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Afrique

festival éco-citoyen en Afrique

Du 20 au 22 décembre 2019, la place du souvenir a accueilli Dakarecofest, un événement éco-responsable et participatif, au service de la protection de l’environnement et de la co-entreprise.

Conscients du changement climatique qui n’épargne personne, encore moins les pays d’Afrique de l’ouest, de plus en plus de citoyens, de collectifs, d’entrepreneurs et d’entreprises africains en particulier sénégalais s’activent localement pour avoir un impact positif sur notre planète, mais souvent de manière parcellaire. A cet effet, il est aujourd’hui important de valoriser et de rendre visible ces acteurs et ces initiatives pour en décupler l’impact, partager et co-construire des solutions innovantes, concrètes et adaptées au contexte local, respectueuses des hommes et de l’environnement.

C’est dans ce contexte que l’association franco-sénégalaise Ecologie Universelle et l’agence de communication responsable Ethical Minds se sont mobilisés pour fédérer les acteurs sénégalais autour de l’écologie et des initiatives durables.

Dans une interview accordée à ses trois femmes engagées du nom de Aminata Sidibé, Nathalie Lafrie et Carine Fakhoury nous reviennent un peu plus sur les enjeux et perspectives du Dakarecofest.

Dakarecofest, véritable laboratoire, expérimental, festif et participatif

Préservons demain, aujourd'hui

Ingénieure environnement de formation, Aminata Sidibé est la fondatrice de l’association Ecologie universelle crée en 2014. Une association franco-sénégalaise qui milite pour le développement durable et la visibilité des actions engagées en Afrique. Elle est également l’organisatrice du Dakarecofest.

Selon Aminata Sidibé, le festival découle d’une ambition d’aller plus loin dans leurs activités qui avaient déjà commencé avec la création d’un magazine appelé « la voix de la terre » qui aborde plusieurs thématiques à savoir la santé, l’alimentation, l’éducation, la monnaie, l’économie, l’agriculture qui tournent autour des interviews accordées aux acteurs engagés de l’Afrique. Ainsi avec ce festival, ils vont pourvoir rendre visibles les activités de ses derniers. Aminata Sidibé ne manque pas d’éclaircir qu’à la fin du Dakarecofest, ils veulent aboutir à une prise de conscience des sénégalais sur l’importance de la protection de l’environnement et de l’écologie, créer une synergie entre les acteurs et organisations engagées mais aussi faire en sorte que ce festival soit organisé chaque année.

L’écologie numérique au service des acteurs et des entreprises associatives

Préservons demain, aujourd'hui

Entrepreneure et formatrice, Nathalie Lafrie est la cofondatrice de l’agence Ethical Minds, une agence spécialisée dans la communication responsable et événementielle et reconnue pour son impact social et environnemental et labélisée par le réseau LVED (Lyon Ville Equitable et Durable). Passionnée par la communication des hommes et des organisations, l’équipe rassemble les consciences autour de projets porteurs de sens pour décupler l’impact en France et à l’international, en particulier en Afrique (Bénin, Togo, Ethiopie, Maroc, Sénégal).

Nathalie Lafrie souligne qu’ils ont rejoint cette démarche de Dakarecofest parce que leur mission c’est de rendre visible les projets qui fédèrent et qui font converger tous les acteurs qui agissent pour un développement durable quel que soit leur secteur d’activité.

L’agence a aussi pour ambition de faire connaitre l’écologie numérique auprès de ces acteurs et de ces entreprises associatives pour leur permettre de communiquer et de sensibiliser dans un environnement digital beaucoup plus sain .

Rappelons juste que l’internet est le plus gros pollueur de la planète avec une consommation électrique mondiale de 1500 TWH par an derrière la Chine et les Etats-unis.

Cependant, des mesures sont actuellement prises par des acteurs tel que Ethical Minds pour réduire l’impact environnemental du numérique.

