Tag:

Sénégal

saint valentin

La Saint Valentin est le moment rêvé de l’année pour de nombreux amoureux de se rapprocher davantage, une journée que certains entendent bien marquer d’une empreinte indélébile dans le livre de la romance. Comment faire plaisir à sa compagne ou son compagnon, son époux, épouse, sa fiancée

Diner romantique, week-end en amoureux, balade exotique, découverte touristique, nous vous proposons ses destinations dakaroises et alentours où vous pourriez passer une Saint Valentin 2020 de rêve.

1. La pointe des Almadies

la-pointe-des-almadies

La pointe des Almadies (Dakar). La destination est très connue des romantiques pour ses  « lumineux » restaurants. Un endroit magique la nuit sur les terrasses recouvertes pour un bon dîner tête-à-tête. La nuit de la Saint Valentin, l’endroit est décoré pour rendre le passage des amoureux inoubliables. C’est aussi l’endroit rêvé pour des fiançailles, une déclaration d’amour.

2. Le valentine day de Youssou Ndour

 

King fahd palace

Le valentine day de Youssou Ndour (King Fad Palace). Les fans de la mega star sénégalaise Youssou Ndour ont rendez-vous le 15 Février pour un concert de saint valentin. Un évènement devenu annuel, puisque depuis plusieurs années les amoureux se donnent rendez-vous avec l’artiste pour célébrer en musique l’amour.

3. Saly Portudal

Saly portudal

Saly portudal. A moins d’une heure de Dakar, saly portudal c’est l’endroit privilégié pour raviver la flamme de l’amour. Et comme cette année les amoureux sont gâtés par le calendrier (l’événement se célèbre un weekend), il serait agréable de sortir de Dakar et s’offrir un weekend en amoureux dans la station balnéaire.

4. La réserve de Bandia

réserve de bandia

La réserve de Bandia. Si vous avez envie de faire quelque chose de différent cette année pour la saint valentin, vous pourriez toujours vous rendre à la réserve de Bandia pour un peu de tourisme. Un cadre loin des cancans de la ville, paisible et idéal pour un renforcement des liens amoureux.

 

 

Source:https://food.jumia.ma/blog/cat/destination-de-la-semaine/senegal/

 

0 comment
0 FacebookTwitterPinterestEmail
tiep-bou-dieun

Le tiep bou dieun inventé par Penda Mbaye, une grande cuisinière du XIXe siècle à Saint-Louis est le plat national du Sénégal. Les Sénégalais appellent d’ailleurs affectueusement ce plat « tiep bou dieun Penda Mbaye » (le riz au poisson de Penda Mbaye).

En wolof (ceebu jën) l’expression signifie littéralement « riz au poisson ». Penda Mbaye était une walo-walo qui gagnait sa vie en faisant la cuisine dans les cérémonies familiales. Un jour, elle a eu l’idée de génie de malaxer de la tomate cerise pour l’utiliser dans sa cuisine». L’histoire commence à cet instant puisque le résultat enchante les palais saint-louisiens et le bouche à oreille aidant, la dame Penda Mbaye acquiert une notoriété grandissante.

Détails de la recette

Ingrédients

1 thiof et une dorade (poisson au choix)
2 oignons
7 gousses d’ail
2 carottes
2 choux
1 manioc
1 aubergine
1 piment vert et 1 piment jaune
2 navets
2 piments rouges
Du piment sec
Du poivre noir
1 morceau de yet et 2 de guedj (mollusque séché)
Persil
Bouillon de poisson
Des feuilles de bissap
1,5 kg de riz
375 ml d’huile
300 g de concentré de tomate

Tomates fraîches

Citron
Sel
Poivron vert

Du tamarin

Préparation

1.Commencez par la farce (rof) et le poisson. Mixer 3 gousses d’ail, le persil, du sel, un peu de poivre et de piments secs,  jusqu’à obtenir une pâte homogène. Nettoyez les poissons, découpez-les en grosses tranches, faites-y des incisions latérales dans lesquelles vous mettrez la farce.

