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Savoir comment s’habiller quand il fait froid fait partie intégrante de votre style personnel. Votre volonté de bien vous habiller et de rester stylée en hiver tout en restant au chaud ne devrait pas vous quitter, même si la
saison froide n’est pas la plus simple pour s’habiller avec style. Comment rester stylé sans avoir froid par la même occasion, nous vous proposons 6 vêtements qui feront l’affaire. https://biendansseschaussures.fr/comment-shabiller-quand-il-fait-froid/

1- Le jean

On ne vous présente plus le jean, cette pièce joue un rôle fondamental pour votre style hivernal. Passez beaucoup de temps en jean que ce soit le week-end de façon décontracté ou la semaine de façon plus habillée et plus chic. Il suffit d’opter pour la qualité.

2-Le pull ou gilet en maille

Optez le pull ou le gilet ou encore les deux, ces pièces sont inévitables en hiver pour une touche stylée et protégée du froid choisissez-les en (laine, mohair, velours, coton…) et surtout aventurez-vous vers des couleurs plus fortes.

3-Le manteau

Le manteau est une pièce qui se porte au quotidien en hiver qui définit votre style personnel et vous protège du froid, alors il est très important de prendre votre temps pour bien choisir sa coupe, sa couleur, et sa matière pour bien garder votre look.

4-Le pantalon de tailleur

Le pantalon de tailleur est aussi bon, pour son côté élégant et intemporel. Vous pouvez lui adjoindre une sous-couche en cas de grand froid. Il se porte très bien avec des Low boots montantes +de grosses chaussettes ou de collantes fantaisies.

5-Une paire de collants

Le collant vous permet de continuer à porter vos robes et vos jupes sans craindre le froid, il vous garantit aussi un apport de chaleur, et une mise en valeur de vos jambes qu’il galbe joliment. Vous pouvez opter le collant épais dans sa matière habituelle (du simple polyamide ou de soie dans sa version
plus luxueuse).

6-Le t-shirt ou le caraco thermique

Ils embrassent la partie haute de votre corps et vous tiennent à chaud, que ce soit un caraco léger ou un t-shirt plus enveloppant et c’est une pièce stratégique niveau confort. L’esthétique importe peu, mais on vous conseille de choisir un modèle que vous trouvez tout de même joli.

MODE HIVER !!!

https://azamag.com/quelques-astuces-pour-porter-une-robe-chemise-en-wax/

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Le management est l’art des apparences ! Et tout le monde peut être l’artiste qui occupe un poste de management. Mais combien d’entre vous réussissent à le faire ? Marie Curie disait : « Dans la vie, rien est à craindre ! Tout est à comprendre ! ».

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Je vous laisse vous inspirer de l’exemple de Marianne, jeune manager de 26 ans, qui nous raconte comment elle a fait pour être une jeune femme manager qui assure !

« La génération Y est entrée dans des postes de direction des décennies plus tôt que ceux qui les ont précédés. Et laissez-moi vous dire, le manque d’expérience et de formation en gestion est une combinaison dangereuse. J’ai été promue à un poste de chef d’équipe à 26 ans, moins d’un an après avoir été embauchée. Et j’ai galéré. Je n’avais aucune idée comment gérer les gens et j’étais team leader, en plus je devais superviser des personnes à l’étranger qui avaient deux fois mon âge avec deux fois plus d’expériences. J’ai pris ce défi comme une opportunité de croissance et j’ai passé une année à apprendre à être une excellente manager. »

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Voici quelques conseils non traditionnels d’un manager de 26 ans afin que vous ne fassiez pas les mêmes erreurs que moi :

  1. Ne pas apprendre par l’exemple

Ne sachant pas quoi faire, j’ai copié le style de gestion de mon patron parce que nous avions une relation de travail fantastique et productif. Ce fut un désastre. Il n’y a pas de style copier-coller pour gérer les gens, et pour être un bon manager, il faut pouvoir comprendre les gens. Essayez différentes techniques et prêtez attention à ce qui fonctionne jusqu’à ce que vous créiez votre propre style.

