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Les nouveaux chiffres annoncés par Facebook, lui permettent de mettre en avant ses performances dans l’univers des entreprises annonce.


Facebook a révélé mardi que 60 Millions d’entreprises dans le monde utilisent se services en possédant une Page.  85% des pages d’entreprises sont gérées depuis un mobile et 40% des annonceurs actifs ont créé une publicité mobile sur Facebook. Ces statistiques doivent intéresser le continent africain où le mobile est entrain de révolutionner le mode vie.

Le célèbre réseau social revendiquent 4 Millions d’entreprises utilisant aujourd’hui ses outils publicitaires.  De même, plus de 20% des annonceurs sur Facebook ont créé une publicité vidéo au cours du dernier mois, avec plus de 4 millions de pub vidéos créées.

Récemment lors d’une tournée en Afrique, Mark Zukerberg, le fondateur de Facebook a fait part de optmisme quant à la croissance de son réseau social dans le continent. Il s’est dit aussi ébahi par le talent et l’esprit créatif des ingénieurs kenyans par exemple.

Toujours en ce qui concerne l’Afrique, Facebook veut y booster l’accès à internet. C’est la raison pour laquelle, l’entreprise américaine va lancer un satellite, le Falcon 9 SPACEX,  pour permettre à tous les africains d’avoir accès aux nouvelles technologies.

SOURCE: Réussir Business

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Pour rester dans l’air du temps et accompagner son époque, la BRVM vient de lancer une application mobile et un site d’information continue sur ses activités.


BRVM1La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) a procédé au lancement de son application mobile et de son nouveau site Web, le mardi 04 octobre 2016 à son siège, en présence des acteurs du Marché Financier Régional de l’UEMOA.

L’objectif visé par la BRVM à travers ces outils technologiques innovants est de rapprocher davantage l’information boursière des populations et contribuer à l’accélération de leur éducation financière.

En effet, ils se caractérisent par une convivialité dans la navigation avec un accès plus rapide aux informations recherchées ; une adaptabilité de l’affichage aux différents terminaux et un accès continu à l’information boursière à partir des ordinateurs, tablettes, smartphones etc.

En termes d’innovations majeures, le site web donne la possibilité aux sociétés cotées de satisfaire directement à leurs obligations de divulgation d’information permanente auprès des investisseurs. Quant à l’application mobile, elle offre la possibilité à l’investisseur de suivre de façon instantanée son portefeuille boursier. L’application fournit également en continu des informations sur l’évolution du marché et l’actualité financière ainsi que des alertes sur les évènements concernant les sociétés cotées.

Pour M. Edoh Kossi AMENOUNVE, Directeur Général de la BRVM, l’utilisation des TIC est devenue une nécessité pour toute entreprise souhaitant performer et se démarquer car « plus une entreprise fait une utilisation intensive des TIC, plus elle est innovante ». Puis il a ajouté que : « Les bourses ne sont pas épargnées par cette dynamique car elles ont besoin d’offrir un accès plus aisé aux entreprises et aux épargnants à travers des services de qualité et des produits adaptés ».

Le nouveau site web de la BRVM est accessible sur l’adresse : www.brvm.org et l’application mobile « B.R.V.M » est téléchargeable gratuitement sur Play Store et App Store.

SOURCE:Réussir

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Employés chinois de la ligne de train Addis-Abeba/Djibouti à la gare Feri à Addis-Abeba, le 24 septembre 2016Image copyrightGETTY IMAGES
Image captionEmployés chinois de la ligne de train Addis-Abeba/Djibouti à la gare Feri à Addis-Abeba, le 24 septembre 2016

Après quatre ans de travaux, l’Ethiopie inaugure une nouvelle ligne ferroviaire qui va relier la capitale Addis Abeba avec le port de Djibouti, qui donne sur la mer Rouge.

Cette nouvelle ligne de 750 km enterre l’ancien chemin de fer franco-éthiopien, construit en 1917.