2. Faites ensuite chauffer l’huile dans une marmite. Mettre 1 oignon, les tomates fraîches, 1/2 piment vert, 1/2 piment jaune et le poivron vert coupés en petits morceaux, le yet. Mélangez la pâte de tomate concentrée à un peu d’eau puis rajoutez-la à l’huile. Remuez toutes les 3 minutes pour ne pas que ça colle au fond. Laissez sur le feu jusqu’à ce que la tomate et les oignons soient bien dorés (cela prend à peu près 15 à 20 minutes).

3. Mettre les poissons et le nokoss (mixer un oignon, 4 gousses d’ail,1/2 piment vert, 1/2 piment jaune, un peu de poivre , un bouillon de poisson) cuire de chaque côté dans la marmite , Ajoutez 1,5 litres d’eau.

4. Épluchez tous les légumes (sauf les aubergines dont il faut juste couper le bout vert), avant de les nettoyer. Mettez-les dans la marmite sauf l’aubergine et les gombos. Salez et laissez cuire pendant 20 minutes. Pour le sel, n’Hésitez pas à bien saler car le riz demande beaucoup de sel.

5. Baissez ensuite le feu et ajoutez les gombos , l’aubergine, les piments rouges . Plongez  les poissons secs, et les feuilles de bissap. Laissez mijoter jusqu’à la cuisson des légumes et du poisson environ 20 mn.

6. Pendant que le tout mijote sur le feu, lavez le riz, ôtez toute l’eau et passez-le à la vapeur pendant 10 à 15 minutes.

7. À l’aide d’une écumoire, ôtez les légumes et le poisson de la marmite. Prélevez en même temps un peu de sauce dans un bol et faites-y tremper le tamarin.

8. Vérifier que la sauce est assez salée. Ne soyez pas alarmé si la sauce vous parait trop salée. Quand vous mettrez le riz, le sel sera absorbé. Vous pouvez alors y rajouter le riz déjà passé à la vapeur. Veillez à ce que la sauce couvre à peine le riz (une pouce de sauce de plus que le riz). S’il y en a trop, ôtez-la à l’aide d’une louche et mettez la avec la sauce prélevée précédemment. Couvrez la marmite et laisser cuire le riz durant 20 à 30 minutes à feu très doux. Remuez toutes les 10 minutes pour que le riz ne colle pas au fond de la marmite ainsi que pour assurer une bonne répartition de sa cuisson. Server le riz cuit dans un bol et réserver

Préparation de la garniture : sauce diaga

Ingrédients

115 g de concentré de tomate

125 ml d’huile

5 oignons et 2 gousses d’ail
Un pot de macédoine de légumes
Du vinaigre
Oignon vert persil
Des crevettes sèches et fraîches
Du poivre noir
1 piment vert

1 bouillon de poisson
2 feuilles de Laurier

Préparation de la Sauce Diaga

1. Chauffer l’huile dans une marmite

2. Frire les boulettes de poisson et les réserver.
3. Découper les oignons en dés et les mettre dans l’huile
4. Ajouter la tomate et cuire.
5. Mixer et Ajouter l’ail, le piment, le poivre, l’oignon vert, le persil et un bouillon de poisson.
6. Ajouter les crevettes, les boulettes,  un peu de vinaigre et un peu d’eau. Laissez mijoter 10 minutes avant d’y rajouter la macédoine, ajouter du sel selon votre convenance . Laisser sur le feu pendant 10 minutes supplémentaire et votre sauce de garniture est prête.

Présentation

Servez le riz chaud dans un grand plat. Déposez en son centre le poisson et les légumes. Arrosez le tout de la sauce de macédoine et de crevettes puis ajoutez les citrons tranchés en deux parties, le tamarin, le gratin de riz.

Bon appétit!

 

0 comment
0 FacebookTwitterPinterestEmail
festival éco-citoyen en Afrique

Du 20 au 22 décembre 2019, la place du souvenir a accueilli Dakarecofest, un événement éco-responsable et participatif, au service de la protection de l’environnement et de la co-entreprise.

