poussé les entreprises de la tech africaine et internationale qu’elles soient actives dans l’e-commerce, l’information ou la santé à déployer des solutions pour freiner la pandémie.

Frais de livraison gratuits

Le 16 mars, la licorne africaine de e-commerce Jumia a ainsi annoncé un partenariat avec le groupe britannique Reckitt Bensicker, spécialisé dans la fabrication et la distribution de produits d’entretien et de produits pharmaceutiques.

“Ce partenariat permettra d’assurer un approvisionnement régulier en produits d’hygiène tels que les pains de savon, les désinfectants et les produits liquides pour le lavage des mains, à un prix abordable. […] Jumia ne prendra pas de commission sur Dettol, JIK et Harpic, diminuant ainsi le prix à la consommation”, annonce l’entreprise cotée Wall Street. Pour assurer les transaction et la distribution des produits dans ses huit marchés (Algérie, Égypte, Ghana, Kenya, Maroc, Nigeria, Afrique du Sud et Ouganda), Jumia a en outre développé une page spéciale baptisée “Stay Safe”, agrégeant tous les produits. Pour sa part, Reckitt Bensicker prend en charge les frais de livraison.

Dons d’équipements

En Chine, un autre acteur du e-commerce semble lui aussi être très concerné par la pandémie. Après avoir annoncé au début du mois le développement d’un algorithme capable de détecter le coronavirus, Jack Ma, le fondateur de Alibaba a déclaré lundi 16 mars que sa fondation personnelle et celle de son entreprise vont envoyer 1,1 million de kits de détection, ainsi que 6 millions de masques de protection et mille combinaisons à Addis-Abeba. La capitale éthiopienne, qui est membre d’eWTP, une plateforme de commerce mondiale que développe le groupe chinois, sera chargée de distribuer les équipements dans les 54 pays du continent.

Plateforme de communication institutionnelle

En Afrique de l’Ouest, une start-up béninoise baptisée Réseau d’échange entre médecins d’Afrique (Rema), propose de mettre à disposition gratuitement sa plateforme de communication institutionnelle à destination des médecins aux ministères de la Santé des pays d’Afrique de l’Ouest. “C’est un service normalement payant qui permet de diffuser des messages ciblés – sur l’application ou par SMS – selon le statut et la localisation des professionnels”, explique Sedric Degbo, médecin généraliste basé à Cotonou et fondateur de Rema.

Le système qui bénéficie de subventions de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) et du soutien du Centre du commerce international, une agence qui dépend de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et va être adopté dans les jours qui viennent par le ministère de la Santé béninois.

Rema a également développé une application destinée exclusivement aux médecins – 6 000 inscrits à ce jour – qui leur permet d’échanger leurs expériences et bonnes pratiques en temps réel. “Vu le contexte, l’application va être également ouverte aux infirmiers et sages-femmes”, affirme celui qui a remporté le concours de pitch de Seedstars au Cameroun en 2018.

Les incubateurs face à l’urgence

Les start-upper n’en restent pas moins face à la lutte contre le coronavirus, eux aussi apportent leur contribution.

Au Nigeria, l’incubateur Co-creation Hub (CcHub) a indiqué vouloir accompagner et financer via des tickets de 5 000 à 100 000 dollars les porteurs de projet dont le concept répond aux besoins suivants : “l’éducation du public et la garantie que les bonnes informations atteignent même les endroits éloignés, le soutien aux personnes infectées et les plus vulnérables, la production locale d’équipements médicaux essentiels et l’accompagnement de notre chaîne de valeur alimentaire, des producteurs aux consommateurs, en cas de restrictions de mouvement”. L’appel vaut également pour les entrepreneurs kényans, puisque CcHub gère désormais l’incubateur iHub, à Nairobi.

 

Source: www.jeuneafrique.com

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Accès au mobile

Détenir un téléphone portable devient de plus en plus indispensable vu que les sociétés se révolutionnent avec l’avènement du numérique . Mais selon une étude publiée en mars par GSMA, qui représente les intérêts des opérateurs de téléphonie dans le monde, le mobile devient de plus en plus un marqueur d’inégalités entre les deux sexes.

Près de 74 % des femmes ont accès au téléphone portable en Afrique subsaharienne, expliquent les auteurs du rapport, selon lesquels le Kenya, l’Afrique du Sud et le Nigeria font figure de bons élèves, avec des taux d’accès des femmes au mobile de 86 % pour le Kenya et de 83 % pour les deux autres. Mais même au Nigeria et en Afrique du Sud, un écart de 7 points demeure entre les hommes et les femmes.

En Ouganda et au Mozambique, le fossé est abyssal : quand 84 % des hommes possèdent un téléphone portable en Ouganda, seulement 69 % des femmes en ont.