Elle va permettre de relier Addis Abeba à Djibouti en une dizaine d’heures à peine, contre plusieurs jours par une route surchargée et en mauvais état empruntée par des milliers de camions.

Ce train électrique moderne, financé et construit par la Chine, va permettre de développer les échanges entre les deux pays, et de désenclaver l’Ethiopie avec un accès rapide à la mer.

L’Ethiopie, avec plus de 10% de croissance en 2015, affiche une économie en pleine croissance, l’une des plus dynamiques du continent africain.

Cette ligne Addis-Djibouti est le point de départ d’un vaste réseau de près de 5 000 kms de rails, qui relierait d’ici 2020 le Kenya et le Soudan à Djibouti, et à plus long terme, le continent africain d’est en ouest.

Source: BBC AFRIQUE
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Facebook poursuit son développement en terre africaine. Le réseau social a lancé vendredi sa nouvelle version en peul et se décline désormais en sept langues africaines. En attendant plus…

Il est bien loin le temps où Facebook, lors de sa création en 2007, ne connaissait que l’anglais et l’espagnol, les deux langues majoritaires dans les universités américaines, qui ont contribué à son essor. Avec une application de traduction mise en place dès les premiers jours, le réseau social a conquis la planète, adoptant notamment le français en deux petits jours, et ne s’est pas arrêté depuis.

Dans la nuit du jeudi 29 au vendredi 30 septembre, Facebook a ainsi lancé trois nouvelles versions, en corse, en maltais et en peul. Les locuteurs peuls, environ 25 millions d’Africains, ont donc désormais la possibilité de modifier leurs préférences afin d’utiliser la langue de leurs origines. Il suffit d’aller dans les paramètres, de cliquer sur « langues » et de choisir.

Grâce à ce développement, Facebook est désormais disponible dans 101 versions, dont huit pour l’Afrique, qui reste le continent le moins représenté : somali, afrikaans,haoussa, kinyarwanda, swahili, tamazight et malgache. Plus de 40 langues, qui sont proposées au préalable par les utilisateurs du réseau social, sont en outre en cours de traduction par l’équipe de Facebook, la majorité étant rares et classées en danger par l’Unesco.

Un seul bureau, sur 49 dans le monde, situé en Afrique

Plus d’1 milliard de personnes utilisent aujourd’hui le réseau de Mark Zuckerberg dans une langue autre que l’anglais. La plateforme revendique 1,71 milliard d’utilisateurs actifs mensuels en juin 2016. Parmi eux : 84 millions, seulement, en Afrique subsaharienne, encore handicapée par le manque d’accès à Internet.

Facebook considère donc depuis quelques années le continent comme le dernier grand espace à connecter. Pour le conquérir, Mark Zuckerberg, qui était fin août en visite au Nigeria et au Kenya, a notamment l’ambition de connecter tous les Africains à Internet avec des projets comme le satellite AMOS-6 ou les drones solaires Aquila.

La marche est encore relativement haute. Petite indication : la société ne dispose pour le moment que d’un seul bureau en Afrique, à Johannesburg, sur les 49 déployés dans le monde entier. Elle en compte en revanche quatorze aux États-Unis, douze en Europe, neuf en Asie, sept sur le continent américain (hors États-Unis), quatre en Océanie et deux au Proche-Orient.

Source: Jeuneafrique

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Créé en 2013 par les frères Durov, Telegram revendique aujourd’hui plus de 100 millions d’utilisateurs dans le monde. Si son usage est encore confidentiel en Afrique, cette discrétion pourrait ne pas durer. Décryptage d’une application… cryptée.