Conscients du changement climatique qui n’épargne personne, encore moins les pays d’Afrique de l’ouest, de plus en plus de citoyens, de collectifs, d’entrepreneurs et d’entreprises africains en particulier sénégalais s’activent localement pour avoir un impact positif sur notre planète, mais souvent de manière parcellaire. A cet effet, il est aujourd’hui important de valoriser et de rendre visible ces acteurs et ces initiatives pour en décupler l’impact, partager et co-construire des solutions innovantes, concrètes et adaptées au contexte local, respectueuses des hommes et de l’environnement.

C’est dans ce contexte que l’association franco-sénégalaise Ecologie Universelle et l’agence de communication responsable Ethical Minds se sont mobilisés pour fédérer les acteurs sénégalais autour de l’écologie et des initiatives durables.

Dans une interview accordée à ses trois femmes engagées du nom de Aminata Sidibé, Nathalie Lafrie et Carine Fakhoury nous reviennent un peu plus sur les enjeux et perspectives du Dakarecofest.

Dakarecofest, véritable laboratoire, expérimental, festif et participatif

Préservons demain, aujourd'hui

Ingénieure environnement de formation, Aminata Sidibé est la fondatrice de l’association Ecologie universelle crée en 2014. Une association franco-sénégalaise qui milite pour le développement durable et la visibilité des actions engagées en Afrique. Elle est également l’organisatrice du Dakarecofest.

Selon Aminata Sidibé, le festival découle d’une ambition d’aller plus loin dans leurs activités qui avaient déjà commencé avec la création d’un magazine appelé « la voix de la terre » qui aborde plusieurs thématiques à savoir la santé, l’alimentation, l’éducation, la monnaie, l’économie, l’agriculture qui tournent autour des interviews accordées aux acteurs engagés de l’Afrique. Ainsi avec ce festival, ils vont pourvoir rendre visibles les activités de ses derniers. Aminata Sidibé ne manque pas d’éclaircir qu’à la fin du Dakarecofest, ils veulent aboutir à une prise de conscience des sénégalais sur l’importance de la protection de l’environnement et de l’écologie, créer une synergie entre les acteurs et organisations engagées mais aussi faire en sorte que ce festival soit organisé chaque année.

L’écologie numérique au service des acteurs et des entreprises associatives

Préservons demain, aujourd'hui

Entrepreneure et formatrice, Nathalie Lafrie est la cofondatrice de l’agence Ethical Minds, une agence spécialisée dans la communication responsable et événementielle et reconnue pour son impact social et environnemental et labélisée par le réseau LVED (Lyon Ville Equitable et Durable). Passionnée par la communication des hommes et des organisations, l’équipe rassemble les consciences autour de projets porteurs de sens pour décupler l’impact en France et à l’international, en particulier en Afrique (Bénin, Togo, Ethiopie, Maroc, Sénégal).

Nathalie Lafrie souligne qu’ils ont rejoint cette démarche de Dakarecofest parce que leur mission c’est de rendre visible les projets qui fédèrent et qui font converger tous les acteurs qui agissent pour un développement durable quel que soit leur secteur d’activité.

L’agence a aussi pour ambition de faire connaitre l’écologie numérique auprès de ces acteurs et de ces entreprises associatives pour leur permettre de communiquer et de sensibiliser dans un environnement digital beaucoup plus sain .

Rappelons juste que l’internet est le plus gros pollueur de la planète avec une consommation électrique mondiale de 1500 TWH par an derrière la Chine et les Etats-unis.

Cependant, des mesures sont actuellement prises par des acteurs tel que Ethical Minds pour réduire l’impact environnemental du numérique.

Biophila, l’une des associations sénégalaises participative au Dakarecofest

Préservons demain, aujourd'hui

Biophila est une association sénégalaise qui a pour vocation de faire du Sénégal, le modèle d’une Afrique écologique consciente. Pour atteindre cet objectif, Biophila compte construire le premier éco-village zéro déchet en Casamance qui sera témoin d’une nouvelle forme de pleine santé, d’alimentation, d’environnement, habitat et culture maraîchère. Pour financer ce projet, le centre Ayama a été mis en place dans le but de promouvoir et de commercialiser les produits made in Sénégal, 100% naturels et locaux.

