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Femme africaine

La peau noire ou métissée est épaisse et tonique. Sa forte teneur en mélanine ralentit son vieillissement cutané et constitue un écran naturel contre les UV du soleil. Toutefois, pour qu’elle reste belle et éclatante, il faut lui offrir des soins spécifiques.

Contrairement aux idées reçues, les peaux noires sont très sensibles aux agressions extérieures : manque d’ensoleillement, eau calcaire, froid, stress, pollution… ont tendance à l’assécher. Résultat, elle est déshydratée et sécrète une surproduction de sébum qui la fait briller. Voici les solutions.

1. Hydrater encore et encore

C’est le geste de base à adopter quand on a la peau noire. Pour le démaquillage, utilisez un lait ou un gel doux. Pour garder une peau douce et souple, optez pour un soin qui contient des agents nourrissants comme le beurre de karité.  Si votre peau noire est à tendance grasse, utilisez un soin matifiant pour absorber le sébum et  éviter les effets de brillance.

2. Limiter les gommages

Même si elle est épaisse,  la peau noire est fragile. N’abusez pas des  gommages, car ils risquent d’irriter la peau et stimulent la sécrétion de sébum. Contentez-vous d’un gommage par semaine. Cela est suffisant pour affiner votre grain de peau sans risque.

3. On ne touche pas à ses boutons

La peau noire cicatrise mal. C’est pour cela qu’il ne faut absolument pas triturer ses boutons. En cas de poussée, utilisez un anti-inflammatoire ou une crème cicatrisante. Si jamais vous souffrez d’acné sévère, allez consulter un dermatologue qui vous donnera un traitement adapté.

4. Lutter contre les taches brunes

Les peaux noires sont sujettes aux taches pigmentaires. Celles qui apparaissent suite à la cicatrisation d’une blessure ou d’un bouton. Pour éviter leur apparition ou renforcer la pigmentation de celles qui existent déjà, protégez votre peau du soleil avec un indice de protection efficace, surtout si vous suivez un traitement antibiotique ou contraceptif. En effet, la combinaison soleil-hormone favorise l’apparition de taches brunes… Enfin, évitez les produits éclaircissants à base de cortisone et d’hydroquinone qui décapent la peau, provoquent  l’apparition de taches brunes et à terme, dégradent la peau et peuvent être cancérigène.

Source: https://www.journaldesfemmes.fr/beaute/

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Le pain chapati est beaucoup consommé en Afrique de L’Est mais aussi en Tunisie où il est aussi appelé batbouth.

Cette recette de chapati Africain est très simple à réaliser bien détaillée .

Portions: 5- 6 chapatis

Temps de préparation: 30 minutes

Temps de cuisson: 90 secondes pour chaque chapati

Ingrédients

  • 500g farine
  • 200 ml d’eau tiède ou selon le besoin
  • 3 cuillères à soupe d’huile
  • ½ cuillère à café de sel ou au gout
  • Facultatif : 1 cuillère à café de levure, du lait et des œufs.

La Recette de Chapati:

Étape 1: Dans un grand bol ajouter un peu d’eau et le sel. Remuer jusqu’à ce que le sel se dissoudre

Etape 2: Ajouter la farine dans l’eau salée et utiliser vos main pour bien mélanger. Puis ajouter l’huile et bien mélanger.

Étape 3: Verser petit à petit l’eau restante sur le mélange de farine tout en mélangeant jusqu’à ce que la pâte forme une boule et est bien mou.

Si la pâte colle trop a vos mains, ajouter un peu de farine ou si elle est trop sèche rajouter un peu d’eau.

Étape 4: Transférer la pâte sur votre comptoir de la cuisine et la pétrir pendant 10 minutes.

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Votre mouvement doit être rapide et énergique. Lorsque vous aurez terminé votre pâte doit être lisse, souple et élastique si elle ne l’est pas, pétrir à nouveau.

Le pétrissage de la pâte est très important si vous ne voulez pas que le chapati ne devient très dur.

Étape 5: Verser une quantité généreuse d’huile végétale sur votre main et diviser la pâte en 5 petites boules. Puis couvrir avec une serviette et laissez-les reposer pendant 15 à 20 minutes.

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Etape 6: Utiliser un rouleau à pâtisserie pour aplatir les boules de pâte en une forme ronde. Si la pâte colle au rouleau, saupoudrer la avec un peu de farine.

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Étape 7: Faire chauffer une poêle à feu moyen et ajouter le chapati.

Attendez 45 secondes ou jusqu’à ce que vous voyez des bulles sur le dessus, puis retourner et cuire l’autre côté. Vous pouvez vous brosser les chapatis avec de l’huile végétale sur le dessus. Le temps de cuisson ne doit pas dépasser 2 minutes. Retirer du feu et faire de même pour les autres chapatis restant.

Lorsque c’est prêt, servez immediatement avec du beurre, du formage ou des oeufs ou avec des soupes ou sauces.