En lançant Telegram, Nikolai et Pavel Durov s’attendaient-ils à un succès planétaire ? Pas si sûr. Les deux frères avaient bien créé VKontakte, mais ce réseau social, assez similaire à Facebook, n’avait pas dépassé les frontières du monde russophone. Pourtant, après que celui-ci a été repris par des proches de Vladimir Poutine, les Durov ont bel et bien conquis le monde. Avec Telegram.telegram

En octobre 2013, le service, basé à Berlin, en Allemagne, comptait 100 000 utilisateurs actifs. Le 24 mars 2014, Telegram annonçait 35 millions de fidèles mensuels et 15 millions  par jour. En décembre 2014, il annonçait avoir un million de nouveaux utilisateurs par semaine. Enfin, en septembre 2015, Telegram atteignait, officiellement, la barre des 12 milliards de messages par jour (il ne propose pas de service d’appels) et revendique aujourd’hui plus de 100 millions d’utilisateurs dans le monde !

S’il est difficile de vérifier ces annonces, le succès semble indéniable. Il se base sur plusieurs arguments simples, outre le fait que l’application est gratuite et qu’elle prend ainsi l’avantage sur les messageries des opérateurs traditionnels, au même titre que WhatsApp. Voici pourquoi l’essor pourrait continuer avec le continent africain.

L’application fonctionne sur tous les supports

Telegram est accessible sur tous les supports ou presque. Il est donc possible de débuter une conversation sur le web avec son ordinateur et de la poursuivre via l’application sur son smartphone. Un atout de taille pour les utilisateurs jonglant entre les différentes technologies. Le concurrent principal du Russe ne s’y est d’ailleurs pas trompé : WhatsApp a lancé en mai 2016 une version pour ordinateur qui propose, grosso modo, les mêmes fonctionnalités.

Les groupes de discussion sont extrêmement larges

C’est l’autre gros avantage de Telegram : la taille des groupes que l’utilisateur peut créer, qui peut contenir jusqu’à 5 000 membres depuis mars dernier. Dès lors, une personnalité politique (ou un parti) pourra choisir de diffuser ses idées via ce système, comme le fait d’ailleurs le président Hassan Rohani en Iran. Rien d’étonnant : privés de Facebook et Twitter, associés aux États-Unis, les Iraniens sont 20 millions à avoir recours à l’application d’origine russe.

L’autre fonctionnalité populaire de l’application est la possibilité de créer des « channels », des forums de discussion où n’importe qui peut venir parler d’un sujet. Depuis le 22 septembre, Telegram permet ainsi à ses utilisateurs de suivre des groupes de conversation dont l’audience est illimitée.

La fonctionnalité n’a pas tardé à faire des heureux, d’autant que Twitter durcissait, sous la contrainte, son système de modération. Peu après le lancement, l’État islamique y faisait la promotion de sa chaîne officielle : Nashir (« diffuseur ») et Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) y revendiquait les attaques de Grand-Bassam, en Côte-d’Ivoire, le 13 mars 2016. L’application est par ailleurs assez laxiste dans sa modération et n’a commencé à supprimer des « channels » associés à l’État islamique qu’à la fin de l’année 2015.

La confidentialité est plutôt rassurante

La renommée de Telegram vient surtout de la confidentialité que l’application affirme assurer. Pavel Durov explique ainsi l’avoir co-créée pour échapper à la surveillance du gouvernement de son pays. Telegram propose des « chats secrets », dont les messages s’autodétruisent après avoir été lus par le destinataire. Elle affirme surtout être « plus sûre que les autres applications de messagerie grand public », n’hésitant pas à s’attaquer directement à WhatsApp via les réseaux sociaux. D’ailleurs, c’est bien en février 2014, au moment du rachat de WhatsApp par Facebook, que Telegram a véritablement commencé à conquérir le monde.

Pourtant, l’application Telegram n’est pas aussi sûre qu’elle le prétend. Seuls les messages secrets sont chiffrés de bout en bout entre l’expéditeur et le destinataire, mais ceux envoyés via la messagerie ou les groupes, bien que protégés, passent par les serveurs de l’entreprise. Celle-ci dispose donc d’une copie des échanges mais également des carnets d’adresse de tous les utilisateurs, ce qui rend ces données vulnérables au bon-vouloir ou à la sécurité de Telegram.