Biophila, l’une des associations sénégalaises participative au Dakarecofest

Préservons demain, aujourd'hui

Biophila est une association sénégalaise qui a pour vocation de faire du Sénégal, le modèle d’une Afrique écologique consciente. Pour atteindre cet objectif, Biophila compte construire le premier éco-village zéro déchet en Casamance qui sera témoin d’une nouvelle forme de pleine santé, d’alimentation, d’environnement, habitat et culture maraîchère. Pour financer ce projet, le centre Ayama a été mis en place dans le but de promouvoir et de commercialiser les produits made in Sénégal, 100% naturels et locaux.

D’après Carine Fakhoury (présidente de Biophila), l’association s’est mis à la disposition du Dakarecofest pour participer à la sensibilisation des sénégalais autour de l’importance de l’écologie en animant des tables rondes et en s’occupant de la restauration pour valoriser la gastronomie d’Afrique.

Pour sa première édition, le Dakarecofest a été organisé sous le haut patronage de Mr le Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Abdou Karim Sall, avec le soutien officiel de l’ Ambassade de France, de Enda Energie et de la fondation Sonatel et sous les parrainages de Soham el Wardini, Maire de Dakar, Haidar el Ali, Directeur général de l’Agence Sénégalaise de la Réforestation et de la Grande Muraille Verte, et Baaba Maal, Ambassade de la Convention des Nations Unies sur la Lutte contre la désertification.

 

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L’Agence de régulation des postes et des communications électroniques du Congo (ARPCE) et l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes du Gabon (ARCEP) ont signé le 15 octobre 2019, à Brazzaville, un protocole d’accord matérialisant la mise en œuvre du « free roaming ».

Les Gabonais en voyages au Congo et les Congolais en séjour au Gabon pourront désormais émettre et recevoir des appels vers et depuis leur pays d’origine sans plus trop redouter la surtaxe relative aux frais d’itinérance internationale.

Cet accord, paraphé par Yves Castanou, directeur général de l’Arpce et Lin Mombo, président du conseil de régulation de l’Arcep, entrera en vigueur au plus tard le 31 décembre 2019, rapporte adiac-congo.com.

L’accord prévoit « la gratuité de la réception des appels pour les usagers en roaming dans la limite des trois cents premières minutes par abonné, et dans la limite d’un mois », a expliqué Yves Castanou.

Il augure, entre autres, une « facturation des appels en roaming au tarif local dans le réseau du pays visité, ainsi qu’une facturation de tous les appels vers les deux pays des parties au tarif local le plus élevé ».

Pour une meilleure faisabilité de l’accord et de sa pleine mise en œuvre, chacun des deux pays a convenu de mettre en place un comité national technique piloté par l’autorité nationale de régulation et comprenant l’ensemble des opérateurs. Ils ont ainsi décidé de la mise en œuvre de procédures d’échange d’informations tarifaires et techniques entre les deux régulateurs nationaux.

Le protocole d’accord signé intervient quelques jours après l’atelier sous-régional sur le roaming à moindre coût organisé, du 8 au 11 octobre 2019 à N’Djamena au Tchad, par l’Assemblée des régulateurs des télécommunications de l’Afrique centrale (ARTAC), en collaboration avec l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) du Tchad.

 

 

 

Source : https://www.agenceecofin.com/

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Pour les pays ouest-africains, l’économie verte est perçue comme une opportunité d’allier stratégies nationales et programmes régionaux afin de se renforcer dans divers secteurs et d’accélérer la croissance et donc de réduire de manière substantielle la pauvreté. Les Etats développent donc des activités à travers des politiques déterminées autour de secteurs clefs représentant le support de l’économie des pays. Les actions relevant de l’économie verte doivent viser des objectifs précis et quantitatifs afin d’avoir un réel impact sur la pauvreté.