 

Source: http://www.recettesafricaine.com/

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numérique

Les femmes africaines sont les championnes du monde de l’entrepreneuriat, avec 24% de femmes en âge d’exercer un emploi impliquées dans la création d’une entreprise. Un chiffre sans commune mesure dans le monde qui contribue de 12 à 14% au PIB du continent. Pour bâtir sur cette dynamique, le numérique constitue aujourd’hui un levier déterminant, même si les défis à relever sont nombreux.

 

femme et numérique

L’entrepreneuriat féminin est, en Afrique plus qu’ailleurs, une clé fondamentale pour l’émancipation des femmes et plus généralement pour le développement économique et social d’un continent où 2 milliard de personnes vivent encore en-dessous du seuil de pauvreté (dont 70% sont des femmes). Le dernier G7 de Biarritz ne s’y est pas trompé, comme en témoigne son communiqué final : « Promouvoir l’entrepreneuriat féminin est une priorité pour chacun d’entre nous. Les entrepreneuses africaines jouent un rôle moteur essentiel en faveur d’une croissance économique durable et d’une prospérité généralisée et bénéficiant à tous. Conscients du fait que les femmes jouent un rôle à part entière dans l’intégration régionale, la croissance économique, le développement social, la prospérité et la durabilité, nous prenons note de la Stratégie de l’Union africaine pour l’égalité entre les hommes et les femmes et l’autonomisation des femmes (GEWE), qui garantit l’inclusion des femmes dans le programme de développement de l’Afrique. »

Défis

Pourtant, si les femmes africaines produisent 62% des biens économiques, elles font encore face à de nombreux obstacles, comme le notait Kristalina Georgieva, la directrice générale de la Banque mondiale dans un entretien accordé à l’AFP : « Nous savons que les femmes en Afrique sont davantage susceptibles de devenir entrepreneures mais elles sont aussi confrontées à bien plus d’obstacles que les hommes pour créer et diriger leurs entreprises. »

En effet, elles souffrent notamment :

  • de barrières légales et culturelles leur interdisant l’accès à certains emplois,
  • de manque de formation,
  • d’un déficit d’accès aux technologies (elles sont 9% de moins que les hommes à détenir un téléphone portable et seules 48% utilisent Internet),
  • ou encore de difficultés pour obtenir un prêt des banques.

     Le numérique à la rescousse

    Jack Ma en est convaincu : « La technologie peut être une chance pour l’Afrique. Internet peut faire plus que bien des programmes d’aide au développement imaginés dans le passé. » L’ancien patron du géant du e-commerce chinois Alibaba a d’ailleurs, créé le prix « Africa Netpreneur », doté de 10 millions de dollars sur 10 ans pour accompagner ces nouveaux entrepreneurs africains du numérique. Pour l’Afrique, c’est la perspective de la création de nouveaux services, adaptés à la réalité du terrain, que ce soit dans l’accès à l’énergie, la banque, l’éducation, la santé… Attention toutefois à ne pas succomber à la « pensée magique dès qu’on parle de numérique », prévient Stéphan-Éloïse Gras, directrice des partenariats Afrique de la plateforme d’éducation en ligne OpenClassrooms : « Le téléphone portable, c’est très bien, mais ça ne peut pas tout remplacer : des routes qui n’existent pas ou des systèmes de santé déficients, par exemple. Et pour que le modèle d’innovation fonctionne, il faut des capitaux et un vrai accompagnement en matière de politiques éducatives. »                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             Source: https://isahit.com/

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Coussins-wax

Dans notre garde-robe comme dans notre intérieur, on veut du tonus et de l’exotisme ! Du jaune, du rouge, du vert, du bleu… place à des teintes franches qui invitent à l’évasion. Grande vedette de cette tendance, le Wax s’empare de notre déco pour notre grand plaisir.

Le wax, vous connaissez forcément. Ce tissu d’origine indonésienne, composé de motifs animaux ou végétaux, est plus généralement associé au continent africain. Et pour cause, il est le tissu traditionnel utilisé pour la confection des pagnes et des boubous. Le wax est donc plus connu sous le nom de tissu africain.

Mais comment l’adopter dans notre maison ? Vous pouvez l’associer à des tons vitaminés comme le jaune ou le bleu et le décliner en dégradés par petites touches discrètes. Vous pouvez aussi le combiner à une décoration blanche et épurée pour réveiller l’atmosphère ! Ainsi employé, le wax peut alors revêtir un joli coussin à poser sur le canapé par exemple. On adore aussi le choisir comme tissu pour recouvrir un fauteuil désuet. Ou encore, sauver une vieille lampe à l’abat-jour franchement usé. Le wax peut aussi très bien devenir un cache-pot en tissu pour valoriser vos plantes d’intérieur. Il est aussi de très bon ton de l’utiliser avec parcimonie sur des petits objets comme des œufs décoratifs, un sac en tissu ou encore des fanions. Vous l’avez compris, le wax nous a conquis. A votre tour, allez-vous être séduite ?

Housse de coussin wax

housse-de-coussin-wax

Le wax c’est le motif tendance de l’année et jusqu’aux housses de coussins, alors n’hésitez pas à redonner de la couleur et du peps à votre intérieur.