Des chercheurs en sécurité ont en outre dénoncé, comme pour WhatsApp, des failles de sécurité permettant de récupérer les métadonnées des utilisateurs. Reuters affirmait également début août 2015 que les données de 15 millions d’utilisateurs iraniens de Telegram avaient été piratées par des hackers. Une information ensuite démentie par l’intéressé.

Certains leaders d’opinion l’utilisent déjà

Depuis peu, nombre de personnalités africaines s’inquiètent, à tort ou à raison, de l’espionnage dont ils assurent faire l’objet sur les réseaux numériques. WhatsApp a construit son succès sur ce point et Telegram espère en faire autant. De nombreux dirigeants politiques français utilisent déjà l’application, notamment Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron et Arnaud Montebourg ou encore des collaborateurs de François Fillon et Nicolas Sarkozy.Il y a une tendance dans nos pays à vouloir surveiller les communications numériques.Mais, en Afrique,  les adeptes restent pour l’instant peu nombreux. « Les Africains de l’Ouest sont plus présents sur WhatsApp », explique un utilisateur nigérien, qui assure se servir de Telegram pour ses conversations sensibles. « Il y a une tendance dans nos pays à vouloir surveiller les communications », justifie-t-il. Mais cela pourrait ne pas durer. Au Brésil notamment, Telegram a enregistré des records, avec plus d’un million d’inscriptions par jour à certaines périodes.

De quoi espérer un « boom » africain ? Quelques leaders d’opinion y sont en tout cas d’ores et déjà présents, sans y être forcément très actifs : les Nigériens Ali Idrissa, membre de la société civile, Amadou Boubacar Cissé, ancien Premier ministre,Ibrahim Yacouba, actuel ministre des Affaires étrangères, le cyber-activiste Sénégalais Cheikh Fall, l’opposant gabonais Mike Jocktane ou encore le Congolais Fidèle Babala, du Mouvement de libération du Congo (RD Congo).

 

Source: www.jeuneafrique.com

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La start-up fondée par les Togolais Jean-Marc Kouevidjin et Nasser Falana rêve d’interconnecter les populations africaines pour contribuer au développement du continent. La plateforme revendique 250 000 comptes enregistrés en trois ans. Ses promoteurs espèrent mobiliser des investissements de l’ordre de 1 million à 10 millions de dollars afin d’accélérer la croissance de Mivasocial

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Jean-Marc Kouevidjin et Nasser Falana sont des Togolais installés aux États-Unis depuis près d’une décennie. Mais ils passent désormais plus de temps en Afrique (au Togo et au Bénin) qu’au pays de l’oncle Sam.

Tout commence en 2013 avec un constat : bien qu’il y ait des réseaux sociaux utilisés sur le continent par des millions d’Africains, aucun n’est ancré dans le quotidien des habitants, estiment les deux entrepreneurs togolais.

De la page à « selfies » à l’e-commerce

Les deux associés décident de concevoir une plateforme dont la vocation première est de « faire gagner le continent ». Les deux fondateurs s’autofinancent et investissent près de 20 000 dollars dans la réussite de leur projet. Togosocial voit le jour en mai 2013, suivent des déclinaisons au Bénin, en Côte d’Ivoire ou au Kenya, qui sont toutes intégrées à Mivasocial.com en 2015 avec une ambition panafricaine.

Cette plateforme sociale qui revendique aujourd’hui près de 250 000 utilisateurs – principalement au sein de la diaspora africaine en Europe et en Amérique du Nord – veut valoriser le continent à travers la mise en avant de ses différentes cultures, de l’art, de la technologie et du potentiel commercial africain. Un objectif encore très général qui se concrétise de façon un pue confuse à l’ouverture de Mivasocial.com.

Des applications très variées s’y côtoient : des actualités africaines, des blogs, une galerie de « selfies » ou encore une page d’achat et vente de biens de consommation.

Une foison d’utilisations totalement assumée par les fondateurs, qui entendent positionner leur « Facebook 100 % africain » dans le commerce, l’art, le journalisme, le financement participatif, l’éducation, la messagerie instantanée, la télévision, la radio en ligne et les solutions d’hébergement de sites.