  1. Demandez de l’aide

Quand j’ai réalisé que je me noyais en tant que manager, j’ai contacté notre conseiller en ressources humaines pour obtenir de l’aide. Nous avions des réunions tous les mois pour que je puisse poser des questions et obtenir des commentaires sur des questions précises. J’ai lu des articles et des livres. J’ai demandé aux amis ce qu’ils ont aimé et n’a pas aimé dans leurs gestionnaires et obtenu des conseils de personnes qui dirigeaient des gens depuis des décennies.

  1. Imposez votre pouvoir

À 26 ans, je ne croyais pas que je devais être un leader. Je manquais de confiance, et comme les gens que je supervisais étaient mes pairs ou plus, je me sentais incapable d’être leur manager. Quand j’ai finalement acquis une certaine confiance et essayé d’affirmer une certaine autorité, cela n’a pas fonctionné parce qu’ils connaissaient déjà la personne peu experte que j’étais avant. Imposez votre pouvoir et votre autorité dès le premier jour, même si vous ne pensez pas que vous le méritez.

  1. N’ayez pas honte de réessayer

Vous avez commis des bévues le premier jour ? Gérez vos erreurs avec grâce. Admettez que vous n’êtes pas parfait, et réessayez. J’ai profité de l’occasion qu’il m’était donnée de rejoindre mon équipe sur le terrain pendant une mission pour créer une nouvelle culture. J’ai donné le ton en demandant à mon équipe ce qu’ils voulaient et de quoi ils avaient besoin. Nous avons rédigé une charte d’équipe décrivant nos valeurs, notre façon de travailler ensemble, nos attentes les unes des autres et leurs attentes envers moi en tant que leader. J’ai créé des liens réels et significatifs avec eux et tous les 3 mois, nous faisions le point sur notre charte, toujours en dehors du bureau. Ces points de contact ont été inestimables. Notre équipe était répartie dans deux bureaux, et même si nous étions en contact presque tous les jours, faisions tout pour nous connecter temps réel et assurer une collaboration efficace lorsque nous étions séparés. Si vous n’êtes pas satisfait d’un modèle qui a été créé, de trouver une occasion de le refaire et de reprendre le contrôle.

  1. Demandez-leur feed-back

Lors de nos réunions trimestrielles hors-site, mon équipe et moi revoyons la charte et nous nous assurons que chacun d’entre nous était à la hauteur des attentes et je leur demandais toujours s’il y avait quelque chose de plus que je pouvais faire. J’ai demandé à notre consultant en ressources humaines de demander leurs avis à  toutes les personnes qui n’étaient pas dans mon équipe afin que je puisse savoir ce que les gens pensaient de moi en tant que manager et comment je pouvais évoluer. J’ai appris mes forces, mes faiblesses et mes points de croissance. Mais tout aussi important, j’ai démontré l’engagement à être un bon leader et montré que les dirigeants peuvent être ouverts à la critique et ont besoin de contribution pour grandir. De nombreux gestionnaires et superviseurs pensent que la seule façon de gagner le respect et l’autorité est en se rendant intouchables. Essayez l’approche inverse: exposez votre nature humaine à votre équipe et montrez votre vulnérabilité.

  1. Choisissez parmi vos passe-temps des choses qui peuvent vous aider pour l’inspiration

J’ai trié mes intérêts personnels et choisi la nourriture, le yoga, et la productivité pour rassembler notre équipe. Pendant nos hors-sites, nous pouvions faire un atelier cuisine ensemble comme un exercice de team-building. La passion est un moyen immédiat de créer une connexion.

  1. Encouragez la croissance et soyez transparents sur vos lacunes

La croissance est un facteur nécessaire à la satisfaction au travail. J’étais clair avec mon équipe que je n’étais pas le be-all-end-all pour l’information et la croissance. Je me suis investi avec les ressources humaines pour leur trouver des formations professionnelles adéquates. La formation est un bon levier de management et la connexion de votre équipe avec d’autres experts montrera votre perspicacité et votre intelligence.

En un an, j’avais complètement retourné les choses et bien dirigé le vaisseau. J’avais une équipe connectée et efficace et mes supérieurs dans l’organisation ont vu que mon équipe était une des équipes les plus fortes. Prendre le temps et l’énergie pour devenir un bon manager tôt vous sera bénéfique tout au long de votre carrière. Faites-le en apprenant et en vous connectant intentionnellement avec les personnes que vous gérez.

