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Boss Lady

Beatrice Cornacchia 2020

En tant que spécialiste du marketing, j’apprécie lorsque la créativité rencontre de grandes perspectives et données pour proposer une approche qui atteint ses objectifs. En tant que femme, j’aime aussi particulièrement voir ce genre d’activités réussies partager des commentaires sur la façon dont notre monde interagit avec les femmes, ou apporter un éclairage essentiel sur la part de notre monde conçu sans avoir les femmes à l’esprit.

Du puissant engagement #ShareTheLoad d’Ariel à Dove, qui nous montre comment représenter les femmes de manière plus inclusive, il existe de fantastiques exemples de marques qui modifient activement les termes du débat pour inclure les femmes et étendre leurs contributions au monde dans lequel nous vivons. Mais il ne s’agit pas seulement d’y reconnaître un changement d’époque ou de rejoindre une campagne d’impact social, il s’agit de bien plus que cela.

Il existe un raisonnement commercial clair des marques qui adaptent leurs stratégies commerciales pour inclure les femmes dès la conception.

En intégrant les diverses perspectives qu’apportent les femmes, en défendant des modèles féminins en tant qu’ambassadrices, en concevant des produits adaptés aux besoins des femmes et en créant du contenu qui encourage les femmes à poursuivre leurs passions, les marques peuvent exploiter efficacement le pouvoir d’achat et l’influence des femmes. Prenons l’exemple des vêtements de sport.

Nous avons pris note lorsque Nike a mis en vedette la star du tennis Serena Williams à travers sa publicité « Dream Crazier » encourageant les femmes à rêver grand, et lorsque la marque a diffusé un spot télévisé appelant à l’acceptation et au respect, mettant en avant la tenace championne olympique sud-africaine du 800 mètres, Caster Semenya. Ce ne sont que quelques-uns des contenus significatifs et « provocateurs » parmi de nombreuses marques qui placent les femmes au centre de la conversation. L’industrie du sport comprend clairement l’opportunité de croissance commerciale qui existe lorsque nous intégrons les véritables perspectives – non imaginées – des femmes.

En attirant l’attention sur la force, les formes uniques et l’athlétisme différencié des femmes, en présentant de véritables modèles dans des vêtements de sport mieux conçus, l’industrie des vêtements de sport pour femmes a fait exactement cela – puiser dans une importante base de consommateurs : les femmes. Quelle pertinence ? Selon l’étude Ipsos « African Women », les femmes représentent la base de consommateurs la plus importante – 89 % des femmes africaines sont les décideurs ou les codécideurs pour les achats des ménages.

 

Maintenant, lorsque nous concevons des produits, des services, des expériences et des solutions pour les femmes, nous devons les envisager à travers les points de vue des femmes.

En ce qui concerne les produits et services, répondons-nous aux besoins réels des femmes ? Avons-nous des idées qui peuvent nous aider à intégrer les expériences des femmes dans le processus de conception et d’innovation ? Nous devons considérer la fonctionnalité et les aspects pratiques de l’interaction des femmes. En somme, nous devons aider à concevoir et à développer un monde en pensant aux femmes et aux hommes.

Pour ce faire, nous avons besoin que les femmes participent au processus de conception et d’innovation, en particulier à l’ère de la quatrième révolution industrielle. Et de ce fait, nous devons inspirer les jeunes filles à envisager et à poursuivre une carrière en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques (STEM) à travers des initiatives comme Girls4Tech. Dans le cadre de ce programme, Mastercard s’est engagée à atteindre un million de filles dans le monde d’ici 2025, dont des milliers en Afrique du Sud, au Nigéria et au Kenya.

Alors, quelle est exactement la valeur d’un monde qui inclut les femmes dans la conception ?

En plus des avantages humanitaires, c’est un montant considérable qui est en jeu. En Afrique subsaharienne, la Banque mondiale estime la perte de richesse mondiale due à l’inégalité entre les sexes à 2 500 milliards de dollars. Et tandis que cinq pays d’Afrique subsaharienne figurent dans le top 10 de l’Indice Mastercard des femmes chefs d’entreprise avec le plus grand nombre de femmes chefs d’entreprise, la Société Financière Internationale (groupe de la Banque mondiale)  indique que plus de la moitié des PME d’Afrique subsaharienne comptant une ou plusieurs femmes propriétaires n’ont pas accès au financement et estime le déficit de financement à 42 milliards de dollars. De toute évidence, les possibilités de financement sont énormes.