Cache pot wax

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Pratiques et jolis, ces caches pots hauts en couleur pourront s’accorder à vos plantes vertes tout en apportant une touche tendance à votre intérieur.

Bouillotte wax

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Une bouillotte sèche, vous connaissez le principe ? Une petite pochette qui, placée soit au four à micro-ondes soit au frigo, réchauffe ou rafraîchit presque comme par magie.

Chaises wax

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En déco, le wax est malléable à l’envi mais l’une de ses utilisations les plus fréquentes reste pour recouvrir les assises de chaises ou de fauteuils.

Cache-pots wax

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Vous savez que les cache-pots en tissu ont la cote et qu’en prime ils sont très faciles à réaliser avec seulement quelques points de couture.

Fanions wax

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Le wax s’adapte à tous les supports mais pour éviter l’overdose, on ne saurait que trop vous conseiller de l’inviter sur des petits objets déco.

Coussin wax

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Le coussin carré est en effet l’option idéale pour commencer en douceur un travail de couture autour du wax.

Pochon wax

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Avis aux couturières ! Rien de mieux que ce petit pochon pour ranger votre linge ou vos pelotes de laine !

Oeufs motifs wax

oeufs-wax

Imiter le tissu africain sur des œufs de Pâques, c’est le pari audacieux de Gina Tolentino, illustratrice.

Toiles wax

toiles-wax

Pour apporter une touche ethnique à votre intérieur, pas besoin de chercher très compliqué ! Optez pour les toiles déco autour du wax.

Source: https://www.marieclaire.fr/idees/

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festival éco-citoyen en Afrique

Du 20 au 22 décembre 2019, la place du souvenir a accueilli Dakarecofest, un événement éco-responsable et participatif, au service de la protection de l’environnement et de la co-entreprise.

Conscients du changement climatique qui n’épargne personne, encore moins les pays d’Afrique de l’ouest, de plus en plus de citoyens, de collectifs, d’entrepreneurs et d’entreprises africains en particulier sénégalais s’activent localement pour avoir un impact positif sur notre planète, mais souvent de manière parcellaire. A cet effet, il est aujourd’hui important de valoriser et de rendre visible ces acteurs et ces initiatives pour en décupler l’impact, partager et co-construire des solutions innovantes, concrètes et adaptées au contexte local, respectueuses des hommes et de l’environnement.

C’est dans ce contexte que l’association franco-sénégalaise Ecologie Universelle et l’agence de communication responsable Ethical Minds se sont mobilisés pour fédérer les acteurs sénégalais autour de l’écologie et des initiatives durables.

Dans une interview accordée à ses trois femmes engagées du nom de Aminata Sidibé, Nathalie Lafrie et Carine Fakhoury nous reviennent un peu plus sur les enjeux et perspectives du Dakarecofest.

Dakarecofest, véritable laboratoire, expérimental, festif et participatif

Préservons demain, aujourd'hui

Ingénieure environnement de formation, Aminata Sidibé est la fondatrice de l’association Ecologie universelle crée en 2014. Une association franco-sénégalaise qui milite pour le développement durable et la visibilité des actions engagées en Afrique. Elle est également l’organisatrice du Dakarecofest.

Selon Aminata Sidibé, le festival découle d’une ambition d’aller plus loin dans leurs activités qui avaient déjà commencé avec la création d’un magazine appelé « la voix de la terre » qui aborde plusieurs thématiques à savoir la santé, l’alimentation, l’éducation, la monnaie, l’économie, l’agriculture qui tournent autour des interviews accordées aux acteurs engagés de l’Afrique. Ainsi avec ce festival, ils vont pourvoir rendre visibles les activités de ses derniers. Aminata Sidibé ne manque pas d’éclaircir qu’à la fin du Dakarecofest, ils veulent aboutir à une prise de conscience des sénégalais sur l’importance de la protection de l’environnement et de l’écologie, créer une synergie entre les acteurs et organisations engagées mais aussi faire en sorte que ce festival soit organisé chaque année.

L’écologie numérique au service des acteurs et des entreprises associatives

Préservons demain, aujourd'hui

Entrepreneure et formatrice, Nathalie Lafrie est la cofondatrice de l’agence Ethical Minds, une agence spécialisée dans la communication responsable et événementielle et reconnue pour son impact social et environnemental et labélisée par le réseau LVED (Lyon Ville Equitable et Durable). Passionnée par la communication des hommes et des organisations, l’équipe rassemble les consciences autour de projets porteurs de sens pour décupler l’impact en France et à l’international, en particulier en Afrique (Bénin, Togo, Ethiopie, Maroc, Sénégal).

Nathalie Lafrie souligne qu’ils ont rejoint cette démarche de Dakarecofest parce que leur mission c’est de rendre visible les projets qui fédèrent et qui font converger tous les acteurs qui agissent pour un développement durable quel que soit leur secteur d’activité.