D’après Carine Fakhoury (présidente de Biophila), l’association s’est mis à la disposition du Dakarecofest pour participer à la sensibilisation des sénégalais autour de l’importance de l’écologie en animant des tables rondes et en s’occupant de la restauration pour valoriser la gastronomie d’Afrique.

Pour sa première édition, le Dakarecofest a été organisé sous le haut patronage de Mr le Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Abdou Karim Sall, avec le soutien officiel de l’ Ambassade de France, de Enda Energie et de la fondation Sonatel et sous les parrainages de Soham el Wardini, Maire de Dakar, Haidar el Ali, Directeur général de l’Agence Sénégalaise de la Réforestation et de la Grande Muraille Verte, et Baaba Maal, Ambassade de la Convention des Nations Unies sur la Lutte contre la désertification.

 

0 comment
0 FacebookTwitterPinterestEmail

La Sonatel a organisé le jeudi 19 Septembre 2019, un afterwork sur “l’importance de l’influence marketing, de la technologie et du digital dans de la mode et de la beauté. Une organisation qui s’inscrit dans le cadre de la 4ème édition de « Let’s Meet Up », une plateforme d’échanges et de partage avec les acteurs de l’écosystème numérique.

Le public a découvert, avec un panel constitué de Felix Simaki, Co fondateur de la plateforme de vente en ligne Fabella Shop ; Sophie, fondatrice de marque Sophie Zinga et Marie Madeleine Diouf, fondatrice de marque Nunu Design, le parcours différents de ces acteurs entrepreneures qui ont réussi à bâtir une marque forte grâce au digital.

« 80% de mon travail se fait à travers les medias car je discute avec les clients sur l’importance de ma marque, je réponds à leurs questions… », a déclaré Marie de la marque Nunu Design. Elle a choisi le tissu africain pour promouvoir le label « Made in Sénégal » tout comme Sophie  à l’échelle internationale.

En effet, le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication a un impact direct sur le comportement des consommateurs auxquels les acteurs du milieu de la mode et de la beauté doivent s’adapter.

Pour rester compétitif dans un domaine, il est primordial d’opérer une transformation digitale et d’être en veille permanente sur les nouvelles tendances numériques afin de rester compétitif, ont-ils estimé.

Après de fructueux échanges entre les panélistes et le public, la rencontre s’est clôturée avec un délicieux cocktail.

La Sonatel, a travers cette rencontre renforce sa position d’acteur majeur de l’écosystème numérique sénégalais.

 

 

 

 

 

0 comment
0 FacebookTwitterPinterestEmail

Elles sont entrepreneuses, scientifiques, investisseuses ou dirigent des incubateurs. Depuis Dakar au Sénégal, les femmes changent l’Afrique par le numérique. 2018 a été une année pivot pour les startups de la technologie en Afrique. Les femmes ont levé 1 milliard de dollars en equity. La majorité de cette somme étant allouée au trio de tête : Kenya, Nigeria et Afrique du Sud. Dans le top 10, un seul pays francophone émerge, avec 22 millions de dollars au compteur : le Sénégal.

Le pays veut devenir le hub de l’économie numérique en Afrique de l’Ouest, et s’en donne les moyens. Tandis que les incubateurs et accélérateurs fleurissent à Dakar, la capitale, des investisseurs déploient des initiatives pour repérer les startups les plus prometteuses, avec un objectif : créer 35 000 emplois dans les nouvelles technologies d’ici 2025. Pourquoi et comment le Sénégal est-il en train de devenir une capitale tech ?

De Dakar à Lagos, plusieurs initiatives ont émergé pour susciter des vocations et inciter les jeunes femmes à devenir entrepreneures dans le digital. « She leads Africa » est l’une d’entre elles. Depuis le Nigéria, sa fondatrice joue les mentors pour révéler le potentiel des innovatrices d’Afrique anglophone comme francophone.