Le cabinet mondial de conseil en gestion Oliver Wyman est du même avis. Il estime qu’une opportunité de revenus mondiale de 700 milliards de dollars est actuellement laissée sur la table par l’industrie des services financiers qui ne répond pas pleinement aux besoins des femmes consommatrices.

Pensez à la vitesse accrue à laquelle nous pouvons réduire l’écart entre les sexes en termes d’inclusion financière si nous concevons des produits financiers numériques meilleurs et plus utiles pour les femmes.

En tant que leader des technologies de paiement avec des perspectives mondiales, Mastercard a investi considérablement dans la compréhension des priorités financières des femmes et dans la définition de ces priorités à différents stades de la vie. Après tout, une position spécifique dans le temps influence souvent notre besoin de soutien spécialisé et d’innovations ingénieuses – autant dans les vêtements de sport que dans les solutions financières.

Pensez aux plus de 10 000 femmes commerçantes informelles non bancarisées, vendeuses ambulantes et propriétaires de salons de banlieue qui peuvent accepter en toute sécurité des paiements par code QR grâce au partenariat de Mastercard avec uKheshe, une plateforme d’inclusion financière en Afrique du Sud.

En effet, pour la grande population de femmes exclues, l’inclusion financière ne se limite pas à l’accès à un compte bancaire. Cela signifie également aider à uniformiser les règles du jeu pour les agricultrices qui cultivent la nourriture en Afrique, en donnant accès aux acheteuses, en établissant des prix et en accélérant les paiements. Il s’agit d’espoir pour l’avenir grâce à des solutions de paiement financier telles que Kupaa – qui facilite le paiement des frais de scolarité en montants budgétés – augmentant ainsi la capacité des familles éloignées à garder les filles à l’école.

En prenant la décision consciente d’intégrer le point de vue des femmes dans nos stratégies commerciales, marketing et d’innovation, davantage de femmes bénéficieront de solutions spécialement conçues pour leurs besoins. Davantage d’entreprises verront leurs revenus augmenter. Plus de sociétés connaîtront une productivité élevée. Davantage d’économies vont croître et prospérer.

Après tout, un monde qui fonctionne mieux pour les femmes crée des possibilités illimitées pour nous tous.

 

Par Beatrice Cornacchia, vice-présidente senior chargée du Marketing & de la Communication pour le Moyen-Orient et l’Afrique chez Mastercard.

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La Sonatel a organisé le jeudi 19 Septembre 2019, un afterwork sur “l’importance de l’influence marketing, de la technologie et du digital dans de la mode et de la beauté. Une organisation qui s’inscrit dans le cadre de la 4ème édition de « Let’s Meet Up », une plateforme d’échanges et de partage avec les acteurs de l’écosystème numérique.

Le public a découvert, avec un panel constitué de Felix Simaki, Co fondateur de la plateforme de vente en ligne Fabella Shop ; Sophie, fondatrice de marque Sophie Zinga et Marie Madeleine Diouf, fondatrice de marque Nunu Design, le parcours différents de ces acteurs entrepreneures qui ont réussi à bâtir une marque forte grâce au digital.

« 80% de mon travail se fait à travers les medias car je discute avec les clients sur l’importance de ma marque, je réponds à leurs questions… », a déclaré Marie de la marque Nunu Design. Elle a choisi le tissu africain pour promouvoir le label « Made in Sénégal » tout comme Sophie  à l’échelle internationale.

En effet, le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication a un impact direct sur le comportement des consommateurs auxquels les acteurs du milieu de la mode et de la beauté doivent s’adapter.

Pour rester compétitif dans un domaine, il est primordial d’opérer une transformation digitale et d’être en veille permanente sur les nouvelles tendances numériques afin de rester compétitif, ont-ils estimé.

Après de fructueux échanges entre les panélistes et le public, la rencontre s’est clôturée avec un délicieux cocktail.