L’agence a aussi pour ambition de faire connaitre l’écologie numérique auprès de ces acteurs et de ces entreprises associatives pour leur permettre de communiquer et de sensibiliser dans un environnement digital beaucoup plus sain .

Rappelons juste que l’internet est le plus gros pollueur de la planète avec une consommation électrique mondiale de 1500 TWH par an derrière la Chine et les Etats-unis.

Cependant, des mesures sont actuellement prises par des acteurs tel que Ethical Minds pour réduire l’impact environnemental du numérique.

Biophila, l’une des associations sénégalaises participative au Dakarecofest

Préservons demain, aujourd'hui

Biophila est une association sénégalaise qui a pour vocation de faire du Sénégal, le modèle d’une Afrique écologique consciente. Pour atteindre cet objectif, Biophila compte construire le premier éco-village zéro déchet en Casamance qui sera témoin d’une nouvelle forme de pleine santé, d’alimentation, d’environnement, habitat et culture maraîchère. Pour financer ce projet, le centre Ayama a été mis en place dans le but de promouvoir et de commercialiser les produits made in Sénégal, 100% naturels et locaux.

D’après Carine Fakhoury (présidente de Biophila), l’association s’est mis à la disposition du Dakarecofest pour participer à la sensibilisation des sénégalais autour de l’importance de l’écologie en animant des tables rondes et en s’occupant de la restauration pour valoriser la gastronomie d’Afrique.

Pour sa première édition, le Dakarecofest a été organisé sous le haut patronage de Mr le Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Abdou Karim Sall, avec le soutien officiel de l’ Ambassade de France, de Enda Energie et de la fondation Sonatel et sous les parrainages de Soham el Wardini, Maire de Dakar, Haidar el Ali, Directeur général de l’Agence Sénégalaise de la Réforestation et de la Grande Muraille Verte, et Baaba Maal, Ambassade de la Convention des Nations Unies sur la Lutte contre la désertification.

 

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Samedi après-midi d’octobre à Abidjan. Le ciel est menaçant, mais pas pour moi, enthousiaste à l’idée de ce qui m’attend. Je m’apprête à aller rencontrer la femme qui a joué le personnage de Marème, de la série culte sénégalaise de la réalisatrice Kalista Sy, Maîtresse d’un homme marié. D’abord, c’est sur Facebook que j’ai vu la publication de l’évènement, que j’ai bien sûr partagé sur les différentes plateformes en ligne.

J’étais assez dubitative, de prime abord, ne voyant pas trop l’intérêt d’un tel évènement. J’avoue : je me suis même dit : « certaines personnes se prennent décidément pour des stars ! Non je n’irai pas à cet évènement ». Ensuite je me suis demandé pourquoi pas, après tout ! Je suis toujours la première à vouloir faire la promotion du Made In Africa, et à dire que les femmes doivent se serrer les coudes entre elles, qu’elles doivent apprécier ce que font les autres femmes et en parler ! Ensuite, le diable dans ma tête me redit : « Écoute, c’est quand même Marème, elle a été maîtresse dans cette série, a fini par se faire épouser par Cheikh, a fait souffrir une autre femme ! Elle ne mérite pas que tu paies pour aller la voir ! » Et l’ange dans ma tête me dit : « Pas du tout, Marème est juste un personnage ! De plus, comme tu n’as pas encore digéré ce qui s’est passé à la fin de la série, c’est l’occasion d’aller lui dire en face. Et tu as toujours admiré Marème, et détesté en même temps ! Rappelle-toi de ta scène préférée du film ! Elle mérite que tu ailles le lui dire ! » Mon côté ange, heureusement qu’il a pris le dessus parce que j’ai vécu un moment magique avec Halima Gadji, alias Marème.

L’évènement était prévu de 16 h à 18 h au Casino Barrière l’Éléphant d’Or du Sofitel Ivoire, mais les choses n’ont vraiment débuté qu’à 17 h à l’arrivée de celles que nous attendions tous ! Mais avant cela, nous avions le temps de faire connaissance entre fans, de faire connaissance avec Christelle, l’organisatrice de l’évènement, magnifiquement habillée d’un beau boubou. J’ai voulu en savoir un peu plus sur elle, et lui ai posé beaucoup de questions que vous pouvez lire en encadré.

J’ai été agréablement surprise de voir des hommes nous rejoindre, car eux aussi ont été atteints par la fièvre que suscitait la série. L’un d’entre eux, pendant l’échange avec Halima, nous a dit que ce qui l’a le plus intéressé dans cette série, c’était « l’authenticité des faits ». Selon lui, pour une fois en Afrique, les faits relatés sont des faits quotidiens ; d’autant plus que « ce n’est pas que nous les hommes ayons une vie facile, mais celle des femmes est vraiment difficile ».

Enfin arriva Halima, divinement habillée en batik par la designer NACKISSA, que nous avons eu le plaisir d’interviewer, et maquillée par la make up artist MANUELA COUAHO, le tout illuminé par les bijoux des PERLES D’AYO. 100 % à l’ivoirienne ! Christelle avait décidément mis les petits plats dans les grands pour elle.