L’écosystème numérique sénégalais compte 30% de femmes. C’est une des raisons qui a amené « La Journée de la Femme Digitale » à s’exporter à Dakar. Lors de sa première édition sénégalaise, l’évènement, qui met à l’honneur celles qui changent le monde par la tech, a décerné son prestigieux prix à Arielle Kitio, fondatrice de Caysti, une startup qui met la robotique et le codage informatique dans les mains des jeunes filles.

 

 

 

 

Source : https://www.france24.com/fr/20192106-tech24-jfd-dakar-senegal-nigeria-entrepreneures-startups-sheleadsafrica-caysti-arielle-kiti

0 comment
0 FacebookTwitterPinterestEmail

Entrepreneuses innovantes, femmes actives ou encore étudiantes enthousiastes… elles seront nombreuses à venir assister à la Journée de la Femme Digitale, qui se tiendra le durant le 13 et le 14 juin 19 à Dakar au Sénégal. Cet événement majeur, destiné à honorer et connecter les femmes dans le digital, rassemble chaque année de nombreuses personnalités de la Tech.

Il s’agit de la première édition de la Journée de la femme digitale en Afrique (JFD), un pendant de l’édition européenne.

Face à l’incompréhensible sous-représentation des femmes dans le numérique et à la tête d’entreprises, la Journée de la Femme Digitale est devenue incontournable. Il y aura de nombreux temps forts avec un concentré de rencontres, de tables rondes autour du partage de savoir-faire et d’expérience. Avec, pour nourrir les débats des personnalités de la tech – femmes et hommes –  qui ont accepté de venir raconter leur parcours et leurs initiatives.

Selon les organisateurs, la JFD constitue deux journées riches et inspirantes, résolument tournées vers une société numérique responsable plus inclusive, articulées autour de l’inspiration, de l’expérience et du networking.

Pour cet important rendez-vous à Dakar, plusieurs personnalités sont attendues. On évoque plus de 350 participants, plus de 50 illustres intervenants, plus de 70 grands noms de la presse et divers partenaires. Le programme prévoit des conférences, des prix «Margaret» qui récompensent une femme digitale engagée pour un monde meilleur et met à l’honneur les fondatrices et cofondatrices de jeunes startups de moins de cinq ans basées en Europe et en Afrique ; et enfin la JFD Learning Expedition qui prévoit une plongée au cœur de l’écosystème tech sénégalais, ponctuée par la visite de plusieurs structures clés du secteur digital.

Les femmes au cœur du digital, une grande problématique

L’organisation de cet évènement vient répondre à une question importante, à savoir celle du rôle joué par les femmes dans le développement actuel des pays. Selon Delphine Rémy-Boutang, initiatrice de la JFD, alors que tous les secteurs sont impactés par la transformation digitale, l’emploi et le numérique sont intimement liés et le digital change le monde. Malheureusement, «alors que le nombre d’emplois dans le numérique ne cesse d’augmenter, le constat est sans appel : les femmes restent minoritaires dans ce secteur pourtant en pleine croissance», a-t-elle constaté.

Pour la responsable, il s’agit d’un sujet qui touche en plein cœur l’économie mondiale. «Or, pour construire un monde meilleur, il nous faut tendre vers une plus grande représentation des femmes. Il nous faut changer les mentalités, il nous faut prendre conscience collectivement de l’importance d’agir en faveur d’une plus grande mixité dans ce secteur porteur de croissance !», lance-t-elle en guise d’appel.

La JFD vient répondre à la préoccupation d’attirer plus de femmes vers le secteur du digital en les invitant à un partage d’expérience. «Les femmes doivent coopter d’autres femmes. Et parce que le Web n’a pas de frontières, il nous faut construire un monde en commun. Bâtir des ponts entre les continents, entre ces femmes qui changent le monde. Il faut que nous le fassions en Europe, mais aussi avec ce continent proche et lointain qu’est l’Afrique : le berceau de l’humanité qui peut en devenir le destin», a expliqué Rémy-Boutang.

 

 

Source : https://afrique.latribune.fr/africa-tech/2019-06-12/technologies-et-genre-la-journee-de-la-femme-digitale-s-invite-au-senegal-820143.html

0 comment
0 FacebookTwitterPinterestEmail

L’Afrique possède des endroits incroyables. Pour ce top voyage, on vous emmène à la découverte de 5 de ces endroits.