La Sonatel, a travers cette rencontre renforce sa position d’acteur majeur de l’écosystème numérique sénégalais.

 

 

 

 

 

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Grande première depuis la fondation de Naspers en 1915 : Phuthi Mahanyele-Dabengwa a été désignée directrice des activités sud-africaines du groupe ce 3 juillet. Avec Mpumi Madisa (directrice générale nommée du groupe Bidvest) elle sera l’une des très rares femmes noires à diriger une société cotée du Johannesburg Stock Exchange.

Âgée de 48 ans, Phuthi Mahanyele-Dabengwa quitte un poste de présidente exécutive du fonds Sigma Capital, et fut précédemment directrice générale du groupe Shanduka, un holding d’investissement créé par l’actuel président sud-africain Cyril Ramaphosa. Elle siège au conseil d’administration de la fondation Cyril-Ramaphosa et fut membre des conseils d’administration de l’opérateur téléphonique Vodacom, du minier Gold Fields et de la compagnie aérienne Comair.

Renforcer ses activités en Afrique du Sud

Sous la responsabilité directe du PDG du groupe, Bob Van Dijk, elle dirigera les activités quotidiennes de Naspers en Afrique du Sud, ainsi que ses deux récentes entités Napers Foundry et Naspers Labs. Naspers Foundry est un fonds d’investissement doté de 88 millions d’euros (1,4 milliards de rands), destiné au financement de start-up  de la tech sud-africaine, tandis que la plateforme Naspers Labs vise à développer les compétences des jeunes sans emploi. « Je suis ravi de rejoindre Naspers à un moment aussi crucial pour le groupe et pour l’Afrique du Sud », déclare l’intéressée dans le communiqué de la firme.

En octobre 2018, le groupe annonçait par ailleurs son ambition d’investir 192 millions d’euros durant les trois prochaines années pour renforcer ses activités en Afrique du Sud.

Projet de cotation

Naspers ne dit rien en revanche sur l’éventuelle implication de sa nouvelle manager dans son projet de coter ses actifs étrangers sur la bourse d’Amsterdam, au sein d’une société baptisée Prosus NV et évaluée à 123 milliards d’euros. De par ses précédentes fonctions, il se pourrait que Phuthi Mahanyele-Dabengwa fasse l’intermédiaire entre Naspers et les autorités sud-africaines, inquiètes de voir les actifs du groupe migrer vers une place boursière étrangère.

 

 

 

 

 

Source : https://www.jeuneafrique.com/798610/economie/afrique-du-sud-naspers-nomme-pour-la-premiere-fois-une-femme-noire-a-la-tete-de-ses-activites-sud-africaines/

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Oh My Flow, un atelier d’écriture, d’accompagnement à l’écriture et de coaching de vie. Aza-mag était invité ce mardi 26 février 2019 à prendre part à l’une de ses séances.

En groupe de 7 femmes, c’est dans un café nommé Layu que nous nous sommes retrouvés. Apres une brève introduction du coach en personne, madame Binetou Diagne, les présentations de chaque participante ont suivi. C’est dans une ambiance conviviale et détendue que ces femmes se sont exprimées sur le thème qui était la « colère ».

Le but de ce coaching était d’amener ces femmes à libérer par écrit ces moments de colère qu’elles gardent enfoui dans leur cœur et devenir auteur de leur propre vie. Pour cette séance, les participantes avaient beaucoup plus à dire qu’à écrire, a remarqué la coach madame Binetou.

Pour plus d’informations sur Oh My Flow : http://yaay.sn/partenaires/oh-my-flow

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« Ce qu’un homme peut faire, une femme peut aussi le faire ». Fameux postulat qui a été à l’origine de beaucoup de débats, de crises, de batailles et de frustrations. D’aucun diront que les femmes ne peuvent pas TOUT faire aussi bien et même mieux que les hommes, d’autres soutiendront le contraire. Il y a également ceux qui disent qu’une bonne croyante ne devrait pas se targuer de savoir tout faire au même titre que les hommes, mais laissons de côté le débat religieux et parlons des femmes dans l’éducation, dans nos écoles, universités et instituts.