À son arrivée, les débats ont vite commencé, et nous avons pu lui poser des questions sur elle, son parcours, les différents personnages, sans aucune forme de protocole. Chacun des personnages de la série a été décortiqué, d’abord par Halima, ensuite par l’audience. De la maîtresse, qui s’est fait détester dès le premier épisode, à son personnage qu’elle a su tenir à merveille : son audace, son franc-parler, etc.

Quelques morceaux de choix :

Sur le personnage de Marème, Halima nous dit  :

Concernant le pourquoi de la série : Au début la série avait été faite le Sénégal, mais très vite nous nous sommes rendu compte que la série avait un public au-delà des frontières sénégalaises, car les femmes africaines s’identifiaient aux personnages, faisant toutes face aux mêmes injustices.

En ce qui concerne l’introduction du personnage d’un psychologue à la série, il s’agissait selon Halima, d’une une nouveauté. Plus de marabouts, plus de sorciers, mais un psychologue ; pour sensibiliser sur le sujet, pour montrer aux uns et aux autres que parler de ses problèmes en thérapie ne peut qu’être bénéfique. L’actrice elle-même nous avoue que venant d’une famille religieuse, il a été difficile d’assumer ce rôle, à certains moments elle ne sortait plus, tellement elle se faisait agresser dans la rue. Jouer a aussi été une thérapie pour elle, car plus elle portait le personnage de Marème, plus elle se libérait, car au début, elle aussi avait jugé ce personnage qui pourtant, a eu une vie très difficile.

Elle rajoute que même si la série porte le nom de Maîtresse d’un homme marié, mais elle parle de cinq femmes, qui représentent la femme africaine. Elle est forte, dynamique, ne baisse pas les bras, battante et souriante malgré ses nombreux défis, ai-je moi-même rajouté, pour enrichir nos débats.

Marie Ines, une des nombreuses fans présente ce jour-là, nous a clamé son amour de la série, car selon elle, on se retrouve en toutes ces femmes.

La série avait pour cheval de bataille, nous dit encore l’actrice, l’autonomisation sociale des femmes, que les femmes puissent se valoriser, cessent de se faire du mal à cause des hommes, qu’elles soient un peu plus solidaires.

De plus, ajoute-t-elle, c’est une série complète : non seulement elle nous présente les femmes dans plusieurs dimensions socio-économiques, mais elle nous parle également de l’état d’esprit des enfants lorsque le ménage de leurs parents bât de l’aile, du jugement que peuvent subir les femmes parce qu’elles sont rondes, comme le personnage de Mami. La série nous parle du viol dans la société sénégalaise, qui est presque toujours commis par un parent proche, mais qui est un fait de société qu’on préfère taire, pour ne pas salir les réputations des familles.

Ce fut l’occasion justement de rebondir sur l’affaire de l’ONG JAMRA qui a voulu « dénoncer » une série qui faisait l’apologie de la débauche sexuelle auprès de la jeunesse sénégalaise, et qui s’est lâchée sur le personnage de Marème pour avoir revendiqué sa liberté sexuelle. Là encore, nous dit l’actrice, ils se sont trompés de combat : « Pourquoi JAMRA n’a-t-il pas parlé du personnage de Racky qui a été violée ? Ces femmes grandissent frustrées, malades, rejetées à cause des viols qu’elles ont subi ? Et le personnage de Djalika, qui vit avec un homme violent, qui l’a violée, battue devant sa fille ? C’est hypocrite ! »

Autre aspect de cette série, la valorisation de la beauté africaine. Les hommes étaient beaux dans leurs boubous, et les femmes dans leurs robes et autres coutures africaines, sublimées par des coiffures africaines.

Une petite anecdote : Ndiaye Ciré Ba, qui a joué le personnage de Djalika, marchait dans la rue et une dame lui a dit que grâce à elle, elle s’est rendu compte que sa fille avait un problème et qu’elle doit consulter, car sa fille est traumatisée par ce qui se passait chez elle. Il y a toujours un enfant qui subit le drame familial.

Les hommes de la série, on en a aussi parlé bien sûr ! Le personnage de Cheikh, fidèle et amoureux de sa femme dévouée jusqu’à ce qu’il rencontre Marème. Moustapha, le romantique dans l’âme. Birame, le mauvais mari et Macky, le rêve de toute femme, mais qui n’est pas tout à fait sorti des jupes de sa maman ! Eh oui, les belles mères aussi ont eu leur part dans ce débat ! La sensation générale était qu’on a l’impression qu’elles n’ont jamais été femmes !

Ma conclusion : j’ai décidé de regarder la saison 2 ! Cette rencontre avec Halima Gadji m’a mis l’eau à la bouche. La fin tragique de toutes ces femmes fortes de la série m’avait vraiment déçue, je me suis dit que c’était la montagne qui accouchait d’une souris, tellement la réaliste avait mis la barre très haut depuis le début. MHM, comme on aime l’appeler, vivement la saison 2 !

