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Être une source d’inspiration est différent d’être un leader dans un groupe ou une entreprise. Être inspirante, c’est apporter quelque chose aux autres par sa vie, son quotidien, ses objectifs et son caractère. Si vous ne savez pas comment inspirer votre entourage, cet article est fait pour vous.

3points1-300x671. AYEZ CONSCIENCE DE CE QUE VOUS POUVEZ APPORTER AUX AUTRES

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Pour cela, il faut avoir conscience de ce que vous possédez. Vous êtes une personne riche par votre caractère, vos envies, vos passions, votre histoire… Ces éléments qui peuvent sembler communs vous rendent unique. Grâce à cela, vous vous démarquez des autres .

2. TRAVAILLEZ SUR VOTRE BONHEUR AU QUOTIDIEN

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Le bonheur ne se construit pas en une journée mais sur la durée. C’est un travail qui peut être assimilé à un marathon. Pour pouvoir donner avec amour, bonté, joie – sentiments qui vont rendront attractive- il faut les avoir en vous. Vous ne les cultiverez pas si vous avez un sentiment de non-accomplissement ou de déception personnelle dans votre vie . Chaque jour doit être une opportunité pour travailler sur vos objectifs et sur votre bonheur individuel.

3. TRAVAILLEZ SUR VOUS

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Si vous êtes une personne fermée avec le visage peu expressif et un caractère désagréable, il n’y a aucune chance que vous soyez perçue comme une source d’inspiration. Bien au contraire, vous serez vue comme étant une personne à éviter. Travailler sur votre personnalité, c’est travailler sur vous-même.

4. SOYEZ CONTAGIEUSE

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Cette joie, ce bonheur, ce sentiment d’avancer dans vos objectifs et votre vision personnelle doivent être contagieux. Il faut que votre absence puisse se sentir et non pas que vous soyez transparente lorsque vous vous retrouvez en groupe. Vous devez irradier de sentiments positifs. L’objectif est que tous se sentent bien en votre présence et que vous soyez réclamée.

5. PARTAGEZ VOS EXPÉRIENCES

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Votre passé peut être une source d’inspiration pour les personnes qui vous connaissent. Vous ne pouvez pas connaître complètement le vécu de toutes les personnes qui vous entourent cependant, votre passé peut en inspirer plus d’une à la condition que vous le partagiez. Cela peut vous aider à guérir si ce n’est pas déjà le cas, ou à vous décharger de ce poids. Votre passé ne doit pas être une faiblesse mais une force.

6. LISEZ, LISEZ, LISEZread

Il n’y a rien de mieux que la lecture pour développer son esprit. N’hésitez pas à vous cultiver car votre savoir peut être une source d’inspiration. Il ne faut pas oublier que la connaissance est un pouvoir que vous pouvez posséder littéralement en vous.

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Être une source d’inspiration ne doit pas être un objectif pour être reconnue, aimée ou appréciée des autres. Il doit y avoir un engagement car certaines personnes comptent sur vous pour devenir la meilleure version d’elles-mêmes.

SOURCE: Femme d’Influence

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Tous les ans, le célèbre magazine financier Forbes établit le classement des personnes les plus riches du globe. Parmi les femmes noires, le top 3 comprend Isabel Dos Santos, la businesswoman angolaise, en numéro 2, on retrouve Oprah Winfrey qu’on ne présente plus et en 3ème position, c’est le Nigéria qui est à l’honneur avec Folorunso Alakija, magnat du pétrole qui a commencé sa carrière comme secrétaire dans une banque et qui est aujourd’hui à la tête d’un empire estimé à 1,6 milliards d’euros. Pour produire son premier million d’euros, la businesswoman hors-pair est passée du métier de secrétaire pour une banque à magnat du pétrole. Comment ? Voici un exemple de schéma en 4 étapes pour développer votre entreprise, inspiré par le parcours de Folorunso Alakija.

1. L’ambition pour moteur

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Dans les années 1970, après avoir suivi des études de secrétariat à l’étranger, Folorunso Alakija est rentrée au Nigéria où elle a débuté sa longue carrière (12 ans) en tant que secrétaire d’une grande banque. Au fil des ans, elle gravit les échelons jusqu’à devenir responsable de son service.  