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Et vous ? Êtes-vous une jeune manager ? Est-ce difficile pour vous ? Parlez-nous-en dans les commentaires !

 

Source: Levo.com    Traduction: LSPRO

Gabrielle                                                                                                                                                                              gabrielle@31.207.37.221 

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Beaucoup de femmes ont tendance à critiquer les autres. Manque de confiance en soi, peur, envie, jalousie, quoiqu’il en soit une femme d’influence est en accord avec elle-même et en tant que leader, elle souhaite aider les autres à exploiter le meilleur de leur potentiel. Cet article te présente 7 façons d’aider d’autres femmes à s’élever .

3points (4)1. SOIS UN MODÈLE

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L’une des plus belles façons d’élever quelqu’un est tout simplement d’être un modèle pour elle. Montre ce que c’est que d’être une femme forte. Chaque femme a besoin d’un modèle, une personne à qui se référer, dont le parcours t’inspire ou est similaire au tien. Sois cette personne pour ces femmes qui se cherchent, ont l’envie de voir loin mais qui sont enfermées dans un modèle qui ne leur correspond pas. 

2. FAIS ATTENTION À TON LANGAGE

Si chaque femme faisait attention à son langage et à la portée des mots qu’elles utilisent en société, certains mots ne seraient pas perçus comme ils le sont aujourd’hui. Être un modèle, c’est aussi avoir le langage adéquate, un langage qui inspire, qui ne révolte pas les autres. ainsi tu pourras impacter d’autres femmes par ta différence, celle de ne pas se conformer à la société.

3. COMPLIMENTE LES AUTRES

Complimenter est un élan de générosité. Laisse de la place à l’autre pour qu’elle puisse s’exprimer et imposer sa présence. Ton amie, soeur, mère ou collègue ne pourra qu’être reconnaissante parce que tu auras su la valoriser, la mettre en avant et lui donner confiance en elle. Qui n’aime pas recevoir des compliments ? Surtout si cela permet à d’autres personnes de pouvoir s’assumer et s’affirmer.

4. PARLE À VOIX HAUTE

Mettre en sourdine ce que tu penses ne t’aidera pas à t’assumer. Certaines ont honte ou sont intimidées. Prendre la parole ou dire les choses qui ne vont pas à voix haute peut les gêner et c’est là que tu deviens un soutien. Si tu vis une situation qui ne te convient pas, n’hésite pas à le dire .

5. ENCOURAGE DÈS LE PLUS JEUNE ÂGE

Être une femme d’influence ne s’apprend pas c’est avant tout un état d’esprit, une volonté, une vision. Pour créer une génération de femmes ayant une vision propre à elle, encourage-les en leur disant qu’elles sont belles et importantes et qu’elles peuvent accomplir des choses extraordinaires.

6. ACCEPTE TOUTES LES FEMMES

Peu importe l’origine, la confession religieuse, la culture, le style une femme reste une femme et sa différence ne doit pas être pointée du doigt bien au contraire, elle doit être acceptée. Être différente ne doit pas être un sujet de moqueries mais un sujet de partage et d’enrichissement pour toi-même et également pour les autres.

7. SOIS BIENVEILLANTE

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La gentillesse n’a pas de prix, que ce soit un sourire, une attention, une aide, un soutien ou du respect. Être gentille ne te coûtera rien mais apportera beaucoup au destinataire de ta bienveillance. De plus, c’est un excellent moyen de donner de la valeur aux autres femmes. Être gentille n’est pas synonyme d’être faible, bien au contraire. Donner de l’attention aux autres te permettra de récolter ce que tu as semé.

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On gagne toujours plus à donner plutôt qu’à recevoir , alors donne la possibilité aux autres d’être meilleure qu’elles ne le sont aujourd’hui. Tu n’enTIRERAS qu’une grande satisfaction.

 SOURCE: Femme d’Influence
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Être une source d’inspiration est différent d’être un leader dans un groupe ou une entreprise. Être inspirante, c’est apporter quelque chose aux autres par sa vie, son quotidien, ses objectifs et son caractère. Si vous ne savez pas comment inspirer votre entourage, cet article est fait pour vous.