Pour terminer, l’actrice nous a parlé de sa vie de mère célibataire, ayant quitté les bancs de l’école très tôt, qui se bat pour survivre. Nous avons été touchés, et sommes presque soulagés de voir que comme tout le monde, elle porte sa croix.

Que dire ? Mesdames, nous sommes toutes les artisanes de nos destins, prenons nos vies en main, vivons bien, et surtout soyons fidèles à nous même ! On n’a qu’une vie ! Faisons-en bon usage !

 

Faisons connaissance avec Christelle Debrimou, organisatrice du meet and greet Marème de Maîtresse d’un homme marié

1) Que faites-vous dans la vie, Christelle ?

Je suis Jenny Christelle Debrimou.  Je suis chargée de Communication dans une organisation internationale et membre de plusieurs organisations (ancienne du Lycée Sainte Marie) et Association des  diplômés des États-Unis.

2) D’où vous est venue l’idée d’organiser ce meet up?

J’organise souvent chez moi des diffusions et causeries autour de film ou séries.  Avec tous les commentaires que je lisais sur les réseaux sociaux, l’idée m’est venue d’organiser une plateforme où l’on pourrait échanger sur les problématiques qui sont réelles et qui nous touchent toutes en tant que Femme africaine. J’ai contacté une amie très active sur Facebook pour que nous puissions créer un groupe de Fan de la série.

3) Comment avez-vous connu l’actrice?

Lors d’un partage de mes commentaires d’un épisode de Maîtresse d’un homme marié, un de mes amis m’a informé qu’il connaissait « Marème » qui animait une de ses émissions de TV.  C’est ainsi qu’il me l’a présentée. Je lui ai parlé de mon idée à laquelle elle a adhéré et m’a confié l’organisation.

4) Un dernier mot?

Je suis contente que cette initiative ait suscité l’intérêt de certaines personnes.  Je le voulais pas trop grand pour que nous puissions nous sentir comme chez nous, mais non plus pas vides (rires) pour l’image de l’actrice.

Je suis contente que nous ayons eu une plateforme pour nous exprimer et échanger sur des problématiques importantes.  Khalima Gadji l’a mentionné,  Maîtresse d’un homme marié va au-delà d’une histoire d’infidélité, mais adresse des sujets tabous qu’il faut pouvoir mettre en lumière.  (Le viol, le mariage des femmes avec enfants, le cancer du sein ou du col de l’utérus et tellement d’autres thèmes).

J’encourage homme et femme à suivre la série et j’attends avec impatience la prochaine saison.

 

NACKISSA, Styliste trendry à découvrir absolument !

Nackissa Doumbia Nemlin est une styliste vivant à Abidjan. Mariée et mère de deux enfants, elle est diplômée de l’école de mode parisienne FORMAMOD. Après des stages à Paris et Abidjan, elle est engagée à Abidjan comme styliste pour la marque de prêt-à-porter Wrangler. L’expérience acquise, elle crée sa marque.

Nackissa satisfait sa clientèle en sur mesure, puis très vite le prêt-à-porter qu’elle a appris sagement et patiemment à maîtriser, l’attire. La styliste ouvre les portes de sa première boutique 100% made in Côte d’Ivoire. Le batik est sa marque de fabrique, assorti à des matières telles que la soie, le cuir, le voile de coton ou encore la mousseline, la mousse… Le batik, véritable tableau d’art naïf africain sait nous dévoiler sa modernité et sa fraîcheur quand la styliste le travail.

D’ailleurs ses dernières collections se sont vues récompensées en 2016 et 2017 au top 10 de la mode ivoirienne (respectivement la collection de l’année et mérite du prêt-à-porter). Nackissa a aussi le privilège d’être invitée aux plus grands shows d’Abidjan et de la sous-région.

Lorsqu’elle n’est pas dans son atelier où dans sa boutique, Nackissa devient une mère et épouse épanouie. Sa curiosité l’entraîne entourée de sa famille vers de nouvelles découvertes. En plus de voyage, elle est une passionnée de littérature, de cuisine et de musique. La boutique étant maintenant ouverte et bien fonctionnelle, Nackissa travaille sur son projet de s’exporter.

 

 

 

 

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L’exploitation imminente des ressources pétrolières et gazières suscite à la fois espoir et émoi au sein de la population sénégalaise. Les montants des recettes prévisionnels donnent le tournis 84 000 milliards de Fcfa selon Mamadou Faye le directeur général de la PETROSEN.

Qu’est ce que l’État prévoit-il de faire avec tout cet argent. L’idée d’en réserver une partie aux générations futures dans une perspective de développement durable est intéressante à plus d’un titre. Toutefois, les Sénégalais-es  devraient être convié-es à une réflexion plus approfondie sur l’usage de cette manne financière pour que cet argent participe « du développement réel du pays et [soit] au bénéfice des populations » comme l’appelle de ses vœux  le Président de la République. Jusqu’à date la démarche adoptée par les autorités (pour autant qu’elle ne cache pas une stratégie politique) est tout de même exceptionnelle. En effet, cette invite à une gestion transparente et inclusive de ces ressources est à saluer en espérant qu’elle soit réelle et effective.