« Soyez toujours déterminée à atteindre le succès car il existe toujours un moyen même lorsqu’il ne semble pas y avoir de solutions. Seules les personnes persévérantes et assidues sauront trouver la voie. » – Folorunso Alakija

Cela peut paraître évident, mais sans ambition et détermination, développer votre affaire est inconcevable. Cet état d’esprit est sine qua non si vous souhaitez atteindre le succès. En France, cette posture peut être mal vue, surtout venant d’une femme : « Elle a les dents qui rayent le parquet », « C’est un vrai requin » Ce type de commentaires négatifs ne doit pas vous freiner. Vous savez ce que vous voulez et comment l’atteindre, il n’y a rien de mal là-dedans. Votre ambition, tel un feu, vous animera pour concrétiser vos objectifs et vous dépasser. Cependant, ce feu ne doit pas vous détruire, mais bien vous permettre de poser les pierres de votre futur empire.

Vous devez le vouloir de toutes vos forces tout en vous donnant les moyens financiers, et en termes de compétences, de réaliser votre objectif. Ceux qui ont connu le succès sont certainement passés par une autre étape tout aussi importante : aimer passionnément leur métier.

2. La passion, votre meilleur atout

Après le secrétariat, Folorunso Alakija a pris le risque de quitter une carrière florissante dans la banque pour poursuivre une carrière dans la mode. Loin d’être un caprice ou une lubie, la mode est sa passion et elle va se donner les moyens de faire de sa passion son métier en reprenant ses études. Elle se forme ainsi dans l’une des capitales de la mode mondiale, Londres, puis revient au Nigéria pour créer son propre label « Supreme Stitches. » En à peine 3 ans, elle en fait un business florissant et est sacrée meilleure designer/styliste de l’année en 1986. C’est là que Folorunso fait son premier million d’euros.

« [En choisissant la mode], je voulais m’assurer que je quitterais la banque pour une carrière que j’aime et qui me rapporte. » – Folorunso Alakija

« Est-ce que c’est quelque chose que je vais aimer faire ? Chaque fois qu’on se lève pour aller au travail le matin, on doit avoir hâte d’aller au travail, pas traîner des pieds avant d’aller au travail. Parce que si ce n’est pas votre domaine d’expertise ou un métier que vous aimez faire, ça veut dire que votre plan de carrière n’est pas le bon. » – Folorunso Alakija

« Il faut être certaine que vous allez aimer la carrière que vous avez choisie. Parce que le chemin vers la réussite peut être effrayant et vraiment vous mettre à l’épreuve. Si vous n’aimez pas ce que vous faites (…) alors ce n’est pas pour vous, parce que la passion est ce qui vous donnera la force de poursuivre et ce, en dépit de ce que vous allez devoir affronter. » – Folorunso Alakija

Pour certains psychologues, être passionné par son activité professionnelle est une des clés du bonheur et de la réussite car vous ne subissez pas votre activité comme une obligation. En dehors des cas d’harcèlement, certains cas de dépression au travail peuvent être causés par des erreurs de carrière.

Bien choisir son activité pour l’affaire que vous développez est une étape très importante. Faire comme les autres n’est pas une solution. Vous devez trouver VOTRE voie. Cela vous permettra d’être forte pour effectuer le chemin qui vous sépare d’un empire millionnaire. Votre succès en dépend.

3. L’investissement, une prise de risques pour aller plus loin

La prise de risque fait partie de l’aventure de tout entrepreneur. Folorunso Alakija ne déroge pas à la règle. Après avoir quitté la banque pour laquelle elle travaillait dans les années 1980 pour créer son label, la businesswoman nigériane s’est lancée dans le pétrole avec son entreprise Famfa Oil. Après avoir pris conseil auprès de personnes avisées, elle a décidé d’investir dans un terrain pétrolifère au Nigéria, sans savoir ce qu’il valait vraiment. Un vrai coup de poker qui a payé. En découvrant la valeur qu’une exploitation d’un tel terrain vaudrait à son acquéreur, le gouvernement nigérian s’est mis en travers de sa route. Au terme d’une bataille juridique acharnée, Folorunso a obtenu justice de la Cour Suprême nigériane, ce qui a fait exploser ses revenus annuels.