Tout commence en 2013 avec un constat : bien qu’il y ait des réseaux sociaux utilisés sur le continent par des millions d’Africains, aucun n’est ancré dans le quotidien des habitants, estiment les deux entrepreneurs togolais.

De la page à « selfies » à l’e-commerce

Les deux associés décident de concevoir une plateforme dont la vocation première est de « faire gagner le continent ». Les deux fondateurs s’autofinancent et investissent près de 20 000 dollars dans la réussite de leur projet. Togosocial voit le jour en mai 2013, suivent des déclinaisons au Bénin, en Côte d’Ivoire ou au Kenya, qui sont toutes intégrées à Mivasocial.com en 2015 avec une ambition panafricaine.

Cette plateforme sociale qui revendique aujourd’hui près de 250 000 utilisateurs – principalement au sein de la diaspora africaine en Europe et en Amérique du Nord – veut valoriser le continent à travers la mise en avant de ses différentes cultures, de l’art, de la technologie et du potentiel commercial africain. Un objectif encore très général qui se concrétise de façon un pue confuse à l’ouverture de Mivasocial.com.

Des applications très variées s’y côtoient : des actualités africaines, des blogs, une galerie de « selfies » ou encore une page d’achat et vente de biens de consommation.

Une foison d’utilisations totalement assumée par les fondateurs, qui entendent positionner leur « Facebook 100 % africain » dans le commerce, l’art, le journalisme, le financement participatif, l’éducation, la messagerie instantanée, la télévision, la radio en ligne et les solutions d’hébergement de sites.

“Toutes les applications gravitent autour du réseau social qui constitue la valeur humaine de la plateforme. Plus le réseau grandit, plus les autres applications grandissent avec. Le réseau est donc l’application la plus utilisée par les membres Mivasocial”, expliquent les fondateurs. Viennent ensuite le chat, Mivachat, la Miva TV pour les vidéos, puis le commerce en ligne.

Une dizaine d’employés et volontaires aux États-Unis, au Togo et au Bénin

De là à perdre les usagers ? Non, répond Jean-Marc Kouevidjin, ingénieur de réseau et spécialiste des télécommunications. Son ambition est d’offrir une identité propre aux passionnés des réseaux sociaux sur le continent, et ce en brisant les frontières. « Nous voulons voir un marchand au Nigeria vendre à un Kényan de Nairobi par un canal proprement africain », indique l’entrepreneur.

Les fondateurs tablent aussi sur les synergies et les rebonds d’une application à l’autre. « En regroupant les cibles sur une plateforme, cela devient plus facile de coordonner des actions sociales, de leur présenter des produits, de promouvoir des services, de faciliter le commerce en ligne, l’interaction sociale et la valorisation des efforts des africains », expliquent les promoteurs de Mivasocial.

L’entreprise a aujourd’hui ses bureaux aux États-Unis, au Togo et au Bénin et emploie une dizaine de personnes, qui pour l’heure interviennent sur la base du volontariat. Les charges, de l’ordre de 14 000 dollars par mois environ (serveurs, infrastructure, développement…), sont couvertes par le chiffre d’affaires qui jusqu’à présent a fluctué entre 16 000 et 25 000 dollars par mois.

Le but premier pour Mivasocial est de parvenir à se développer selon ses prévisions, dans chaque marché national puis en tant que moteur de promotion de l’Afrique aux yeux de la diaspora africaine.

Mivasocial joue des coudes face aux géants internationaux

Pour ce faire, la plateforme veut se singulariser sur un marché africain et jouer des coudes avec les géants mondialisés (Facebook, Instagram, Twitter, WhatsApp, Skype…) mais aussi les e-commerçants plus africains tels Jumia et Konga.

Une ambition qui semble sous doute démesurée dans un premier temps, mais selon les promoteurs de cette plateforme, sa conception technique permet d’augmenter considérablement le nombre d’usagers sans risque de crash.

