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Etre efficace dans votre travail.  Organiser son rythme et rendre le travail ludique. Le Coach Kader donne des pistes dans cette troisième et dernière partie.


Organiser son temps est primordial

Organiser son temps est primordial

5. Connaître votre rythme biologique

Il est important d’écouter votre corps et de connaitre votre rythme biologique. Cela permet d’organiser sa journée de travail en fonction des fluctuations d’énergie. Il faut s’attaquer aux tâches les plus complexes quand vous avez le plus d’énergie et inversement, les tâches les plus simples doivent être réservées aux moments de la journée où votre énergie baisse.

6. Prendre des pauses

Ceci peut sembler contre intuitif je vous l’accorde. En fait le cerveau ne peut fonctionner à son niveau optimal que pendant un temps limité. Alors si vous travaillez sur des tâches complexes qui demandent une concentration soutenue, il est préférable de prendre une pause de 15 minutes après chaque tranche de 90 minutes de concentration. Cette pause vous permettra de marcher, vous étirer, échanger avec vos collègues et surtout reposer votre cerveau. Après une telle pause votre cerveau sera redynamisé et fonctionnera à un niveau élevé pour une autre période de 90 minutes.

7. Rendre les tâches routinières amusantes

Avant tout il faut comprendre que notre cerveau aime les tâches routinières car ces dernières s’exécutent en le sollicitant au minimum. Pensez à quand vous vous brossez les dents ou quand vous prenez votre douche, vous êtes quasiment en « pilotage automatique » car la succession des gestes se fait de façon naturelle et automatique sans que vous n’ayez à y réfléchir. C’est cela la puissance de la routine. Le revers de la médaille est que les tâches routinières peuvent devenir ennuyantes et pousser à la procrastination. Pour éviter cela, vous pouvez ajouter une dimension amusante à cette routine. Par exemple vous pouvez décider d’exécuter ces tâches en écoutant votre musique préférée. D’une part la nature routinière de ces tâches fait que vous n’avez pas besoin de beaucoup de concentration et d’autre part votre cerveau va associer cette tâche au plaisir que vous ressentez avec la musique.

 

SOURCE: Réussirbusiness

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Etre efficace dans votre travail. Savoir organiser son temps et son environnement pour avoir des résultats probants. Le Coach Kader continue de nous donner quelques clés dans cette deuxième partie.


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3. Maitriser l’utilisation du téléphone, de l’Internet et des médias sociaux

La technologie est un bon serviteur mais un mauvais maître. Si votre travail ne requiert pas que vous répondiez au téléphone, aux emails ou que vous soyez continuellement sur les médias sociaux, il faut planifier les moments de la journée où vous faites vos appels téléphoniques, consultez votre boite vocale et répondez aux emails. En effet ces tâches peuvent facilement gruger une part importante de votre temps et votre productivité si vous ne les contrôlez pas. Il faut établir à l’avance à quels moments de la journée vous allez répondre aux appels ainsi qu’aux emails. Il est important aussi que vos collègues et vos interlocuteurs habituels (clients, fournisseurs, etc.) sachent que vous ne répondez pas automatiquement et qu’en cas d’urgence ils peuvent avoir un moyen de vous joindre facilement, par exemple par le biais d’un collègue ou de la standardiste. Quant aux recherches personnelles sur le web ou les visites sur Facebook, si vraiment vous devez le faire au bureau il est préférable que ce soit pendant vos pauses. Il faut toujours déterminer au préalable le temps que vous allez y passer et respecter ce budget temps.

4. Regrouper les tâches similaires

Quand vous jonglez d’un type de tâche à un autre, vous faites passer constamment votre cerveau d’un mode à un autre, ce qui est stressant et contreproductif. Pour plus d’efficacité il faut plutôt regrouper les tâches similaires et les traitez les unes à la suite des autres. Par exemple vous travaillez sur plusieurs dossiers et chaque dossier implique des appels téléphoniques, des envois d’emails, des rédactions de propositions commerciales, etc. Vous pouvez consacrer par exemple une heure aux appels téléphoniques, deux heures aux envois d’emails et quatre heures à la rédaction des propositions commerciales. L’avantage de cette pratique est que quand le cerveau est déjà dans un certain rythme il est plus productif d’en profiter pour faire d’autres tâches qui requièrent ce même rythme plutôt que de l’interrompre et de se mettre dans un rythme différent plusieurs fois par jour. Cette pratique aide aussi à mieux planifier vos journées et organiser votre temps. (A suivre)