« J’ai trouvé beaucoup de portes fermées mais j’ai refusé de laisser tomber et j’ai continué à revenir et ça a payé, regardez où j’en suis maintenant. » – Folorunso Alakija

« Soyez patient et ayez du courage. Le courage c’est la peur qui a fait ses prières. » – Folorunso Alakija

Pour prendre des risques, il faut être sûre de son business et de la direction dans laquelle vous souhaitez aller. Si s’organiser est primordial, atteindre un équilibre l’est tout autant pour atteindre vos grands objectifs.

4. L’équilibre, le secret des grands entrepreneurs

Trop travailler peut rendre malade. Trop peu travailler n’est pas bon pour les affaires. L’équilibre est le secret.

Pour Folorunso Alakija, l’équilibre est arrivé grâce à la spiritualité, en laquelle elle croit beaucoup. Mais également, grâce à sa vie de famille. Elle cite régulièrement son mari, Modupe Alakija et ses 4 fils dans ses discours sur le succès.

« Beaucoup me demandent comment j’en suis arrivée là. Beaucoup se demandent ce qui me rend vivante et d’où je tiens cette force. Bien que beaucoup affirment que je suis devenue leur modèle, j’en donne tout le crédit à Dieu. » –  Folorunso Alakija

« Quand vous vous lancez, demandez à Dieu de vous aider à ne pas dévier de votre plan. Et Il accèdera à votre demande parce que lorsque vous êtes en paix spirituellement parlant, vous avez une tranquillité d’esprit qui vous aidera à atteindre et maintenir un équilibre physique et émotionnel. » –  Folorunso Alakija

La question de l’équilibre revient très souvent dans les discours des plus grands entrepreneurs. Qu’il s’agisse de pratiquer très régulièrement une activité physique, de manger plus sainement, de pratiquer la méditation ou des techniques de respiration ou encore de développer son côté spirituel. La vie de famille est également importante. Mariée depuis 40 ans, Folorunso Alakija a pu accomplir ce parcours hors normes grâce à ces qualités exceptionnelles, mais aussi à son entourage et à leur soutien.

À LIRE AUSSI :  Les 7 secrets de réussite des femmes de succès

Des personnes seules, pas ou peu équilibrées atteignent que très rarement leurs objectifs. Toute personne a besoin de piliers forts physiques ou émotionnels. Entourez-vous de bonnes personnes, qui vous permettent d’avancer, et ne négligez pas les activités qui vous permettront d’atteindre un équilibre.

À l’heure où la femme noire n’est pas toujours représentée de manière positive, l’exemple de Folorunso Alakija est saisissant. Elle est une parfaite incarnation du meilleur de l’ambition et de la détermination. Son intelligence financière a fait qu’elle a su quand prendre des risques et dans quels domaines. Aussi, sa quête de spiritualité et ses actions philanthropes en font une femme humaine, qui œuvre pour que les femmes et les enfants d’Afrique puissent s’élever tout comme elle a pu le faire.

Les 4 étapes décrites dans cet article peuvent paraître simples mais en réalité elles doivent intégrées à votre routine si vous souhaitez développer votre business et en faire une affaire florissante.

« Un jour j’ai osé faire un rêve. Si j’ai pu le réaliser, vous aussi vous le pouvez ! » – Folorunso Alakija

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SOURCE: Femme d’influence

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Être un leader semble facile mais cela n’est pas le cas. Il y a tellement de facteurs, d’attitudes à adopter qu’il suffit d’un rien pour provoquer l’effet inverse. En dépit de cela, vous avez envie d’avoir cette force qui vous positionnera comme une femme incontournable et d’influence. Dans cet article vous trouverez 9 astuces qui vous aideront à développer cela, tout en ayant conscience qu’il ne s’agit en aucun cas de manipulation.

