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L’Afrique possède un lot de merveilles architecturales comme partout dans le monde. Le patrimoine Africain est riche et diversifié, entre pyramides, édifices religieux et sculptures.
Voici 5 des plus beaux monuments que vous pouvez découvrir en Afrique :

LA MOSQUEE HASSAN II

C’est un complexe religieux et culturel qui se trouve au Maroc plus précisément à Casablanca construite en partie sur la mer sur une superficie de 9 hectares. Elle comprend une salle de prière qui peut accueillir 25000 personnes sur (20000m²) et l’ensemble complet 105000personnes .La mosquée Hassan II est l’une des plus grandes mosquées du monde et dispose le minaret le plus haut du monde.

MONUMENT DE LA RENAISSANCE

Structure monumentale en bronze sur la deuxième colline des Mamelles inaugurée en 2010, voulue par le président Wade et construire par la Corée du Nord. Ce monument est la plus haute statue d’Afrique à Hauteur de 52 mètres On y accède par un grand escalier de 198 marches. Voici le message que porte cette statue: “L’homme, la femme et leur enfant feront face au
soleil, symbolisant l’ouverture du continent au reste du monde. C’est une force de propulsion et d’attraction dans la grandeur, la stabilité et la pérennité de l’Afrique”.

LA BASALIQUE DE NOTRE DAME DE LA PAIX

Elle est la plus haute basilique du monde, avec son architecture très largement inspirée par celle des Saint-Pierre de Rome se trouve à Yamoussoukro en Côte d’ivoire .La pierre angulaire a été posée le 10 août 1985 et consacrée le 10 septembre 1990 par le pape Jean-Paul II. Les 24 grands vitraux de la basilique sont réputés pour créer un effet visuel spectaculaire. En effet, il aura fallu 8 400 m² de vitraux dans 5 000 nuances de couleurs différentes pour les créer.

LE MONUMENT DES MARTYRS

Le Monuments des Martyrs est situé à Ouagadougou, Burkina Faso. Également connu sous le nom de Monument aux héros nationaux, ce fut l’un des grands projets du président du Burkina Faso en 1987. Ce monument de 55 mètres et de près de 8000 tonnes est basé sur deux calebasses superposées. Selon les interprétations, celle du haut contiendrait l’eau de l’entente et de la paix retrouvée. Les deux calebasses sont portées par quatre grandes structures qui représentent les quatre étapes de la lutte du peuple pour : l’indépendance, la république, la révolution et la démocratie.

LE SPHINX DE GIZEH

Le grand sphinx de Gizeh est une statue en calcaire d’un sphinx couché, une créature mythique avec le corps d’un lion et la tête d’un humain. Il se dresse sur le plateau de Gizeh, sur la rive ouest du Nil, en Égypte. Selon la croyance populaire, le visage du sphinx représenterait le pharaon Khafre. Le sphinx mesure 73 mètres de long (de la patte à la queue), 20,21 m de haut (de la base au sommet de la tête) et 19 m de large (à l’arrière des hanches). Il s’agit de la plus ancienne sculpture monumentale connue en Égypte.

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Banques, mines, grande distribution, construction… Les multinationales s’arrachent les managers africains. Une aubaine pour ces cadres, qui voient les offres se multiplier et leurs salaires augmenter.

Subsaharien, formé en Europe, possédant une expérience internationale et, si possible, déjà en poste sur le continent… Quel que soit le secteur d’activité, ce profil est devenu une cible incontournable pour les multinationales présentes en Afrique.

« La guerre des talents s’accentue au niveau du middle, et surtout du top management, confirme Paul Mercier, le patron Afrique du cabinet de recrutement Michael Page. Les cadres du continent vieillissent, en particulier les dirigeants qui, pendant longtemps, ont été des expatriés. »

Parmi les secteurs porteurs, la finance fait partie des plus dynamiques, d’après Didier Acouetey, directeur d’AfricSearch, premier cabinet de recrutement consacré au continent. « Les banques cherchent à pourvoir des postes de direction dotés d’une dimension de structuration, de conquête de marchés, mais aussi de support [activités de gestion]. C’est le cas des groupes africains – Ecobank, Bank of Africa, Attijariwafa Bank, Oragroup… – qui s’implantent dans de nouveaux pays. »

Quelques postes d’investment officers, d’auditeurs et de contrôleurs des risques attendent aussi preneurs dans les fonds d’investissement. Quant au secteur des biens de consommation, il a besoin d’assistants marketing et de chefs de produits, indique Didier Acouetey.

La multiplication des écoles de commerce – pas toujours de bon niveau pourtant – permet parfois de répondre à la demande dans les services (au moins pour les postes juniors).

Tracasseries

Les secteurs des infrastructures (routes, énergie…), de la construction ou de l’industrie extractive, dans laquelle Paul Mercier note un ralentissement, rencontrent en revanche plus de difficultés pour trouver leurs ingénieurs et chefs de projets sur place.

Cela n’empêche pas Total de recruter une vingtaine d’ingénieurs (géophysiciens, géologues, spécialistes du forage ou de la mécanique…) en contrat local au Congo, au Gabon et en Angola.

Si « la demande de managers africains de haut niveau est très importante, c’est parce que nos clients privilégient les nationaux, à présent », explique Fanta Traoré, consultante senior chez Robert Walters. Sur des marchés désormais concurrentiels, ils permettent aux entreprises de réduire leurs coûts en évitant de payer des packages (logement, véhicule, primes de sécurité). Leur proximité culturelle avec le continent constitue elle aussi un atout. Par ailleurs, les tracasseries administratives subies pour embaucher des expatriés sont dissuasives.

Conscients de la rareté de leur profil, certains font jouer la concurrence.

Ces managers africains sont recrutés en Europe ou aux États-Unis, plus rarement au sud du Sahara. Résultat : si l’on exclut les avantages annexes, les rémunérations des locaux (Africains « rapatriés » compris), se rapprochent de celles des expatriés. « Lorsque le périmètre d’activité couvert est le même, les grands groupes alignent les salaires africains sur les salaires européens, explique un recruteur. Sur une base de 100 en Europe, un contrat d’expatrié peut atteindre 110 au Sénégal et 125 au Nigeria. Le contrat local, lui, se situe entre 80 et 100. » Didier Acouetey estime que le directeur des ressources humaines d’une grande entreprise en contrat local touche entre 2,5 et 3 millions de F CFA (entre 3 800 et 4 570 euros environ) par mois au Sénégal. Au Gabon, il gagnerait 3,5 millions de F CFA, contre 4 millions pour un expatrié.

Conscients de la rareté de leurs profils, certains managers font jouer la concurrence, déplorent les recruteurs. « Si vous parvenez à retenir une personne à haut potentiel quatre ans, contre au moins six ans en Europe, c’est que votre équipe de ressources humaines est réellement très forte », conclut Guillaume Imbert, d’Adexen.

SOURCE : JEUNE AFRIQUE

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