SOURCE: Réussirbusiness

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Peu importe votre travail ou votre profession, vous avez probablement l’impression qu’il n’y a pas assez d’heures dans la journée. Étant donné qu’il est impossible de mettre plus d’heures dans la journée il faut alors mettre plus de travail dans chaque heure. Ce n’est pas nécessairement en travaillant plus fort que vous y arrivez mais plutôt en travaillant plus intelligemment. Voici sept pratiques qui permettent de travailler intelligemment et d’être plus productif, que vous soyez un étudiant ou un professionnel. 1. Éviter le multitasking ou multi-tâches Un article paru dans Harvard Business Review révélait que le multitasking fait baisser la productivité de 40%. De plus, quand un travailleur s’adonne au multitasking son QI (Quotient Intellectuel) baisse de 10 points alors que ce même QI n’aurait baissé que cinq point s’il avait fumé de la marijuana. Quand vous faites du multitasking vous pensez être plus productif car vous avez l’impression de mener de front plusieurs tâches en même temps. En réalité ce que vous faites c’est de passer d’une tâche à l’autre de façon séquentielle. Ce va-et-vient permanent fait qu’il est impossible de se concentrer et d’être productif. D’après une étude de Microsoft relayée par le New York Times, il faut 15 minutes pour retrouver sa concentration après une interruption. Il est donc important de se concentrer sur une tâche à la fois et d’y accorder une attention soutenue et entière. 2. Minimiser les distractions Tel que mentionné dans le point du multitasking, toute interruption est dommageable pour la concentration. Il faut donc se prémunir contre les distractions et les interruptions inopinées. Les distractions au travail réduisent la productivité et augmentent le stress. Bien que plusieurs de ces interruptions ne soient pas sous votre contrôle, vous pouvez les minimiser. Il est possible d’établir certaines règles pour éviter les dérangements à répétition. Par exemple vous pouvez dire à vos collègues qu’entre 9h et midi c’est votre période de concentration où vous travaillez sur les tâches les plus complexes et que par conséquent vous ne souhaitez pas être dérangé sauf en cas d’urgence. Si vous avez votre propre bureau vous pouvez fermer la porte pour éviter que chaque collègue qui passe devant s’arrête pour échanger quelques mots. Si vous travaillez dans un cubicule ou dans un open space (espace de travail ouvert et sans cloison) vous pouvez mettre des écouteurs même si vous n’écoutez pas la musique, les collègues seront moins enclins à vous déranger.

SOURCE:Réussirbusiness

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Réunis à Addis-Abeba (Ethiopie) dans le cadre de la conférence de clôture du Projet Vaccins Méningite (PVM), des experts de la vaccination et des responsables de 26 pays africains de la « ceinture de la méningite » ont constaté et révélé ce lundi, 22 février 2016, que la méningite A était en passe d’être éradiquée du continent africain.

Ils fondent leurs déclarations sur les résultats obtenus depuis l’introduction en 2010 du vaccin MenAfriVac dans 16 des 26 pays de la « ceinture de la méningite », une zone de l’Afrique subsaharienne qui va du Sénégal à l’Ethiopie.

Dans le communiqué de presse parvenu aux rédactions des différents médias, l’on peut lire en effet que « plus de 235 millions d’enfants et de jeunes adultes (de 1 à 29 ans) ont été immunisés, et la méningite a disparu de ces zones ».

Plus encore, l’on est passé de plus de 250 000 cas de maladies lors de l’épidémie de 1996, à 80 cas confirmés en 2015 dans les pays qui n’avaient pas encore mené de campagne de vaccination massive et parmi les personnes non vaccinées.

Depuis des générations, la méningite A est un fléau dans « toute la ceinture africaine de la méningite », mais aujourd’hui nous pouvons nous féliciter qu’un vaccin sûr et efficace sauve des millions de personnes de la mort et de l’infirmité », se satisfait Seth Berkley, président-directeur général de l’Alliance du vaccin (GAVI), une organisation qui a soutenu le PVM.

Pour Manuel Fontaine, directeur régional de l’UNICEF pour l’Afrique de l’ouest et du centre, « le déploiement du vaccin contre la méningite A a été une très belle réussite en Afrique subsaharienne ».

Toutefois, le PVM prend ainsi fin alors que parmi les 10 pays qui doivent encore mener des campagnes complètes de vaccination, cinq sont prêts à le faire en 2016. Il s’agit de la République centrafricaine, de la Guinée-Bissau, du Soudan du Sud, de la République démocratique du Congo (RDC) et de l’Ouganda.

Quant aux cinq Etats restants (Burundi, Érythrée, Kenya, Rwanda et Tanzanie), ils devraient mener des campagnes de vaccination massive dans des zones à haut risque en 2016-2017.

D’où les réserves de Matshidiso Moeti, directrice régionale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’Afrique : « notre franc succès contre la méningite A n’est en aucun cas permanent, dit-elle. Pour maintenir le niveau de protection actuel contre cette maladie, tous les pays à risque doivent achever leurs campagnes de vaccination et intégrer le vaccin à leurs programmes de vaccination systématique contre les maladies infantiles. »

Nouvelles épidémies

Surtout que les experts réunis à Addis-Abeba indiquent que « selon un modèle mathématique, les pays risquent de connaître de nouvelles épidémies d’ici quinze ans si aucun programme de vaccination n’est mis en place après ces campagnes ponctuelles ».

A ce propos, huit pays de le « ceinture de la méningite » (Burkina Faso, République centrafricaine, Tchad, Ghana, Mali, Niger, Nigeria et Soudan) ont d’ores et déjà demandé un financement pour inclure le MenAfriVac dans leurs programmes nationaux de vaccination systématique contre les maladies infantiles en 2016.

Les 18 pays restants (Bénin, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gambie, Guinée, Sénégal, Togo, Burundi, Érythrée, Kenya, Rwanda, Tanzanie, RDC, Éthiopie, Guinée-Bissau, Mauritanie, Soudan du Sud et Ouganda) devant en faire de même au cours des deux prochaines années.

Considéré comme l’un des plus grand succès de santé publique, le PVM avait été mis sur pied en 2001 par l’OMS et l’organisation non gouvernementale PATH, avec pour principal bailleur la Fondation Bill & Melinda Gates.

Avant l’introduction du MenAfriVac fabriqué par le laboratoire indien Serum Institute of India, la méningite A était la principale cause des épidémies dans les pays de la « ceinture de la méningite ».

Mais, désormais, ce sont d’autres souches qui sont à l’origine de flambées de cette maladie ; à l’instar de l’épidémie de méningite C qui a frappé le Niger dans la première moitié de l’nnée 2015, avec près 8 341 cas pour 557 décès comptabilisés au mois de juin 2015.

Les experts ont décidé de concentrer maintenant leurs efforts vers l’éradication de ces autres souches.

Source:Scidev.net

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