1. N’HÉSITEZ PAS À DEMANDER

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Demander nécessite un effort pour certaines personnes. Or, quelqu’un qui demande est perçu plus positivement . Il ne s’agit pas de mendier ou de passer pour une personne dépourvus de ressources ou de jugeote mais savoir quelles sont ses limite et reconnaître que d’autres sont plus à même de remplir une demande. On ne parle pas forcément d’un service, cela peut être un conseil ou un renseignement

2. AIDER LES AUTRES

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Aider les autres ne signifie pas rendre un service mais vous pouvez aider en écoutant et en conseillant. Une femme influente sait qu’il est important de valoriser autrui. Même si pour vous, écouter est quelque chose de simple, pour quelqu’un dans la détresse, le doute ou rempli d’incertitude, votre action ne sera pas sans effet même s’il est invisible.

À LIRE AUSSI :  Les 14 caractéristiques des Femmes de succès !

3. APPRENDRE À GÉRER L’IMPULSIVITÉ

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Pour développer son pouvoir d’influence, il faut gérer toute réaction brusque. L’impulsivité montrera une personne qui ne sait pas gérer ses sentiments et qui peut se laisser envahir à tout moment. Vous serez perçue comme excessive et instable, ce qui ne va pas dans le sens de l’influence et la puissance qui doit se dégager de vous. Apprenez à gérer ce type de réactions qui ne peut que vous empêcher d’atteindre vos buts.

4. APPRENDRE À GÉRER LA NERVOSITÉ

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La panique, la peur… sont des émotions négatives qui peuvent vous paralyser et vous empêcher d’agir. En général, elles résultent d’un manque de confiance en soi. Apprendre à gérer sa nervosité est un travail long mais vous pouvez trouver des techniques qui vous sont personnelles pour pouvoir maîtriser ces moments qui vous font perdre de l’influence. À terme, cela va vous aider à vous maîtriser dans les situations les plus compliquées et à gagner en pouvoir.

5. ÊTRE INDÉPENDANTE DES AUTRES

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Amour, argent, encouragement, confiance en soi sont des éléments que vos pouvez avoir tendance à attendre des autres. Et cela vous rend dépendante de leurs réactions, leurs humeurs, et modifie votre manière de vous voir vous-même. Vous ne pouvez pas vivre comme ça. Apprenez à apprécier la fabuleuse femme que vous êtes, ainsi, vous n’aurez pas à vous construire dans les yeux des autres mais seulement sur l’image que vous avez de vous.

 6. ÊTRE ASSOIFFÉE DE CONNAISSANCE

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La connaissance c’est le pouvoir et donc un excellent moyen de vous positionner comme une femme puissante et non une potiche. S’intéresser à ce qui vous entoure fait de vous une femme dont les sujets de conversations sont variés. Vous serez alors intéressante et votre point de vue ne cessera d’être sollicité.

7. LA PATIENCE

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L’impatience est l’incapacité à tolérer un certain type d’émotions qui vous affecte. Plus vous serez en mesure de supporter les pires circonstances tout en ayant la maîtrise de soi, plus vous gagnerez en influence. La patience peut vous permettre de gérer des situations là où vos sentiments peuvent vous rendre irrationnelle. Elle se cultive et malheureusement on ne naît pas toute avec. Cependant, prendre le temps d’analyser ce qu’une situation peut avoir comme impact sur vous, peut vous faire gagner en influence car la patience est associée à la maîtrise de soi.

 8. LE COURAGE

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Le courage n’est pas l’absence de peur mais c’est avoir la capacité de continuer d’avancer en ignorant ces peurs qui peuvent vous paralyser ou vous empêcher d’agir. Une femme influente sait se dépasser pour atteindre ses objectifs qu’ils soient dans son intérêt ou dans l’intérêt des autres.