3points1-300x671. AYEZ CONSCIENCE DE CE QUE VOUS POUVEZ APPORTER AUX AUTRES

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Pour cela, il faut avoir conscience de ce que vous possédez. Vous êtes une personne riche par votre caractère, vos envies, vos passions, votre histoire… Ces éléments qui peuvent sembler communs vous rendent unique. Grâce à cela, vous vous démarquez des autres .

2. TRAVAILLEZ SUR VOTRE BONHEUR AU QUOTIDIEN

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Le bonheur ne se construit pas en une journée mais sur la durée. C’est un travail qui peut être assimilé à un marathon. Pour pouvoir donner avec amour, bonté, joie – sentiments qui vont rendront attractive- il faut les avoir en vous. Vous ne les cultiverez pas si vous avez un sentiment de non-accomplissement ou de déception personnelle dans votre vie . Chaque jour doit être une opportunité pour travailler sur vos objectifs et sur votre bonheur individuel.

3. TRAVAILLEZ SUR VOUS

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Si vous êtes une personne fermée avec le visage peu expressif et un caractère désagréable, il n’y a aucune chance que vous soyez perçue comme une source d’inspiration. Bien au contraire, vous serez vue comme étant une personne à éviter. Travailler sur votre personnalité, c’est travailler sur vous-même.

4. SOYEZ CONTAGIEUSE

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Cette joie, ce bonheur, ce sentiment d’avancer dans vos objectifs et votre vision personnelle doivent être contagieux. Il faut que votre absence puisse se sentir et non pas que vous soyez transparente lorsque vous vous retrouvez en groupe. Vous devez irradier de sentiments positifs. L’objectif est que tous se sentent bien en votre présence et que vous soyez réclamée.

5. PARTAGEZ VOS EXPÉRIENCES

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Votre passé peut être une source d’inspiration pour les personnes qui vous connaissent. Vous ne pouvez pas connaître complètement le vécu de toutes les personnes qui vous entourent cependant, votre passé peut en inspirer plus d’une à la condition que vous le partagiez. Cela peut vous aider à guérir si ce n’est pas déjà le cas, ou à vous décharger de ce poids. Votre passé ne doit pas être une faiblesse mais une force.

6. LISEZ, LISEZ, LISEZread

Il n’y a rien de mieux que la lecture pour développer son esprit. N’hésitez pas à vous cultiver car votre savoir peut être une source d’inspiration. Il ne faut pas oublier que la connaissance est un pouvoir que vous pouvez posséder littéralement en vous.

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Être une source d’inspiration ne doit pas être un objectif pour être reconnue, aimée ou appréciée des autres. Il doit y avoir un engagement car certaines personnes comptent sur vous pour devenir la meilleure version d’elles-mêmes.

SOURCE: Femme d’Influence

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Tous les ans, le célèbre magazine financier Forbes établit le classement des personnes les plus riches du globe. Parmi les femmes noires, le top 3 comprend Isabel Dos Santos, la businesswoman angolaise, en numéro 2, on retrouve Oprah Winfrey qu’on ne présente plus et en 3ème position, c’est le Nigéria qui est à l’honneur avec Folorunso Alakija, magnat du pétrole qui a commencé sa carrière comme secrétaire dans une banque et qui est aujourd’hui à la tête d’un empire estimé à 1,6 milliards d’euros. Pour produire son premier million d’euros, la businesswoman hors-pair est passée du métier de secrétaire pour une banque à magnat du pétrole. Comment ? Voici un exemple de schéma en 4 étapes pour développer votre entreprise, inspiré par le parcours de Folorunso Alakija.

1. L’ambition pour moteur

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Dans les années 1970, après avoir suivi des études de secrétariat à l’étranger, Folorunso Alakija est rentrée au Nigéria où elle a débuté sa longue carrière (12 ans) en tant que secrétaire d’une grande banque. Au fil des ans, elle gravit les échelons jusqu’à devenir responsable de son service.  