Premièrement, dans le cadre de la sécurité alimentaire, il faut développer et donner appuie aux petites exploitations dont dépendent les personnes les plus pauvres, en promouvant et en diffusant les pratiques durables. Selon une étude du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) faite sur plus de 12 millions d’exploitations dans 57 pays en voie de développement, l’adoption d’approches de protection de ressources comme par exemple l’agroforesterie ou la maîtrise de l’eau et l’intégration de l’élevage entraînerait une augmentation moyenne des rendements de plus de 70% et améliorerait l’offre de services environnementaux essentiels.

Ensuite, dans le cadre de l’accès aux services sociaux et aux infrastructures de base, notamment l’accès à l’eau potable et à l’assainissement. La population pauvre bénéficie d’un accès que très limité à l’eau potable ou salubre, et l’extrême majorité de la population vivant en zone rurale est privée de services d’assainissement adéquats. Depuis 2008, d’importants programmes de réalisation de forages avec des pompes naturelles ont été mis en place, permettant ainsi de favoriser l’accès à l’eau potable et de développer des activités économiques comme le maraîchage. Cela a un impact direct sur les populations et leurs santés, en satisfaisant leurs conditions de vie et en garantissant un niveau sanitaire adéquat.

De plus, dans le cadre du développement de l’accès aux services énergétiques, le passage à une économie verte permet l’accès aux énergies modernes au plus de personnes possible, améliorant ainsi les conditions de vie des populations et en favorisant le développement d’entreprises et de structures économiques locales. Les déchets des résidus agricoles et de l’agro-alimentaire servent à la fourniture d’électricité et de combustible domestique.

Cependant, il faudrait une plus grande implication du secteur privé et des systèmes réglementaires plus appropriés. Enfin dans le cadre de la formation des ressources humaines. La population en Afrique de l’Ouest est jeune. En effet, 60% de la population a moins de 35 ans. Cependant, cette population est peu qualifiée. Il faudrait davantage développer des formations qualifiantes chez les jeunes, centrées notamment sur les métiers verts, ce qui permettrait d’améliorer leur niveau de formation et surtout de réduire le taux de chômage.

 

 

Source : https://www.mediaterre.org/

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La sauce palava (ou sauce palabre), qui en fait, est plus un ragoût qu’une sauce, est très largement consommée en Afrique de l’Ouest. Il existe de nombreuses variantes de ce plat traditionnel d’Afrique Occidentale dont le Ghana, le Nigeria et la Sierra Leone se disputent la paternité.

La sauce palava utilisée dans ce poulet palava associe principalement légumes verts et protéines au choix. Les deux légumes verts les plus utilisés pour cette recette dans les pays ouest-africains sont les épinards et les gombos ensemble. Certains dérogeront pour les gombos mais jamais de palava sans épinards !

Ingrédients

Préparation

Lavez les épinards et coupez les queues et faites-les cuire cinq minutes à la vapeur (four ou cuit vapeur).

Épluchez et émincez les oignons. Emincez également les filets de poulet et faites-les revenir dans une cocotte avec l’oignon dans un peu d’huile et réservez le poulet.

Ajoutez les tomates coupées en dés dans la cocotte et faites réduire à feu doux. Ajoutez le beurre de cacahuètes et la moitié du bouillon de volaille.

Au bout de cinq minutes, ajoutez le reste de bouillon, le thym, le piment et les épinards hachés. Poursuivez la cuisson 15 minutes.

Remettez le poulet juste pour le réchauffer. Rectifiez l’assaisonnement au besoin.

Servez avec du riz blanc.

 

 

 

Source : https://www.kilometre-0.fr/

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Pour réduire le déficit de financement estimé à 42 milliards de dollars entre les femmes et les hommes entrepreneurs sur le continent, les dirigeants du G7 ont accordé un prêt global de 251 millions de dollars à la BAD afin soutenir l’initiative AFAWA.