9. LA VULNÉRABILITÉ

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Ce conseil peut sembler étrange, mais le fait d’être vulnérable ou de dévoiler vos émotions augmentera votre sympathie et votre influence. Les gens vous perçoivent alors comme une personne ayant du cœur si vous admettez vos faiblesses et vos défauts. N’essayez pas de vous montrer forte, cela peut induire en erreur les autres qui peuvent vous voir comme une personne froide et hautaine. Ouvrez-vous aux autres, partagez votre histoire, pas à tout le monde certes, mais laissez-les découvrir qui vous êtes.

L’influence que vous pouvez avoir sur les autres ne naîtra pas du jour au lendemain. De plus, cela sera le résultat d’efforts à maintenir dans la durée. À noter que l’on parle d’influence et non de manipulation. L’objectif est de vous permettre d’atteindre vos objectifs tout en ayant le respect des autres.

Source: Femme D’Influence

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Après des études supérieures à Paris (option optique et lunetterie), Danièle Sassou Nguesso plie bagages et rentre servir son pays le Congo depuis 2005. De passage à Dakar, cet entrepreneur, militante de l’entrepreneuriat féminin a accordé une interview dans laquelle elle explique dans le détail ses différents projets et ambitions pour l’Afrique, son pays en particulier. Pour celle qui veut promouvoir l’entrepreneuriat social, il s’agit d’encadrer les femmes d’abord, avant de leur ouvrir les mécanismes de financement.


AD2A8146Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

Je tiens d’entrée à remercier très chaleureusement vos lecteurs et saluer avec déférence toutes ces sénégalaises et sénégalais qui participent chaque jour au rayonnement de ce beau pays, jadis capital de l’Afrique Occidentale Française (AOF) et aujourd’hui, véritable modèle de développement pour les pays du continent. Je ne saurai poursuivre mon propos, sans marquer mon admiration pour cette terre chargée d’histoire qui m’a vu naitre.

Je suis Danièle SASSOU NGUESSO, mariée et mère de 4 enfants. Opticien-lunettier de formation, je suis également titulaire d’un master 2 en politiques et management du développement sciences po Paris. J’évolue depuis plusieurs années dans le domaine du paramédicale au Congo, et parallèlement à cela je poursuis des activités dans de l’entreprenariat sociale. il faut croire que ce métier a quelque peu influencé mon propre regard sur certains sujets de société, notamment ceux qui concernent de nos jours, les groupes vulnérables ainsi que les inégalités sociales persistantes qui freinent la croissance inclusive de nos pays et de notre continent. A cet effet, je me définis aujourd’hui , comme un Homme – grand « H » – qui souhaite ne pas être simple spectateur mais plutôt un acteur du changement que nous espérons tous pour nous-mêmes et pour les générations futures. Je me conçois surtout comme une mère qui lutte pour le bien-être des enfants (à travers notre fondation LPS) et également comme une femme qui milite pour l’amélioration des conditions de ses consœurs, (à travers notre fondation SOUNGA).

Parlez-nous de votre fondation ?

La fondation SOUNGA est une association de droit congolais, créée en 2015 en vue d’accompagner les femmes dans la prise en charge de son propre développement ainsi que dans le processus d’intégration de cette dernière, au développement de nos pays et de notre continent. Notre ambition est de faire en sorte que le bien-être de nos familles, de nos organisations aussi bien privées que publiques, ne reposent pas en majeur partie sur nos seules hommes alors que presque partout en Afrique les statistiques montrent que les femmes représentent plus de la moitié des populations nationales. SOUNGA, qui veut dire « Aide » en lingala (langue Bantu), vise ainsi à apporter une assistance socioéconomique aux femmes et faire en sorte qu’une meilleure autonomisation de ces dernières, réduise progressivement cette asymétrie de genre qui persiste dans nos pays et qui retient jusque-là, le potentiel d’une croissance étouffée en partie par les inégalités hommes-femmes.

Concrètement quelles sont vos activités ?

La fondation SOUNGA s’attèle à mettre en place un écosystème « serviciel » qui permette aux femmes de renforcer leurs capacités humaines de façon intégrale, tant sur les aspects psychologiques, sociologiques qu’économiques. C’est pourquoi, les activités de notre fondation se structurent autours des services d’assistance suivants : l’écoute, la formation et le coaching, l’information, le conseil et l’orientation.