« Soyez toujours déterminée à atteindre le succès car il existe toujours un moyen même lorsqu’il ne semble pas y avoir de solutions. Seules les personnes persévérantes et assidues sauront trouver la voie. » – Folorunso Alakija

Cela peut paraître évident, mais sans ambition et détermination, développer votre affaire est inconcevable. Cet état d’esprit est sine qua non si vous souhaitez atteindre le succès. En France, cette posture peut être mal vue, surtout venant d’une femme : « Elle a les dents qui rayent le parquet », « C’est un vrai requin » Ce type de commentaires négatifs ne doit pas vous freiner. Vous savez ce que vous voulez et comment l’atteindre, il n’y a rien de mal là-dedans. Votre ambition, tel un feu, vous animera pour concrétiser vos objectifs et vous dépasser. Cependant, ce feu ne doit pas vous détruire, mais bien vous permettre de poser les pierres de votre futur empire.

Vous devez le vouloir de toutes vos forces tout en vous donnant les moyens financiers, et en termes de compétences, de réaliser votre objectif. Ceux qui ont connu le succès sont certainement passés par une autre étape tout aussi importante : aimer passionnément leur métier.

2. La passion, votre meilleur atout

Après le secrétariat, Folorunso Alakija a pris le risque de quitter une carrière florissante dans la banque pour poursuivre une carrière dans la mode. Loin d’être un caprice ou une lubie, la mode est sa passion et elle va se donner les moyens de faire de sa passion son métier en reprenant ses études. Elle se forme ainsi dans l’une des capitales de la mode mondiale, Londres, puis revient au Nigéria pour créer son propre label « Supreme Stitches. » En à peine 3 ans, elle en fait un business florissant et est sacrée meilleure designer/styliste de l’année en 1986. C’est là que Folorunso fait son premier million d’euros.

« [En choisissant la mode], je voulais m’assurer que je quitterais la banque pour une carrière que j’aime et qui me rapporte. » – Folorunso Alakija

« Est-ce que c’est quelque chose que je vais aimer faire ? Chaque fois qu’on se lève pour aller au travail le matin, on doit avoir hâte d’aller au travail, pas traîner des pieds avant d’aller au travail. Parce que si ce n’est pas votre domaine d’expertise ou un métier que vous aimez faire, ça veut dire que votre plan de carrière n’est pas le bon. » – Folorunso Alakija

« Il faut être certaine que vous allez aimer la carrière que vous avez choisie. Parce que le chemin vers la réussite peut être effrayant et vraiment vous mettre à l’épreuve. Si vous n’aimez pas ce que vous faites (…) alors ce n’est pas pour vous, parce que la passion est ce qui vous donnera la force de poursuivre et ce, en dépit de ce que vous allez devoir affronter. » – Folorunso Alakija

Pour certains psychologues, être passionné par son activité professionnelle est une des clés du bonheur et de la réussite car vous ne subissez pas votre activité comme une obligation. En dehors des cas d’harcèlement, certains cas de dépression au travail peuvent être causés par des erreurs de carrière.

Bien choisir son activité pour l’affaire que vous développez est une étape très importante. Faire comme les autres n’est pas une solution. Vous devez trouver VOTRE voie. Cela vous permettra d’être forte pour effectuer le chemin qui vous sépare d’un empire millionnaire. Votre succès en dépend.

3. L’investissement, une prise de risques pour aller plus loin

La prise de risque fait partie de l’aventure de tout entrepreneur. Folorunso Alakija ne déroge pas à la règle. Après avoir quitté la banque pour laquelle elle travaillait dans les années 1980 pour créer son label, la businesswoman nigériane s’est lancée dans le pétrole avec son entreprise Famfa Oil. Après avoir pris conseil auprès de personnes avisées, elle a décidé d’investir dans un terrain pétrolifère au Nigéria, sans savoir ce qu’il valait vraiment. Un vrai coup de poker qui a payé. En découvrant la valeur qu’une exploitation d’un tel terrain vaudrait à son acquéreur, le gouvernement nigérian s’est mis en travers de sa route. Au terme d’une bataille juridique acharnée, Folorunso a obtenu justice de la Cour Suprême nigériane, ce qui a fait exploser ses revenus annuels.