Les questions d’actualités géopolitiques telles que l’Incendie en Amazonie, programme nucléaire iranien… ont dominé la couverture du sommet du G7 qui s’est tenu du 24 au 26 août, à Biarritz, dans le Sud-Ouest de la France. Le sommet consacré à la lutte contre les inégalités, a réuni, les chefs d’État de sept des plus grandes puissances économiques mondiales (États-Unis, France, Royaume-Uni, Allemagne, Italie, Japon, Canada)

Dans ce cadre, huit pays non-membres du G7, dont cinq africains, (Afrique du Sud, Australie, Burkina Faso, Chili, Égypte, Inde, Sénégal, Rwanda), et Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement (BAD) ont été invités. Ce dernier a annoncé le versement d’un prêt global de 251 millions de dollars à l’initiative AFAWA (Action positive pour le financement en faveur des femmes en Afrique), portée par la BAD.

Lancée en 2016, l’AFAWA vise à débloquer l’accès au financement pour les femmes entrepreneuses, et établit un mécanisme d’autonomisation économique. Cette résolution a été adoptée lors du Sommet des chefs d’État de l’Union africaine en janvier 2015, et la BAD a été chargée de sa mise en œuvre.

Dialogue politique avec les autorités concernées

« Aujourd’hui, les femmes détiennent plus de 30 % des PME en Afrique, mais il existe un déficit de financement de 42 milliards de dollars entre les femmes et les hommes entrepreneurs. Ce déficit doit être comblé, et vite », a-t-il souligné, précisant que la BAD prévoyait d’investir un milliard de dollars dans cette initiative.

Le programme AFAWA repose sur trois piliers. Le premier vise à améliorer l’accès des femmes au financement grâce à des instruments innovants et adaptés, y compris des mécanismes de garantie. Le deuxième pilier est axé sur la prestation de services de renforcement des capacités pour les femmes entrepreneuses (mentorat et formation en entrepreneuriat).

Le troisième pilier se concentre sur l’amélioration de l’environnement juridique et réglementaire, grâce au dialogue politique avec les gouvernements, les banques centrales et les autres autorités concernées.

 

 

 

 

Source : https://www.jeuneafrique.com/820362/economie/sommet-du-g7-251-millions-de-dollars-pour-lentrepreneuriat-feminin-en-afrique/

 

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Le constructeur automobile Toyota a annoncé la signature d’un partenariat avec Altron Netstar et Vodacom pour déployer des fonctionnalités de connectivité et une connexion Wi-Fi embarquée sur tous les nouveaux modèles Toyota et Lexus.

La société sera la première au monde à offrir la convergence des fonctionnalités de connexion Wi-Fi et de connectivité dans la gamme des nouveaux modèles de voiture, selon Toyota South Africa Motors (TSAM). Andrew Kirby, président directeur général de TSAM, a indiqué que toute voiture achetée sera livrée avec un forfait data gratuit de 15 Go, rechargeable.

William Mzimba, le directeur général de Vodacom Business, a affirmé que « ce partenariat est un élément essentiel de la stratégie IoT de Vodacom et constitue un pas de plus vers la création d’opportunités d’innovation, en Afrique du Sud ainsi que sur le continent, renforcée par la croissance de l’IoT. Tout comme les smartphones, les voitures d’aujourd’hui devront être connectées pour offrir une expérience utilisateur dynamique ».

Selon lui, « Nous constatons que de plus en plus d’acheteurs de voitures considèrent la technologie embarquée aussi importante que la performance du véhicule. Ils veulent que leurs voitures soient sûres, efficaces, mieux équipées et amusantes. En connectant les utilisateurs à des plateformes qui gèrent la complexité de la diffusion de musique en streaming à partir du cloud, des informations de trafic en temps réel et une assistance routière personnalisée, nous pouvons répondre à ces demandes croissantes ».

 

 

 

 

 

Source : https://www.agenceecofin.com/

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Se rendre en Afrique est une occasion, pour beaucoup de globe-trotters,  de vivre des séjours hors du commun. En effet, ce continent possède plusieurs pays qui proposent aux estivants de passer des aventures mémorables.