Très prochainement d’ailleurs, d’ici quelques semaines, la fondation SOUNGA va lancer son propre incubateur, destiné à encadrer des  femmes entrepreneures, sélectionnées par un comité technique, afin de permettre à ces dernières d’obtenir après quelques mois de formations, des financements appropriés pour la réalisation de leurs projets. Cette première vague de femmes encadrées par notre fondation, servira par la suite de « mentors » pour la sélection et l’encadrement d’autres femmes qui s’adresseront à notre incubateur.

Partout en Afrique, l’entrepreneuriat féminin en particulier se heurte à la question du financement, des préjugés défavorables…comment y remédiez-vous ?

Votre question est fort-à-propos parce que le constat des difficultés liées à l’entrepreneuriat féminin en Afrique, est convergent avec les résultats des études menées par les partenaires au développement ainsi que par les résultats de notre propre expérience d’entrepreneure sociale, tant au Congo qu’un peu partout sur le continent. Les femmes continuent en effet, d’être victimes de nombreux préjugés, souvent très ahurissants et révoltants, construits pour l’essentiel à partir des pratiques culturelles avilissantes et désuètes qui continuent malgré l’existence de textes règlementaires et juridiques, d’alimenter des pesanteurs sociales tenaces et maintiennent les femmes dans la position de « cadettes sociales ». Ce positionnement de la femme se ressent dans pratiquement tous les aspects du développement de nos pays et le domaine de l’entrepreneuriat n’y échappe pas. Les idées reçues et véhiculées par les considérations sexistes, continuent par exemple de faire de certains métiers la « chasse gardée » des hommes.

La fondation SOUNGA que nous avons la charge de présider, a l’ambition comme nous le soulignions précédemment, de mettre en place un écosystème « serviciel » qui permette aux femmes de renforcer leurs capacités humaines de façon intégrale, tant sur les aspects psychologiques, sociologiques qu’économiques. Nous entamons ainsi nos efforts pour promouvoir l’entrepreneuriat féminin, justement par la création de cet incubateur que nous annoncions tantôt.

D’autres initiatives incluses dans notre projet associatif ainsi que dans notre programme opérationnel d’actions 2016-2018, devraient contribuer à résorber significativement les difficultés liées à l’entrepreneuriat féminin, du moins, au Congo où la fondation déploie pour l’instant ses actions.

Peut-on s’attendre à ce que votre Fondation sorte de votre pays ?

Nous nous sentons interpellés partout où des jeunes filles et des femmes continuent d’être maintenues ou de se maintenir à bonne distance des principaux leviers du développement. La vocation de la fondation est d’aider et l’aide par essence n’a pas de frontière. Toutefois, il nous a paru plus cohérent de localiser nos premiers efforts, dans un pays comme le Congo qui est le nôtre et dont nous connaissons mieux les spécificités culturelles, socioéconomiques et politiques. Je note d’ailleurs que cette démarche qui consiste à construire un ancrage local dans le contexte de préoccupations internationales et continentales majeures comme l’amélioration de la condition des femmes, est celle qu’épouse aussi des fondations sénégalaises à l’instar de la fondation Servir le Sénégal que préside Madame Marième FAYE SALL que je salue très chaleureusement au passage.

Il n’est donc pas exclu que la Fondation SOUNGA sorte du Congo, pour contribuer avec des partenaires publics ou privés situés en dehors de nos frontières, et  même ici au Sénégal votre pays, au combat visant à éliminer toutes les formes de discriminations à l’égard des femmes et aussi pour l’autonomisation de ces dernières.

Notre fondation milite pour une génération Femmes de Demain, dite: Femmes SOUNGA capables elles aussi de se prendre en charge et de prendre en charge le destin de leurs familles, de leurs organisations et de leur pays. Cette Femme SOUNGA, n’est pas seulement congolaise ! Elle est avant tout transnationale et particulièrement africaine. Elle est Gabonaise, Ivoirienne, Ethiopienne, Egyptienne, Sénégalaise, etc.