« J’ai trouvé beaucoup de portes fermées mais j’ai refusé de laisser tomber et j’ai continué à revenir et ça a payé, regardez où j’en suis maintenant. » – Folorunso Alakija

« Soyez patient et ayez du courage. Le courage c’est la peur qui a fait ses prières. » – Folorunso Alakija

Pour prendre des risques, il faut être sûre de son business et de la direction dans laquelle vous souhaitez aller. Si s’organiser est primordial, atteindre un équilibre l’est tout autant pour atteindre vos grands objectifs.

4. L’équilibre, le secret des grands entrepreneurs

Trop travailler peut rendre malade. Trop peu travailler n’est pas bon pour les affaires. L’équilibre est le secret.

Pour Folorunso Alakija, l’équilibre est arrivé grâce à la spiritualité, en laquelle elle croit beaucoup. Mais également, grâce à sa vie de famille. Elle cite régulièrement son mari, Modupe Alakija et ses 4 fils dans ses discours sur le succès.

« Beaucoup me demandent comment j’en suis arrivée là. Beaucoup se demandent ce qui me rend vivante et d’où je tiens cette force. Bien que beaucoup affirment que je suis devenue leur modèle, j’en donne tout le crédit à Dieu. » –  Folorunso Alakija

« Quand vous vous lancez, demandez à Dieu de vous aider à ne pas dévier de votre plan. Et Il accèdera à votre demande parce que lorsque vous êtes en paix spirituellement parlant, vous avez une tranquillité d’esprit qui vous aidera à atteindre et maintenir un équilibre physique et émotionnel. » –  Folorunso Alakija

La question de l’équilibre revient très souvent dans les discours des plus grands entrepreneurs. Qu’il s’agisse de pratiquer très régulièrement une activité physique, de manger plus sainement, de pratiquer la méditation ou des techniques de respiration ou encore de développer son côté spirituel. La vie de famille est également importante. Mariée depuis 40 ans, Folorunso Alakija a pu accomplir ce parcours hors normes grâce à ces qualités exceptionnelles, mais aussi à son entourage et à leur soutien.

À LIRE AUSSI :  Les 7 secrets de réussite des femmes de succès

Des personnes seules, pas ou peu équilibrées atteignent que très rarement leurs objectifs. Toute personne a besoin de piliers forts physiques ou émotionnels. Entourez-vous de bonnes personnes, qui vous permettent d’avancer, et ne négligez pas les activités qui vous permettront d’atteindre un équilibre.

À l’heure où la femme noire n’est pas toujours représentée de manière positive, l’exemple de Folorunso Alakija est saisissant. Elle est une parfaite incarnation du meilleur de l’ambition et de la détermination. Son intelligence financière a fait qu’elle a su quand prendre des risques et dans quels domaines. Aussi, sa quête de spiritualité et ses actions philanthropes en font une femme humaine, qui œuvre pour que les femmes et les enfants d’Afrique puissent s’élever tout comme elle a pu le faire.

Les 4 étapes décrites dans cet article peuvent paraître simples mais en réalité elles doivent intégrées à votre routine si vous souhaitez développer votre business et en faire une affaire florissante.

« Un jour j’ai osé faire un rêve. Si j’ai pu le réaliser, vous aussi vous le pouvez ! » – Folorunso Alakija

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SOURCE: Femme d’influence

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Au sud du Sahara, le traitement des eaux usées demeure sous-développé, faisant peser sur les pays un coût sanitaire et économique exorbitant. Mais, sous l’impulsion des bailleurs de fonds, les principaux blocages commencent enfin à être levés.

En 2012, la Banque mondiale s’alarmait de l’impact économique exorbitant, sur le continent, du manque d’assainissement : les lacunes de ce secteur, qui comprend l’évacuation des eaux pluviales ainsi que la collecte et le traitement des eaux usées, coûteraient à une vingtaine de pays 1 % à 2,5 % de leur PIB annuel. Soit, au total, près de 4,2 milliards d’euros, si l’on ne tient compte « que » des conséquences sanitaires directes sur les populations (décès prématurés, dépenses de santé, etc.). Et il faut ajouter à ce bilan des effets à long terme plus difficiles à évaluer, comme l’apparition d’épidémies, le mauvais développement infantile ou la dégradation de l’environnement.