Les dunes de Sossusvlei, Namibi

Le désert de sel, Sossusvlei, est l’un des sites les plus visités en Namibie. Ce lieu est surtout connu pour ses dunes de sable rouge et pour sa faible végétation. Il se trouve à 60 km à l’ouest de Sesriem.

Le lac Retba  au sénégal

Le lac Retba est célèbre grâce à la teinte originale de son eau. Cette couleur « rose » est due à un organisme microscopique qui fabrique un pigment rouge pour résister à la concentration de sel. Dans le monde, il existe d’autres lacs roses, comme le Lac Hillier.

Le désert Blanc, Egypte

Le désert Blanc est l’un des lieux privilégiés pour faire du trek. Que vous soyez sur un chameau, en voiture ou à pied, les paysages sont vraiment magnifiques

L’oasis du cratère Wa an Namus, Lybie

C’est dans le désert du Sahara, que l’on trouve l’un des plus beaux sites de Libye. L’Oasis du cr.atère Waw an Namus, aussi appelé « Oasis des Moustiques », comprend une oasis et trois petits lacs salés. A noter que les lacs sont réalimentés par des nappes souterraines presque inépuisables.

Le volcan Dallol Ethiopie

Le Triangle Afar, aussi appelé la Dépression Danakil est l’un des plus ancien sites habités au monde. C’est notamment dans cette région qu’aurait vécue Lucy, il y a 3,2 millions d’années. Il se trouve dans la Corne de l’Afrique.

Source : http://blog.infotourisme.net/top-10-des-endroits-incroyables-en-afrique/

0 comment
0 FacebookTwitterPinterestEmail

L’exploitation imminente des ressources pétrolières et gazières suscite à la fois espoir et émoi au sein de la population sénégalaise. Les montants des recettes prévisionnels donnent le tournis 84 000 milliards de Fcfa selon Mamadou Faye le directeur général de la PETROSEN.

Qu’est ce que l’État prévoit-il de faire avec tout cet argent. L’idée d’en réserver une partie aux générations futures dans une perspective de développement durable est intéressante à plus d’un titre. Toutefois, les Sénégalais-es  devraient être convié-es à une réflexion plus approfondie sur l’usage de cette manne financière pour que cet argent participe « du développement réel du pays et [soit] au bénéfice des populations » comme l’appelle de ses vœux  le Président de la République. Jusqu’à date la démarche adoptée par les autorités (pour autant qu’elle ne cache pas une stratégie politique) est tout de même exceptionnelle. En effet, cette invite à une gestion transparente et inclusive de ces ressources est à saluer en espérant qu’elle soit réelle et effective.

Dans cette lancée heureuse, nous devrions aussi réfléchir sur les avenues à emprunter pour que les incidences financières de l’exploitation de ces ressources soient perceptibles sur le niveau de vie des populations sénégalaises. En d’autres mots, il faudrait s’attendre à une transformation visible des conditions économiques et sociales des populations sénégalaises.

Cette analyse nous fait tomber de plein pieds dans les questions de développement. Toutefois, postuler des perspectives de développement présuppose un tant soi de faire un état des lieux de la situation actuelle à l’aide d’un outil d’analyse ou modèle explicatif. Or, les canevas théoriques utilisés par les théoriciens du développement n’aident pas à une appréhension optimale du réel économique du Sénégal. En effet, l’économie sénégalaise de même que le niveau de développement qui va avec est de nature hybride voire multi-facettes. Ils coexistent des pôles de croissance et de développement soutenu et de déserts économiques et de pauvreté endémique dans les centres urbains. Quant au monde rural, il peine à se sortir d’une pauvreté infrastructurelle et structurelle malgré l’existence de potentiel économique réel. Dès lors, le recours à un modèle explicatif global devient inopérant et impertinent. Par exemple, il sera difficile de se situer les cinq étapes du développement décrites par Rostow tellement les pans de l’économie sénégalaise se prêtent à toutes les cinq étapes du développement ( la société traditionnelle, les conditions préalables au démarrage, le démarrage (take off), la marche vers la maturité, l’ère de la consommation de masse.)

