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Les deux pays, qui bénéficient à la fois de gigantesques réserves gazières – dont l’exploitation est attendue en 2023 – et d’un potentiel solaire et éolien manifeste, élaborent un plan de route énergétique similaire qui doit leur permettre d’accélérer l’électrification et d’en baisser le coût. https://azamag.com/initiative-pour-la-suspension-du-service-de-la-dette-le-japon-accorde-au-senegal-un-moratoire-pour-93-millions-820-mille-fcfa/

Avril 2015 : la junior texane Kosmos Energy annonce la découverte d’un gigantesque réservoir de gaz baptisé Grand Tortue Ahmeyim (GTA) à 125 km au large des côtes sénégalaises et mauritaniennes. Pile sur la frontière maritime entre les deux pays, ce qui oblige ceux-ci à partager avec les exploitants BP et Kosmos les 425 milliards de mètres cubes de gaz et le pactole de leurs ventes estimé à une centaine de milliards de dollars sur plus de vingt ans.

Les explorations suivantes font apparaître de nouveaux puits. Dans les eaux mauritaniennes, c’est le bloc de Bir Allah qui laisse espérer 50 % de gaz supplémentaire. Dans les eaux sénégalaises, le bassin gazier de Yakaar-Téranga s’avère lui aussi de taille mondiale. Cerise sur le gâteau, l’importance du champ mi-pétrolier mi-gazier de Sangomar est mise en évidence, cette fois, par les australiens Woodside et FAR.

Les retombées de l’exploitation de ces gisements provoqueront des révolutions dans les budgets, dans les économies et dans le développement des deux pays. Il leur faut se préparer – à partir de 2023 en principe – à l’arrivée de recettes budgétaires accrues, d’une électricité plus abondante et moins chère, d’une énergie plus propre et de nouvelles possibilités d’activités manufacturières.

Source : jeune afrique https://www.jeuneafrique.com/1151985/economie/senegal-mauritanie-des-strategies-electriques-jumelles/#:~:text=Il%20leur%20faut%20se%20pr%C3%A9parer,nouvelles%20possibilit%C3%A9s%20d’activit%C3%A9s%20manufacturi%C3%A8res.

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Le Nigeria a pris des mesures drastiques pour développer sa production locale de riz, emboîtant le pas au Mali, au Sénégal et à la Côte d’Ivoire. https://www.jeuneafrique.com/mag/1033825/economie/nigeria-senegal-mali-quelles-strategies-pour-atteindre-lautosuffisance-alimentaire/#:~:text=Le%20Nigeria%20a%20pris%20des,163%20milliards%20pour%20le%20Cameroun.

Quelque 300 milliards de F CFA pour la Côte d’Ivoire, environ 190 milliards pour le Sénégal et autour de 163 milliards pour le Cameroun : ce sont les
montants des factures annuelles acquittées par ces trois pays pour combler leur déficit en riz en recourant aux importations.

Ces dernières années, ils se sont pourtant engagés (comme l’ensemble des États de la région, à commencer par le géant nigérian) à atteindre
l’autosuffisance au plus vite. À Dakar, on l’avait annoncée pour 2017, en vain. Abuja vise 2022, Niamey 2021, et Abidjan s’est fixé la date de 2025.Questions de sécurité alimentaire et de souveraineté
nationale.

En Afrique de l’Ouest, le riz, plus que toute autre céréale, est stratégique. Sous l’effet conjugué de l’essor démographique, de l’urbanisation et de la
hausse des besoins individuels, la consommation de riz a été multipliée par quatre en trente ans, selon le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad).

Source : Jeuneafrique

https://azamag.com/coronavirus-les-economies-dafrique-subsaharienne-touchees-de-plein-fouet/

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