Si quelques pays (en particulier le Maroc et la Tunisie) se distinguent très largement et que d’autres, en Afrique subsaharienne (le Burkina Faso, le Sénégal, le Rwanda et le Gabon, notamment), font des efforts malgré un accès limité aux financements, la situation est loin d’être satisfaisante. Environ 30 % des Subsahariens avaient accès à l’assainissement en 2010. Ce chiffre reste inchangé. C’est même l’un des seuls Objectifs du millénaire pour le développement de l’ONU, dont le cycle s’achevait en 2015, dans lesquels quasiment aucune progression n’a été constatée, s’inquiète Jean-Michel Ossete, directeur adjoint du département eau et assainissement de la Banque africaine de développement (BAD). « Cela ne veut pas dire que rien n’a été fait, tempère-t-il. Mais la croissance démographique est telle que les investissements n’arrivent pas à suivre. »

Éduquer les populations – des villes, surtout – quant aux risques liés au déversement des eaux usées en plein air ou dans les canaux réservés aux eaux pluviales est un premier enjeu commun à tous les pays. Mais il n’est pas le seul, et plusieurs autres obstacles doivent être surmontés.

Une planification qui se met lentement en place

Tous les spécialistes interrogés s’accordent là-dessus : le secteur a longtemps souffert d’un manque de volonté politique. « Malgré leurs recettes pétrolières, le Nigeria, le Congo, la Guinée équatoriale, l’Angola et la RD Congo sont tous de mauvais élèves, constate un expert. Le Congo, par exemple, a connu quatre années d’excédent budgétaire, au cours desquelles rien n’a été fait pour l’assainissement. Aucune structure n’est dévolue à ce service ; les mairies sont censées le gérer mais ce n’est pas du tout opérationnel. »

« Le plus gros obstacle est institutionnel », confirme Cassilde Brenière, chef de la division eau et assainissement de l’Agence française de développement (AFD). La Côte d’Ivoire ne s’est dotée d’une société chargée de l’assainissement qu’en 2011 ; le Mali n’en possède toujours pas. Or la mise en place d’un cadre juridique et d’une planification prenant en compte les grandes tendances, comme l’évolution démographique, est prioritaire, estime la spécialiste de l’AFD : « Il faut une vision avant de décider d’un tarif et de sa collecte. »

 

Dakar, qui dispose d’une station d’épuration depuis plus de vingt ans, s’apprête en outre à lancer un vaste programme de dépollution dans la baie de Hann

Dans ce domaine, une amélioration commence cependant à se faire sentir. Ainsi, la Côte d’Ivoire, le Niger, le Cap-Vert et le Bénin travaillent chacun à la rédaction d’un schéma directeur – une première étape essentielle. « Beaucoup de gouvernements africains ont pris conscience, ces dernières années, de la nécessité de développer l’assainissement pour améliorer la santé, le cadre de vie et la productivité », confirme Mamadou Dia, directeur eau et assainissement du groupe Eranove (présent en Côte d’Ivoire avec la Sodeci, au Sénégal avec la Sénégalaise des eaux et temporairement en RD Congo avec la Regideso).

Dakar, qui dispose d’une station d’épuration depuis plus de vingt ans, s’apprête en outre à lancer un vaste programme de dépollution dans la baie de Hann : autrefois paradisiaques, ce bassin naturel et sa plage sont aujourd’hui asphyxiés par les tonnes de déchets domestiques et industriels qui sont déversés dans les canaux normalement réservés aux eaux pluviales… À l’amélioration des conditions de vie des habitants s’ajoute ici un autre enjeu, économique : celui de redonner à la baie son potentiel touristique d’antan.