« Mivasocial est conçu à la base pour être extensible et capable de supporter plusieurs millions d’utilisateurs dans sa configuration actuelle », disent les deux fondateurs.

A fortiori, Mivasocial n’entend pas tout faire seul. Des partenaires pourraient par exemple y brancher d’autres solutions.

Une levée de fonds en discussion

La prochaine étape consiste à rechercher des financements externes pour faire connaître leur produit sur le continent. Leur objectif rêvé d’ici 2020 est d’atteindre plus de 10 millions d’utilisateurs à travers le monde. Pour y arriver, un financement de 1 à 3 millions de dollars devra être levé avant fin 2017 ou au plus tard en 2018. Puis un autre tour de financement de 5 à 10 millions de dollars sera nécessaire en 2019. Des discussions sont en cours avec deux investisseurs potentiels, insistent les promoteurs de Mivasocial, qui ne souhaitent pas pour l’instant dévoiler leur identité.

Les ressources mobilisées financeront dans un premier temps une campagne poussée de marketing. Mivasocial ayant atteint son volume d’usagers actuels par le seul bouche-à-oreille, une action publicitaire au Nigeria, en Côte d’ivoire, au Kenya ou en Afrique du Sud pourrait booster son audience. Le reste des fonds levés irait à l’ouverture d’autres bureaux dans plusieurs pays africains stratégiques.

Source: jeuneafrique.com

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La NASA (National aeronautics and space administration) et l’USAID (United States agency for international development) ont lancé ce 14 juillet à Niamey au Niger le programme « Servir Afrique de l’Ouest ».

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Ce projet vise à fournir aux gouvernements et autres décideurs des images satellitaires, des données aérospatiales et des cartes pour mieux prendre des décisions dans quatre domaines : la sécurité alimentaire et l’agriculture, l’eau et les catastrophes, la météo et le climat, l’utilisation du sol.

Selon Issifou Alfari, chef du projet « Servir Afrique », ce programme utilise les données d’un ensemble de satellites d’observation de la terre, les données de terrain et les technologies de l’information aérospatiale pour produire une panoplie d’informations environnementales, de cartes, de données satellitaires, etc., issues de capteurs et d’autres outils d’analyse.

D’une durée de cinq ans, ce programme va promouvoir l’utilisation de ces techniques et de ces informations pour renforcer la résilience de la région face aux impacts des changements climatiques ; mais aussi pour garantir une gestion durable des terres et une réduction des émissions des gaz à effet de serre.

« La NASA est fermement engagée dans les sciences de la terre et dans les valeurs que celles-ci peuvent fournir au monde entier » a déclaré à cette occasion Charles Bolden, l’administrateur général de la NASA.

« Avec l’USAID, nous continuons nos efforts en vue d’une utilisation de la science aérospatiale dans le monde en temps réel ; ce qui change la vie des communautés là où elles se trouvent », ajoute-t-il.

« Servir Afrique de l’ouest va engager des scientifiques de la région pour créer un partenariat afin de faire face aux défis majeurs de la région », précise Alex Deprez, directeur du bureau régional de l’USAID pour l’Afrique de l’ouest.

Il martèle que « il y a une demande immédiate de connecter les sciences et les technologies disponibles aux solutions de développement en Afrique de l’ouest ».

Dans cette partie du continent, les deux tiers de la population dépendent de l’agriculture pour leur survie et des études récentes de modélisation du climat indiquent que cette région est extrêmement vulnérable aux effets des changements climatiques et à la variabilité des précipitations.

Informations récentes et fiables

Ces projections, annonce l’USAID, soulignent la nécessité d’avoir accès à des informations récentes et fiables pour les prises de décisions.

Dans sa phase initiale, le programme se focalise sur quatre pays : Burkina Faso, Ghana, Niger et Sénégal.

« Nous sommes particulièrement sensibles à cet appui d’une valeur inestimable que nous offrent l’USAID et la NASA », se réjouit Birgi Rafini, le Premier ministre du Niger.