Aller au sommet du Kilimandjaro, une montagne emblématique de l’Afrique

Un séjour en Afrique est une occasion pour les sportifs de gravir le point culminant duterritoire, le Kilimandjaro. Cette montagne de près de 5 891 m se trouve dans le district tanzanien de Rombo. Elle est très prisée des randonneurs pour sa faune et sa flore exceptionnelle. De nombreux sentiers permettent aux estivants de se rendre au sommet de ce volcan rouge. Cela dit, la Marangu Route est, de loin, la piste la plus aisée pour gravir le Kilimandjaro. En effet, ce chemin est accessible aux néophytes et les vacanciers peuvent passer chaque nuit dans un refuge. Pendant l’ascension de ce joyau géologique, les globe-trotters croiseront des mammifères comme le colobe du Kilimandjaro, le serval et le buffle. Les voyageurs verront également divers oiseaux, à l’exemple du cossyphe de Heuglin, du touraco de Hartlaub et du bruant cannelle. Pour information, il faut environ 7 jours pour gravir le Kilimandjaro.

Faire de la randonnée dans le parc transfrontalier du ǀAi-ǀAis/Richtersveld

Le parc transfrontalier du ǀAi-ǀAis/Richtersveld est une des adresses à ne pas rater pendant un séjour sur le continent africain. Cette réserve de 6 045 km² est localisée entre la Namibieet l’Afrique du Sud. Elle est prisée des estivants lors de leur voyage sportif en Afrique pour son paysage culturel et botanique. En faisant une randonnée dans ce site, les écotouristes verront plusieurs variétés de plantes succulentes. Parmi les espèces recensées, on peut citer le Pachypodiumnamaquanum, l’Aloedichotoma, le Hoodiagordoni et le kokerboom. Les routards auront également la chance d’observer des animaux comme le ratel, l’homopode marqué et la buse rounoir. Par ailleurs, une escapade dans cette réserve est une opportunité pour les vacanciers d’explorer la Fish River Canyon. Cette merveille géologique est le plus grand canyon d’Afrique. À titre indicatif, seules les personnes ayant une autorisation peuvent s’aventurer dans cette gorge.

Gravir la Table Mountain, un joyau naturel de l’Afrique du Sud

Un séjour d’aventure en Afrique est une opportunité pour les touristes d’escalader la Table Mountain. Cette montagne de 1 086 m est une des sept nouvelles merveilles de la nature. Elle est connue pour sa forme hors du commun et ses grottes propices à la spéléologie. Plusieurs sentiers permettent aux routards de se rendre en haut de ce massif rocheux. Toutefois, la piste de SkeletonGorge est la route la plus intéressante à prendre. En effet, cette voie passe par le célèbre jardin botanique de Kirstenbosch. Ce dernier est considéré comme l’un des plus beaux espaces verts de la planète. Durant l’ascension de ce mont, les vacanciersapercevront plusieurs variétés de proteas. Les touristes auront également la chance de photographier des mammifères tels que le daman du Cap et la mangouste.

 

 

 

 

 

Source : http://www.jeu-de-domino.fr/que-faire-au-cours-dun-voyage-sportif-sur-le-continent-africain/

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Le Maroc devient la troisième économie africaine dans le secteur de l’innovation. Si la Suisse reste, comme en 2018, à la tête du classement, le Maroc, lui, progresse et gagne deux places par rapport à l’an dernier, devenant la 74e économie sur les 129 évaluées au total. En Afrique, le royaume se classe à la troisième place des économies les plus florissantes du continent, derrière l’Afrique du Sud (63e) et la Tunisie (70e). Au niveau maghrébin, le Royaume arrive loin devant l’Algérie, classée à la 113e place.