Le prix du smartphone, un frein pour les consommatrices

Si l’internet mobile se développe sur la plupart des marchés, 74 millions d’Africaines n’y ont toujours pas accès, une différence de 37 points avec les hommes. Cette faible pénétration du smartphone s’explique par les coûts élevés tant de l’outil que des crédits internet, et par la difficulté de ces femmes à se familiariser avec la culture numérique. Les smartphones, dont les prix varient entre 100 et 200 euros pour les entrées de gammes, demeurent chers pour certains consommateurs, et a fortiori pour les consommatrices, pas toujours indépendantes financièrement. Au Sénégal par exemple, seules 26 % des femmes acquièrent un smartphone par leurs propres moyens, contre 68 % chez les hommes.

Des engagements pour réduire les inégalités

Des difficultés dont les opérateurs se disent conscients. En avril 2019, l’opérateur kényan Safaricom a lancé Neon Ray et Neon Nov, des appareils vendus une trentaine d’euros, pour permettre à ses clients de passer au smartphone.

À la suite du rapport de GSMA, le groupe sud-africain MTN a réagi par la voix de son directeur général, Rob Shuter. “Si les écarts entre les hommes et les femmes dans l’accès au téléphone mobile ne sont pas résolus, les femmes risques d’être laissées pour compte alors que les sociétés et les économies se numérisent”, a-t-il déclaré dans un communiqué le 6 mars, affirmant l’engagement de son groupe “à l’égard des principes d’autonomisation des femmes qui ont la capacité de transformer des vies à travers le continent”.

 

Source: www.jeuneafrique.com

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Retirement-Planning

Absorber le nombre exponentiel de nouveaux arrivants sur le marché du travail est l’un des défis que doit relever rapidement l’Afrique. Il semble que le secteur de l’économie collaborative, dont la croissance du chiffre d’affaires pour les six années à venir est estimée entre 25 % et 30 % par an, soit désormais attendu au tournant sur cette question. Fort de son dynamisme, il pourrait créer 2,9 millions d’emplois d’ici 2025. C’est ce que conclut une étude publiée par le cabinet de conseil américain Boston Consulting Group (BCG).

1,7 millions d’emplois dans les biens de consommation

Plus exactement, 100 000 emplois pourraient être créés directement par les acteurs du e-commerce comme Jumia ou Konga, ceux du crowdfunding comme Thundafund ou encore ceux de la mise en relation comme Uber ou Airbnb. Parallèlement, un million d’emplois indirects seraient générés par les acteurs profitant de cette plateforme, comme les commerçants. Le reste devrait concerner des emplois « induits », c’est-à-dire créés dans un second temps au sein de secteurs connexes.

Selon les experts du BCG, les entreprises spécialisées dans les biens de consommation seraient les premières bénéficiaires d’un tel dynamisme, avec 1,7 millions d’emplois créés d’ici 2025. D’après les estimations du BCG, elles seraient suivies par les acteurs de la mobilité (500 000 postes) et les secteurs de l’hôtellerie et du tourisme (300 000 postes).

Auto-entreprises

Si la part de l’emploi direct ne représente que 2 % des futurs créations de postes, c’est parce que l’économie de plateforme ne nécessite pas une main d’œuvre conséquente. Le modèle d’affaires du secteur repose sur la mise en relation et nécessite seulement de concevoir, développer et gérer un espace en ligne qui permet de connecter une offre indépendante de produits ou de services à une demande émanant d’entreprises ou de particuliers.

La grande majorité des postes créés d’ici 2025 vont donc concerner de l’auto-entreprise. Dans ce sens, les experts rappellent que les plateformes s’organisent afin de faciliter l’accès à cette nouvelle forme de travail plus autonome, mais aussi plus précaire. Afin d’inciter de nouveaux candidats à devenir chauffeur, Uber a par exemple noué des partenariats avec des loueurs de voitures en leasing (location avec option d’achat) en Afrique du Sud et en Égypte. Au Kenya, en Tanzanie et en Ouganda, le service de VTC propose également du microfinancement grâce à des partenariats avec des institutions financières locales comme Stanbic Bank, Barclays, Bank of Africa ou CRDB Bank.

Freins au développement du secteur

Pour parvenir à créer autant d’emplois, les plateformes en ligne devront néanmoins régler des problèmes de taille liés notamment au manque d’infrastructures. Sur le continent, la distance moyenne entre les principales villes est en effet plus de trois fois supérieures aux distances européennes ou asiatiques. Les carences logistiques augmentent de 320 %, contre 90 % en Europe et en Asie centrale. Et l’accès aux financements demeure plus difficile qu’ailleurs dans le monde.

 

 

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