Que faites-vous au Sénégal ?

Je suis invitée au Sénégal dans le cadre de mes études sur la question des genres. Je suis conviée au sein d’un panel de femmes à prendre la parole dans le cadre de cette problématique. En marge de cela, j’en profite pour visiter d’autres organes comme le mien qui lutte contre toutes les formes de discriminations faites aux femmes, j’en profite pour partager mes convictions et celle de la fondation SOUNGA que je préside, au sujet d’une vision de développement de pays intégrant mieux les compétences féminines mais aussi pour m’ouvrir personnellement à d’autres expériences et l’expérience sénégalaise notamment, en matière de réduction des inégalités sociales entre les hommes et les femmes.

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387392-langage-corporel-7-gestes-a-adopter-po-622x600-2Au boulot, il n’y a pas que la façon dont vous travaillez qui compte. Il y a aussi la façon dont vous présentez. Voici 7 conseils pour travailler votre langage corporel afin d’inspirer confiance à vos interlocuteurs en dégageant une impression de professionnalisme et de détermination.

Que vous passiez un entretien d’embauche, cherchiez à négocier votre salaire ou deviez faire une présentation importante auprès de clients, ce que vous dites compte tout autant que la façon dont vous le dites. Cela ne tient pas seulement à l’intonation de votre voix, mais à toute votre attitude.

Le chercheur en psychologie Albert Mehrabian a démontré que seule 7% de notre communication est purement verbale. Lorsque nous discutons avec quelqu’un, 38% de notre communication dépend de l’intonation de notre voix et 55% des expressions du visage et de notre corps.

Autant dire que langage corporel est primordial, d’autant plus dans le monde professionnel où chacun de nos gestes est décrypté ou interprété, que ce soit par un recruteur, un employeur ou une assemblée de collaborateurs.
Si vous craignez de renvoyer l’image de quelqu’un de peu sécure, trop réservé ou pas assez motivé, voici 7 conseils en matière de langage non-verbal à adopter.

N’ayez pas peur du eye contact

Adopter un regard qui donne confiance et assurance à son interlocuteur est quelque chose qui se travaille en amont. Deux écueils à éviter : avoir le regard fuyant ou lever sans cesse les yeux au ciel pour cacher sa nervosité et, tout le contraire, fixer intensément son interlocuteur, au risque de le mettre mal à l’aise.

 S’il le faut, avant un speech en réunion ou un entretien avec votre supérieur, entraînez-vous devant un proche ou un collègue. Ce qu’il faut, c’est chercher régulièrement le contact visuel en alternants regards directs et d’autres sur le côté. Si vous vous exprimez devant un auditoire, évitez de fixer le mur du fond et regardez en alternance différents collaborateurs et/ou clients. Cela vous permettra de gagner en assurance et surtout d’adapter votre discours en fonction des réactions que vous suscitez.

 Souriez

Sourire, c’est s’ouvrir aux autres, leur communiquer votre énergie et votre motivation. Lors de votre présentation ou d’un entretien d’embauche, n’oubliez pas d’arborer votre sourire le plus franc et chaleureux pour donner envie à la personne qui est en face de vous de vous écouter.

Hochez la tête

Si vous vous trouvez en entretien avec un recruteur ou avec votre supérieur, vous devez montrer que vous êtes engagée et attentive à ce qu’il vous dit. Penchez-vous légèrement en avant et hochez régulièrement la tête pour signifier votre approbation. Posez les avant-bras sur le bureau qui se trouve face à vous ou bien sur vos genoux, paumes vers le ciel. Si la gauche est sur le dessus, alors, vous montrez que vous êtes quelqu’un de passionné. Si au contraire c’est la droite qui domine, vous faites valoir votre ambition. Le gros avantage de cette posture, c’est qu’elle vous permet d’occuper vos mains et de ne pas montrer votre éventuel stress.

Joignez le geste à la parole

Pour donner à votre auditoire l’envie d’être engagé et attentif, n’hésitez pas à accompagner votre discours de gestes avec vos mains. Cela donnera en prime une apparence plus naturelle à votre intervention et vous aidera à trouver vos mots.