Dans cette lancée heureuse, nous devrions aussi réfléchir sur les avenues à emprunter pour que les incidences financières de l’exploitation de ces ressources soient perceptibles sur le niveau de vie des populations sénégalaises. En d’autres mots, il faudrait s’attendre à une transformation visible des conditions économiques et sociales des populations sénégalaises.

Cette analyse nous fait tomber de plein pieds dans les questions de développement. Toutefois, postuler des perspectives de développement présuppose un tant soi de faire un état des lieux de la situation actuelle à l’aide d’un outil d’analyse ou modèle explicatif. Or, les canevas théoriques utilisés par les théoriciens du développement n’aident pas à une appréhension optimale du réel économique du Sénégal. En effet, l’économie sénégalaise de même que le niveau de développement qui va avec est de nature hybride voire multi-facettes. Ils coexistent des pôles de croissance et de développement soutenu et de déserts économiques et de pauvreté endémique dans les centres urbains. Quant au monde rural, il peine à se sortir d’une pauvreté infrastructurelle et structurelle malgré l’existence de potentiel économique réel. Dès lors, le recours à un modèle explicatif global devient inopérant et impertinent. Par exemple, il sera difficile de se situer les cinq étapes du développement décrites par Rostow tellement les pans de l’économie sénégalaise se prêtent à toutes les cinq étapes du développement ( la société traditionnelle, les conditions préalables au démarrage, le démarrage (take off), la marche vers la maturité, l’ère de la consommation de masse.)

La difficile appréhension de l’économie sénégalaise dans un moule théorique global ne devrait pas nous dispenser d’une analyse situationnelle des pays qui ont été à l’avant-garde du développement industriel tel que l’Angleterre et le Japon et ce, même si les auteurs ne s’entendent pas ici aussi à un modèle explicatif uniforme. La croissance soutenue et solide de ces pays ce serait principalement fondée sur quatre éléments fondamentaux que sont les ressources humaines, les ressources naturelles, la formation du capital et la technologie. Ce qui a amené les économistes Samuelson et Nordhaus, (1998) à soutenir qu’il existerait quatre roues de la croissance (ou facteurs de croissance) qui seraient les ferments de tout développement.

En conséquence, une articulation structurante de ces quatre paramètres à partir des retombées financières issues de l’exploitation du pétrole et du gaz  est attendue dans nos stratégies actuelles de développement pour que la découverte de ces ressources soit une source réelle de profit et profitable à toutes et tous.

Toutefois, il n’en prend pas que cela pour que la mayonnaise du développement tienne. Ce qui, à mon avis, constitue un oubli fondamental c’est la question des valeurs. Elle n’est rarement abordée dans les écrits sur le développement même implicitement. La question des valeurs dans les politiques de développement est donc traitée comme un « allant de soi ». Or, l’analyse des pays dit aujourd’hui développés démontre à suffisance que la construction d’un projet de société sur la base d’un corpus de valeurs partagées telles que le don de soi, la conscience professionnelle, la responsabilité individuelle et collective, la discipline, une solidarité organique a été un puissant moteur de leur essor.

Fort des ces expériences, nos dirigeants ne devraient pas éluder cette question des valeurs dans les stratégies de développement au risque de rendre inefficaces leurs efforts en ce sens. Ainsi, si tant est que les constructions langagières ont des ancrages sociaux réels, les concepts de fula, fayda et jom*  devraient logiquement être le substrat de notre corpus de valeurs.  Ces concepts de notre cru parfois dévoyés et pervertis en raison des conditions sociales et économiques difficiles devront faire l’objet d’un dépoussiérage et d’une réappropriation collective.

À notre sens, mixer nos valeurs traditionnelles aux principes de bonne gouvernance (arrimés à l’idéal de démocratie) à savoir la transparence, la promotion de la justice sociale et en faire le fil conducteur de nos stratégies de développement nous garantirait un succès indéniable considérant que l’humain reste (et doit rester) l’alpha et l’oméga de tout développement.

* Mot sénégalais pour dire vergogne ou courage

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Nous avons tous vécu le moment où on doit faire valoir notre point de vue à quelqu’un qui n’est pas d’accord avec nous. Ce que nous faisons généralement, soit nous allons immédiatement sur notre smartphone pour tweeter notre état d’esprit ou nous  faisons une longue publication sur Facebook soit nous envoyons un mail à la personne pour nous expliquer. On croit sûrement que la logique et le pouvoir de nos mots écrits convaincront qui que ce soit qui n’est pas d’accord avec nous et il pourra ainsi comprendre notre point de vue. Mais de nouvelles recherches suggèrent que ces arguments écrits ne sont peut-être pas la meilleure approche.