Ce classement des pays d’après l’indice mondial 2019 de l’innovation a été publié dans un document mercredi 24 juillet par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), en partenariat avec différents autres acteurs et institutions internationales. Cet indice, qui s’appuie sur 80 indicateurs, tend à offrir une vision large de l’innovation et un point sur l’environnement politique, l’éducation, l’infrastructure et le perfectionnement des entreprises.

L’économie marocaine produit plus de résultats d’innovation (outputs) par rapport à son niveau d’investissement dans l’innovation (inputs), ce qui lui permet de convertir efficacement les investissements dans l’innovation en produits et services plus performants et de meilleure qualité.

Le Maroc est aussi en progression par rapport à l’année passée dans les domaines de l’éducation, où il passe de la 68e à la 47e place, ainsi que dans celui du commerce et de la concurrence, en passant de la 52e à la 49e place. Il recule en revanche d’une place dans le secteur du développement durable, et arrive à la 47e place. En revanche, le pays s’illustre dans les actifs immatériels, où il est classé 43e au niveau mondial. Plus précisément, le Royaume est 39e en ce qui concerne le dépôt de marques par origine et PIB et 9e pour les dessins et modèles industriels par origine et PIB.

Malgré ces classements, les indicateurs liés au perfectionnement des affaires continuent à enregistrer des scores faibles (122e), de même que la collaboration recherche-université-industrie (103e) alors que le pilier “capital humain et recherche” (75e) est impacté par une faible performance des dépenses R&D allouées par les entreprises.

 

 

 

 

Source : https://www.huffpostmaghreb.com/entry/le-maroc-troisieme-economie-africaine-dans-le-secteur-de-linnovation_mg_5d3ad805e4b0c31569e9a459

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Dans le sud du Mozambique, il y a des solutions sur la désinfection de l’eau de manière performante, durable et peu coûteuse pour couvrir les besoins essentiels des habitants des zones reculées d’Afrique.

Ces solutions sont développées dans le cadre d’un projet de recherche mené en commun par des chercheurs africains et européens et appelé SafeWaterAfrica : il s’agit d’un prototype de petite station d’épuration des eaux usées qui est en cours d’installation à Ressano Garcia.

Rappelons que le Mozambique figure parmi les 16 pays de la Communauté de développement de l’Afrique australe et qu’environ 40 % de la population de ses États membres n’a pas accès à l’eau potable : ce qui représente quelque 130 millions de personnes. Ressano Garcia est une petite ville près de la frontière avec l’Afrique du Sud qui illustre la gravité et l’urgence de la situation. Les habitants utilisent les sources d’eau à leur disposition, indique fr.euronews.com.

L’eau à laquelle les gens ont accès est propre

« Actuellement, 14.000 personnes vivent dans cette ville », explique Silvestre Mario Trigo, responsable de l’usine de traitement des eaux municipale. « Une partie d’entre elles n’ont pas accès à l’eau potable et donc, viennent prendre de l’eau dans la rivière, or l’eau de cette rivière n’est pas traitée », souligne-t-il. « Donc quand elle est utilisée ensuite par les habitants, elle cause des diarrhées et d’autres maladies liées à l’eau », dit-il.

De l’eau contaminée peut effectivement transmettre des affections comme le choléra, la dysentrie, la typhoïde ou la polio même si la diarrhée est la maladie la plus fréquente sur place. Elle touche environ 10% des quelque 500 patients pris en charge chaque jour dans ce centre de santé local.

« L’une des principales causes des diarrhées et des maladies diarrhéiques, c’est la mauvaise qualité de l’eau », insiste Abdul Rafael Sega, directeur du centre médical de Ressano Garcia. « Il est parfaitement évident que plus l’eau à laquelle les gens ont accès est propre, plus cela améliorera l’état de santé de l’ensemble de la population », fait-il remarquer, ajoute le site d’information.

 

 

 

 

 

 

Source : https://www.vivafrik.com/2019/07/16/lafrique-se-dote-dune-nouvelle-technologie-qui-rend-leau-plus-propre-a32374.html

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