Je mets ma main au feu que dans ce domaine, personne ne niera que les femmes ont clairement démontré qu’elles font tout aussi bien que les hommes, et parfois même MIEUX.

Je me rappelle que déjà lorsque j’étais au primaire, il devenait de plus en plus difficile aux garçons d’être premiers de classe. Les filles étaient difficiles à coiffer au poteau. Il y avait toujours cette fille qui excellait dans toutes les matières et qui raflait tous les prix d’excellence en fin d’année. Eh oui !

Ceux qui disaient que la femme n’a pas l’esprit d’analyse et l’intelligence pour exceller à l’école ont eu tord sur toute la ligne ! Et puis, comment une personne capable de gérer un foyer, une famille, une belle famille, un homme pas toujours accommodant et compréhensif, parfois doublé de machisme et de misogynie ; une personne que l’on dit être le socle sur lequel la famille repose, comment cette personne peut ne pas avoir la sagesse et l’intelligence de réussir à l’école ? Je ne faisais que passer…

Cela dit, on a bel et bien vu des jeunes filles qui n’ont pas du tout réussi à l’école. Mais les raisons sont multiples : certaines n’étaient pas du tout intelligentes (c’est aussi valable chez les jeunes garçons), d’autres devaient participer aux corvées ménagères avant et après l’école parce qu’après tout ce sont de filles, pour d’autres encore l’âge du mariage avait sonné et les parents ont estimé qu’une fille n’a pas besoin de beaucoup étudier sinon elle n’obéira ni ne respectera pas son mari, et enfin d’autres ont échoué à l’école parce qu’elles étaient juste belles ! La beauté, sous nos cieux, est parfois un gage d’échec scolaire. Il suffit juste de faire la mauvaise rencontre et de ne pas avoir la tête sur les épaules pour que tout s’écroule… Encore une fois je ne faisais que passer…

Si aujourd’hui nous avons des femmes médecins, professeures agrégées, astronautes, scientifiques, présidentes de la république, c’est bien parce qu’elles sont arrivées au bout de leurs études, malgré les difficultés, les plafonds de verre, le machisme etc… Cela est dû aux nombreux programmes qui ont intégré l’aspect genre et qui ont permis d’envoyer plus de filles à l’école, de leur donner les moyens de réussir, de sensibiliser les parents et la société.

Mais le beau tableau n’est pas si reluisant que ça. Aujourd’hui encore il y a des filles qui doivent se battre pour aller à l’école. Elles peuvent être tuées juste pour avoir voulu aller à l’école ! L’exemple le plus illustratif est celui de la petite Malala Yousafzai au Pakistan. Aujourd’hui encore, certains parents refusent de voir la réalité en face, et préfèrent envoyer les garçons à l’école plutôt que les filles.

Aujourd’hui encore, une femme peut être plus diplômée qu’un homme et juste parce qu’elle est femme et qu’elle prendra certainement des congés maternité, on lui offre le poste de secrétaire plutôt que celui d’ingénieur en chef.

Il reste donc un long chemin à parcourir pour que l’égalité des chances dans l’éducation d’abord puis dans le milieu professionnel soit une réalité. Il est bien beau d’aller à l’école, d’avoir les mêmes diplômes que les hommes, mais où est l’intérêt si on ne peut pas avoir le poste dont on rêve ou le salaire qu’on voulait ?

Surtout que dans ce domaine, les femmes peuvent faire tout aussi bien, sinon mieux que les hommes ?

 

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En ce qui concerne les mails, je pense qu’il y a une conclusion sur laquelle nous pouvons toutes être d’accord: vous voulez que les gens répondent. Sinon, pourquoi voudriez-vous perdre du temps à les écrire?  « Bien sûr, » murmurez-vous à l’écran de votre ordinateur tout en secouant la tête, « Mais c’est plus facile à dire qu’à faire. »

Pousser les gens à appuyer sur le bouton «répondre» est un défi, surtout lorsque ce destinataire est important, demandé et incroyablement occupé. Quand vous savez que vous n’ajoutez qu’une notification de plus à une boîte de réception déjà remplie, il est facile de se résigner au fait que votre message sera peut-être filtrée.