Cette recherche a été menée par Juliana Schroeder, professeur adjoint de gestion des organisations à la Haas School of Business, Université de Californie, Berkeley, et ses collègues. Dans l’étude de Schroeder sur près de 300 personnes, les participants ont été invités à regarder, écouter et lire des arguments sur des sujets avec lesquels ils étaient en accord ou en désaccord comme l’avortement, la musique et la guerre. Ils ont été invités à juger le caractère du communicateur et la qualité ou la véracité de l’argument. L’équipe de Schroeder a constaté que les participants qui ont regardé ou écouté le communicateur étaient plus convaincus que quand ils ont lu le même argument des communicateurs. Les conclusions de Schroeder ont des implications évidentes pour tous les lieux de communication, en particulier sur le lieu de travail. Les recherches de Schroeder ont également révélé que les participants qui écoutaient ou regardaient les communicateurs étaient également moins susceptibles de les déshumaniser – un phénomène où nous sous-estimons ou diabolisons inconsciemment les capacités cognitives et les attributs moraux des personnes qui ont des opinions autres que les nôtres. Donc, que ce soit pour convaincre un étranger que #MeToo compte, que vous discutiez de la politique avec un ami ou que vous expliquiez en réunion pourquoi votre vision de l’entreprise est la bonne, voici trois conseils pour communiquer efficacement :

 

  1. BIEN CHOISIR SES MOTS QUAND ON ESSAYE DE CONVAINCRE

Nous vivons dans un monde de communication numérique, principalement textuelle. Bien que cela soit pratique (vous pouvez lire un message quand vous voulez), le travail de Schroeder suggère que c’est improductif dans les moments où vous devez convaincre les gens qui ne sont pas d’accord avec vous, car les gens sont plus enclins à vous déshumaniser. Bien sûr, parfois nous n’avons pas d’autre choix que de communiquer par SMS. Si c’est le cas, il est impératif d’être très attentif à votre choix de mots et d’expressions. L’utilisation d’arguments non émotifs, basés sur les faits et rien que les faits, est la meilleure façon de combattre le penchant naturel du lecteur à vous déshumaniser.

  1. OPTER POUR LA COMMUNICATION FACE A FACE SI POSSIBLE

Idéalement, choisissez toujours de transmettre votre argument en personne si vous le pouvez. « Entendre un message d’un adversaire politique [ou autre] peut humaniser l’adversaire, par rapport à la lecture du même message. La raison semble être que la variance dans les signaux naturels para linguistes des communicateurs dans leurs voix (par exemple, le ton) peut exprimer leur réflexion. »

Bien que cela puisse être impossible à faire avec les masses anonymes sur Twitter malgré le nombre impressionnant de smileys dont nous disposons, ou impraticable avec tous vos amis Facebook, sur le lieu de travail, parler à quelqu’un en personne implique souvent rien de plus que de faire quelques pas jusqu’à la porte de son bureau. Et c’est exactement ce que vous devriez faire si vous avez besoin de convaincre votre patron ou collègue de la raison pour laquelle votre projet pour l’entreprise est le bon.

  1. FAIRE UNE VIDEO CONFÉRENCE AU LIEU D’ENVOYER UN EMAIL

Mais même si vous ne travaillez pas dans le même bâtiment que votre collègue, ou si vous habitez dans le même pays que l’un de vos amis sur Facebook avec lequel vous discutez de la sortie de l’Afrique du CFA par exemple, il est maintenant plus facile que jamais de communiquer avec les gens par appel vocal ou vidéo. Ainsi, avant d’envoyer un e-mail ou de poster un message, allez sur Whats App Vidéo ou Facebook Messenger pour un appel vidéo ou audio afin que le destinataire de votre message puisse entendre la variance et les indices para linguistes dans votre voix.

Ce n’est qu’en dernier recours que vous devriez essayer de communiquer avec quelqu’un avec qui vous n’êtes pas d’accord avec les médias sociaux. L’espace limité de Twitter et les courtes périodes d’attention des utilisateurs de médias sociaux rendent votre bataille d’arguments difficile.

Source : https://www.fastcompany.com

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Si vous habitez à Dakar et ses environs, si vous passez des journées stressantes, si vous avez un travail prenant mais qui vous laisse le temps de souffler un week-end, allez donc vous reposer à Saly, petite station charmante à 80 Km de Dakar.

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A l’origine un village de pêcheurs, Saly Portudal est devenue « La » station balnéaire du Sénégal.  Avec ses hôtels architecturaux, ses résidences olympiennes, ses somptueux restaurants ses boîtes de nuits « hypes », Saly est l’endroit parfait pour oublier le train-train quotidien.

Elle propose aussi des excursions en quad, en moto, des balades en avion, en hélicoptère, du parachutisme, de l’équitation, des croisières, du ski nautique et même des séances de pêche, d’où son attrait pour les touristes qui viennent s’y réfugier quand le temps n’est plus favorable en Europe.

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Saly a le charme de Venice Beach, de St Tropes et Las palmas, mais avec un soupçon d’Afrique.  Ne donne-t-elle pas envie de plier bagage pour une destination paradisiaque typiquement Africaine ?

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Prévoyez donc votre prochaine visite a Saly Portugal.

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