La difficile appréhension de l’économie sénégalaise dans un moule théorique global ne devrait pas nous dispenser d’une analyse situationnelle des pays qui ont été à l’avant-garde du développement industriel tel que l’Angleterre et le Japon et ce, même si les auteurs ne s’entendent pas ici aussi à un modèle explicatif uniforme. La croissance soutenue et solide de ces pays ce serait principalement fondée sur quatre éléments fondamentaux que sont les ressources humaines, les ressources naturelles, la formation du capital et la technologie. Ce qui a amené les économistes Samuelson et Nordhaus, (1998) à soutenir qu’il existerait quatre roues de la croissance (ou facteurs de croissance) qui seraient les ferments de tout développement.

En conséquence, une articulation structurante de ces quatre paramètres à partir des retombées financières issues de l’exploitation du pétrole et du gaz  est attendue dans nos stratégies actuelles de développement pour que la découverte de ces ressources soit une source réelle de profit et profitable à toutes et tous.

Toutefois, il n’en prend pas que cela pour que la mayonnaise du développement tienne. Ce qui, à mon avis, constitue un oubli fondamental c’est la question des valeurs. Elle n’est rarement abordée dans les écrits sur le développement même implicitement. La question des valeurs dans les politiques de développement est donc traitée comme un « allant de soi ». Or, l’analyse des pays dit aujourd’hui développés démontre à suffisance que la construction d’un projet de société sur la base d’un corpus de valeurs partagées telles que le don de soi, la conscience professionnelle, la responsabilité individuelle et collective, la discipline, une solidarité organique a été un puissant moteur de leur essor.

Fort des ces expériences, nos dirigeants ne devraient pas éluder cette question des valeurs dans les stratégies de développement au risque de rendre inefficaces leurs efforts en ce sens. Ainsi, si tant est que les constructions langagières ont des ancrages sociaux réels, les concepts de fula, fayda et jom*  devraient logiquement être le substrat de notre corpus de valeurs.  Ces concepts de notre cru parfois dévoyés et pervertis en raison des conditions sociales et économiques difficiles devront faire l’objet d’un dépoussiérage et d’une réappropriation collective.

À notre sens, mixer nos valeurs traditionnelles aux principes de bonne gouvernance (arrimés à l’idéal de démocratie) à savoir la transparence, la promotion de la justice sociale et en faire le fil conducteur de nos stratégies de développement nous garantirait un succès indéniable considérant que l’humain reste (et doit rester) l’alpha et l’oméga de tout développement.

* Mot sénégalais pour dire vergogne ou courage

0 comment
0 FacebookTwitterPinterestEmail

Si vous habitez à Dakar et ses environs, si vous passez des journées stressantes, si vous avez un travail prenant mais qui vous laisse le temps de souffler un week-end, allez donc vous reposer à Saly, petite station charmante à 80 Km de Dakar.

1

A l’origine un village de pêcheurs, Saly Portudal est devenue « La » station balnéaire du Sénégal.  Avec ses hôtels architecturaux, ses résidences olympiennes, ses somptueux restaurants ses boîtes de nuits « hypes », Saly est l’endroit parfait pour oublier le train-train quotidien.

Elle propose aussi des excursions en quad, en moto, des balades en avion, en hélicoptère, du parachutisme, de l’équitation, des croisières, du ski nautique et même des séances de pêche, d’où son attrait pour les touristes qui viennent s’y réfugier quand le temps n’est plus favorable en Europe.

2

Saly a le charme de Venice Beach, de St Tropes et Las palmas, mais avec un soupçon d’Afrique.  Ne donne-t-elle pas envie de plier bagage pour une destination paradisiaque typiquement Africaine ?

3

5

Prévoyez donc votre prochaine visite a Saly Portugal.

0 comment
0 FacebookTwitterPinterestEmail
Open chat
1
comment puis-je vous aider
Hello
Comment pouvons nous vous aider.
Verified by MonsterInsights