Et si ce n’était pas le cas? Et s’il y avait quelque chose que vous pouviez faire pour augmenter considérablement vos chances de recevoir une réponse? Bonne nouvelle: il y a seulement deux règles simples que vous devez suivre si vous voulez que les gens répondent à vos emails.

 

  • ECRIVEZ DES EMAILS CLAIRS ET PRECIS

L’auteur et expert en communication Zak Slayback a publié sur LInkedin des conseils sur la rédaction des mails.

Dans le post, il mentionne plusieurs conseils qui sont utiles lorsque vous envoyez des emails à des personnes occupées. Mais, celui qui se démarque vraiment est celui-ci: « Ne soyez pas du temps perdu ! ».

Il est important de se rappeler que les gens occupés sont occupés. Donc, si votre message semble prendre beaucoup de temps et qu’il faudra beaucoup de temps pour répondre, il sera probablement laissé pour plus tard (et probablement oublié pour l’éternité).

Comment pouvez-vous démontrer qu’il est effectivement plus facile de répondre à votre courriel immédiatement que de le sauvegarder plus tard? En étant explicitement clair avec votre demande.

Là vous vous dites : « attends une minute . . . je fais déjà des demandes spécifiques moi » et vous argumentez : « hé, je sais écrire des e-mails et  j’inclus déjà des demandes claires dans mes messages. »

C’est facile de penser ça. Mais il est sûr que vous n’êtes pas aussi précis que vous voulez le croire. Alerte spoiler: Des choses comme «pourriez-vous m’éclairer », «j’aimerai avoir votre avis sur » ou «restons en contact» ne constituent pas des demandes aussi claires.

« Ils disent tout simplement : « Perte de temps ! » à la personne très occupée, mais ils ont l’air de demandes claires selon l’expéditeur », explique Slayback. « Il est alors confus ou offensé lorsque la personne très occupée ne répond pas. »

Ainsi, le secret de la réussite des réponses n’est pas seulement de clarifier votre demande, mais aussi de la rendre incroyablement facile à traiter. Voyons un exemple pour illustrer cette différence.

Au lieu d’écrire quelque chose comme:

J’aimerais avoir votre avis sur mon parcours et en savoir plus sur la poursuite d’une carrière en ingénierie. Pouvons-nous planifier un moment pour discuter?

Ecrivez:

Je souhaiterai poursuivre une carrière en ingénierie et je voudrais votre avis sur la question. Selon vous quelle est la compétence clé dont vous pensez que quelqu’un a besoin pour réussir en ingénierie?

Vous voyez la différence? Ce destinataire incroyablement occupé pourrait répondre à cette deuxième question avec un seul mot s’il le voulait, plutôt que de devoir vérifier qui vous êtes, de coordonner son emploi du temps et de décider si vous valez ou non le temps d’un rendez-vous.

  • NE BOURREZ PAS VOS EMAILS

Et là vous vous dites : « mais j’ai plein de choses à demander ! »

Quand vous avez envie d’entrer en contact avec quelqu’un, il est tentant de penser que vous devriez absolument tout dire dans ce seul message. Cependant, c’est la pire approche.

« Une personne très occupée jongle constamment entre l’urgent et de l’important », explique Slayback dans l’article, « Votre email ne doit absolument pas coûter du temps à votre destinataire. » Rappelez-vous : Le temps c’est de l’argent…

En d’autres termes, vous devez commencer par quelque chose de simple et facile. Une fois que vous avez une réponse, vous pouvez continuer sur cet élan.

Alors, bonne chance les lady boss dans vos futures rédactions de courriels.

Source : https://www.fastcompany.com

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Nous avons tous vécu le moment où on doit faire valoir notre point de vue à quelqu’un qui n’est pas d’accord avec nous. Ce que nous faisons généralement, soit nous allons immédiatement sur notre smartphone pour tweeter notre état d’esprit ou nous  faisons une longue publication sur Facebook soit nous envoyons un mail à la personne pour nous expliquer. On croit sûrement que la logique et le pouvoir de nos mots écrits convaincront qui que ce soit qui n’est pas d’accord avec nous et il pourra ainsi comprendre notre point de vue. Mais de nouvelles recherches suggèrent que ces arguments écrits ne sont peut-être pas la meilleure approche.