Ajoutant que « cette implication au plan technique de la NASA permettra de renforcer durablement nos capacités d’utilisation des informations d’observation de la Terre et des technologies géospatiales dans les prises de décisions en matière de développement durable ».

D’une valeur de 12,5 millions de dollars sur financement de l’USAID, « Servir Afrique de l’ouest » sera mis en œuvre avec le concours du CILSS (Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse dans le Sahel).

Selon la NASA, le programme Servir a déjà développé 70 produits d’adaptation et d’atténuation au changement climatique dans 41 pays, à l’instar du Kenya qu’il aide dans les prévisions des inondations et de ses effets.

Source: Scidev.net

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tgv_nigeriaPremière économie du continent, le Nigéria aime faire les choses en grand. Aucun domaine n’y échappe. Après ses ambitions spatiales, le Nigéria vient d’achever la mise en place de ses premières lignes TGV dans le pays, mais aussi en Afrique de l’Ouest.

À Abuja, les citoyens habitués aux trains de 50Km/H vont devoir attacher leurs ceintures. En effet, un TGV a d’ores et déjà ouvert ses portes dans la ville à titre gratuit en attendant le lancement à la fin du mois par le président.

Les premiers passagers qui ont donc voyagé gratuitement ont pu tester le nouveau joyau national. Pouvant atteindre la vitesse de 150km, le premier train devrait permettre de réduire les accidents sur le tronçon Abuja-Kaduna (long de 180km). Ce parcours est employé en majorité par les travailleurs qui passent leurs semaines à Abuja et rentrent le week-end à Kaduna. A terme, le porjet, lancé par l’ancien président Goodluck Jonathan, devrait couvrir 54 stations disséminés dans le pays.

Source: Mboapage.com

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La Gendarmerie nationale met en garde les parents un peu (trop) gagas de leurs enfants, naïfs ou les deux. En effet, combien de parents postent sur Facebook des photos de leur progéniture , des clichés touchants, gnangnan, mignons montrant les prouesses ou les bêtises de leurs enfants. Mais, qui dit mise en ligne en public dit aussi risque que ces photos soient récupérées par des personnes malveillantes.

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C’est le sens du message posté sur le compte Facebook de la Gendarmerie nationale : « Préservez vos enfants ! Si vous avez suivi Facebook, une chaîne de publication est à la mode en ce moment : « Si tu es fière de tes enfants, poste 3 photos et nomine 10 de tes amies pour faire pareil ! ». Bon, certes, vous pouvez être toutes fières ou fiers d’ailleurs d’être une maman ou un papa de magnifiques bambins, mais attention ! Nous vous rappelons que poster des photos de ses enfants sur Facebook n’est pas sans danger ! 
Il est important de protéger la vie privée des mineurs et leur image sur les réseaux sociaux. »

De son côté, le réseau social a certes pris la mesure du danger et promis de créer une notification pour alerter les parents qui mettent en ligne des photos de leurs enfants sur un profil public. « Si je devais publier une photo de mes enfants jouant au parc et qu’accidentellement je le partageais en public, ce système pourrait dire : « Hey, attends une minute, c’est une photo de tes enfants. Normalement tu ne les envoies qu’aux membres de ta famille, es-tu sûr de vouloir faire ça ? » Voilà une idée parmi d’autres à laquelle pense Facebook pour faire face au phénomène […]», déclarait à l’automne dernier le vice-président de l’ingénierie de Facebook. A ce jour, pourtant, cette notification n’existe toujours pas.

A terme, l’idée est d’éviter que ces clichés ne soient récupérés par des réseaux de pédophiles mais surtout de protéger la vie privée des enfants. Devenus ados ou adultes, ils n’ont pas forcément envie de retrouver sur la Toile des photos d’eux, petits. Une protection de leur intimité bien légitime et une responsabilisation nécessaire des parents qui cliquent souvent plus vite que leur ombre… A défaut de mettre ces photos en public, il suffit de les partager avec un nombre restreint d’amis.

Source: FEMME ACTUELLE

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