Des financements de plus en plus accessibles

L’assainissement est encore trop peu souvent prioritaire dans le budget des États. « Il est évident que si l’État a 1 euro à dépenser, il va aller à l’eau potable en priorité », souligne Jean-Yves Gadras, directeur du développement pour l’Afrique et le Proche-Orient au sein du groupe Suez. Or, fait-il remarquer, faciliter l’accès à l’eau signifie aussi augmenter les volumes d’eaux usées à traiter…

Les banques de développement se sont emparées de ce sujet. Ainsi l’AFD a consacré en 2014 près de 200 millions d’euros à des projets d’assainissement bénéficiant à 1,1 million d’habitants sur le continent. Les bailleurs de fonds conjuguent leurs efforts pour prendre en charge la plus grosse partie des investissements, comme les stations d’épuration et les complexes réseaux collectifs de tout-à-l’égout. À Djibouti, par exemple, où 25 % de la population est raccordée aux infrastructures d’assainissement, l’AFD finance, à hauteur de 5,2 millions d’euros, l’installation d’un réseau collectif dans le quartier central de Balbala, tandis que l’Union européenne a permis l’inauguration, en mars 2014, d’une station de traitement des eaux usées (13 millions d’euros).

L’Onea investit sur fonds propres 1,2 milliard de F CFA [environ 1,8 million d’euros] dans le réseau d’égouts ainsi que dans les stations de traitement et de vidange de la capitale, s’enorgueillit Hamado Ouédraogo

Rares sont les pays qui, comme l’Algérie, parviennent à financer eux-mêmes leurs projets de A à Z. Mais certains participent dans la mesure de leurs moyens. L’État gabonais apporte ainsi, aux côtés de l’AFD, près de la moitié du financement d’un réseau d’écoulement des eaux pluviales à Libreville (soit 31,7 millions d’euros). Plus modeste, l’office burkinabè de l’eau potable (Onea) a pris la mesure du problème dès les années 1990. « L’Onea investit sur fonds propres 1,2 milliard de F CFA [environ 1,8 million d’euros] dans le réseau d’égouts ainsi que dans les stations de traitement et de vidange de la capitale, s’enorgueillit Hamado Ouédraogo, directeur général de l’Onea. Un montant qui s’élève à 4 milliards de F CFA par an en comptant les projets d’extension en cours. »

Si les moyens débloqués demeurent modestes au regard des besoins, l’assainissement a l’avantage de pouvoir être mis en place par étapes. « On peut se limiter d’abord à une partie de la chaîne : par exemple, à l’échelle d’une ville côtière, commencer par un système de collecte qui se déverse dans la mer avant d’envisager une station de traitement », souligne Jean-Yves Gadras, de Suez. À Casablanca, dans le quartier de Sidi Bernoussi, le groupe français a inauguré en mai 2015 une usine opérant un premier traitement des eaux usées, doublée d’un « émissaire », une canalisation qui les rejette en mer, loin de la côte. La capitale économique marocaine prévoit de mettre en place, dans un second temps, un traitement plus avancé.

Un modèle économique encore à trouver

C’est le dernier gros problème. Si les consommateurs sont prêts à payer pour de l’électricité ou de l’eau potable, l’assainissement ne bénéficie à personne en particulier… sinon à la communauté tout entière. Trouver un modèle économique permettant de couvrir les coûts d’exploitation des ouvrages (notamment celui des stations, grandes consommatrices d’électricité) est une équation complexe. Certains pays n’en facturent qu’une partie. « Au Burkina Faso, où, en dehors de l’hyper-centre de Ouagadougou, équipé du tout-à-l’égout, subsiste un système de fosses, ce sont les habitants qui paient les vidanges, illustre Cassilde Brenière. De plus, 10 % à 15 % de la facture d’eau servent à payer l’assainissement. » Ce n’est pas suffisant, mais le pays parvient à observer, selon la BAD, un taux de recouvrement de plus de 80 % des factures, ce qui permet déjà d’assurer le service.

« La tarification doit être à la fois compatible avec le niveau des revenus de la population et cohérente avec la qualité du service », souligne Jean-Michel Ossete, citant l’exemple tunisien où les factures atteignent le montant « acceptable » d’une quarantaine de dinars (environ 20 euros) par mois pour une grande habitation. Là où l’eau et l’électricité sont gérées par un même opérateur, comme au Gabon ou dans certaines villes marocaines, le service le plus rémunérateur (l’électricité) peut financer le plus déficitaire (l’eau) via une péréquation tarifaire, afin d’assurer ce service public à un prix plus abordable.

 

#Marion Douet

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