Cette recherche a été menée par Juliana Schroeder, professeur adjoint de gestion des organisations à la Haas School of Business, Université de Californie, Berkeley, et ses collègues. Dans l’étude de Schroeder sur près de 300 personnes, les participants ont été invités à regarder, écouter et lire des arguments sur des sujets avec lesquels ils étaient en accord ou en désaccord comme l’avortement, la musique et la guerre. Ils ont été invités à juger le caractère du communicateur et la qualité ou la véracité de l’argument. L’équipe de Schroeder a constaté que les participants qui ont regardé ou écouté le communicateur étaient plus convaincus que quand ils ont lu le même argument des communicateurs. Les conclusions de Schroeder ont des implications évidentes pour tous les lieux de communication, en particulier sur le lieu de travail. Les recherches de Schroeder ont également révélé que les participants qui écoutaient ou regardaient les communicateurs étaient également moins susceptibles de les déshumaniser – un phénomène où nous sous-estimons ou diabolisons inconsciemment les capacités cognitives et les attributs moraux des personnes qui ont des opinions autres que les nôtres. Donc, que ce soit pour convaincre un étranger que #MeToo compte, que vous discutiez de la politique avec un ami ou que vous expliquiez en réunion pourquoi votre vision de l’entreprise est la bonne, voici trois conseils pour communiquer efficacement :

 

  1. BIEN CHOISIR SES MOTS QUAND ON ESSAYE DE CONVAINCRE

Nous vivons dans un monde de communication numérique, principalement textuelle. Bien que cela soit pratique (vous pouvez lire un message quand vous voulez), le travail de Schroeder suggère que c’est improductif dans les moments où vous devez convaincre les gens qui ne sont pas d’accord avec vous, car les gens sont plus enclins à vous déshumaniser. Bien sûr, parfois nous n’avons pas d’autre choix que de communiquer par SMS. Si c’est le cas, il est impératif d’être très attentif à votre choix de mots et d’expressions. L’utilisation d’arguments non émotifs, basés sur les faits et rien que les faits, est la meilleure façon de combattre le penchant naturel du lecteur à vous déshumaniser.

  1. OPTER POUR LA COMMUNICATION FACE A FACE SI POSSIBLE

Idéalement, choisissez toujours de transmettre votre argument en personne si vous le pouvez. « Entendre un message d’un adversaire politique [ou autre] peut humaniser l’adversaire, par rapport à la lecture du même message. La raison semble être que la variance dans les signaux naturels para linguistes des communicateurs dans leurs voix (par exemple, le ton) peut exprimer leur réflexion. »

Bien que cela puisse être impossible à faire avec les masses anonymes sur Twitter malgré le nombre impressionnant de smileys dont nous disposons, ou impraticable avec tous vos amis Facebook, sur le lieu de travail, parler à quelqu’un en personne implique souvent rien de plus que de faire quelques pas jusqu’à la porte de son bureau. Et c’est exactement ce que vous devriez faire si vous avez besoin de convaincre votre patron ou collègue de la raison pour laquelle votre projet pour l’entreprise est le bon.

  1. FAIRE UNE VIDEO CONFÉRENCE AU LIEU D’ENVOYER UN EMAIL

Mais même si vous ne travaillez pas dans le même bâtiment que votre collègue, ou si vous habitez dans le même pays que l’un de vos amis sur Facebook avec lequel vous discutez de la sortie de l’Afrique du CFA par exemple, il est maintenant plus facile que jamais de communiquer avec les gens par appel vocal ou vidéo. Ainsi, avant d’envoyer un e-mail ou de poster un message, allez sur Whats App Vidéo ou Facebook Messenger pour un appel vidéo ou audio afin que le destinataire de votre message puisse entendre la variance et les indices para linguistes dans votre voix.

Ce n’est qu’en dernier recours que vous devriez essayer de communiquer avec quelqu’un avec qui vous n’êtes pas d’accord avec les médias sociaux. L’espace limité de Twitter et les courtes périodes d’attention des utilisateurs de médias sociaux rendent votre bataille d’arguments difficile.

Source : https://www.fastcompany.com

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