Bossez votre poignée de main

Il n’y a rien de pire pour un collaborateur de serrer une main fuyante (qui trahit l’arrogance) ou molle (synonyme d’insécurité). Sans tomber dans le piège inverse et broyer les phalanges de votre interlocuteur, travaillez votre poignée de main pour montrer que vous êtes quelqu’un de direct et de franc. L’idéal ? C’est une poignée donnée avec la « main droite, prise complète, pression ferme (mais pas trop forte), à un point médian entre vous et votre interlocuteur, une paume sèche et douce, environ trois mouvements donnés avec une vigueur moyenne, pour un temps ne dépassant pas deux à trois secondes au cours duquel le contact visuel sera maintenu, un sourire naturel, et, bien sûr, une expression orale appropriée », expliquait en 2010 le professeur Geoffrey Beattie de l’Université de Manchester.

Occupez l’espace

Lors d’une réunion ou d’un meeting, il n’y a rien de pire que les personnes restant statiques, restant debout sans bouger ni exprimer quoi que ce soit avec leur corps. Pour agir en leader, imitez-les. Avec vous remarqué que lors des conférences TED ou des keynotes d’Apple, la personne présente sur scène n’a pas peur d’occuper l’espace en multipliant les déplacements. Cela dénote une grande confiance en son discours et donne au public une impression générale d’ouverture et de disponibilité. Faites comme elle. En réunion, si la salle où vous vous trouvez le permet, n’ayez pas peur de vous déplacer, de maîtriser vos mouvements pour donner corps à votre discours.

Réalignez votre corps

Il peut arriver que même en ayant souri à votre interlocuteur et hoché la tête à ses propos, cela ne suffise pas à le faire adhérer à votre point de vue. Si vous vous trouvez face à quelqu’un qui émet des objections à vos arguments, il faut que vous l’ameniez à adhérer progressivement à votre point de vue. Pour cela, n’hésitez pas à changer d’attitude corporelle en vous alignant sur la sienne. Il croise les bras ? Faites de même. Au contraire, il fait des gestes amples avec les bras ? Imitez-le. Cet effet miroir n’a pas pour but de singer la personne qui est en face de vous, mais d’établir entre vous une connexion inconsciente qui pourrait bien vous être profitable.

Source: Terrafemina

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Comment aborder son premier poste? Sophie Muffang, executive coach, spécialiste de l’accompagnement au changement nous livre les 5 étapes essentielles.

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Ca y est, c’est une étape clé dans votre vie. Vous venez de terminer de brillantes études, avez été recrutée pour le job de vos rêves et vous apprêtez à travailler …pour de vrai. Evidemment, vous avez fait des stages qui vous ont beaucoup appris et vous ont permis de gagner en maturité, en confiance. Ce premier job a quand même des airs de défi.

Voici 5 conseils destinés à vous faire gagner du temps et à vous permettre réussir au mieux.

  • Observez

C’est votre premier jour. Soit un accueil spécifique vous est réservé et vous êtes chanceuse. Vous allez être présentée à l’équipe, découvrir les locaux, être guidée dans les endroits stratégiques. Soit vous arrivez et personne en particulier ne vous accueille. Vous vous sentez un peu perdue et mal à l’aise.

Coaching corner :

Prenez votre courage à deux mains et allez vous présenter aux collaborateurs que vous croisez. En amont, vous aurez préparé votre pitch avec soin. Il est destiné à faire en sorte que votre interlocuteur retienne deux ou trois informations essentielles sur vous, professionnellement parlant j’entends. Et puis observez. Observez qui parle à qui, comment, si les portes sont fermées ou pas, s’il y a du calme, de l’agitation… Vous êtes un radar en repérage. Il s’agit pour vous à travers ces observations de vous créer un banque de données vous permettant de décoder la culture de l’entreprise à travers les non-dits. Vous verrez, c’est puissant !

  • Jouez le jeu du business

Ayez confiance en vous, acceptez-vous telle que vous êtes, c’est pour cela spécifiquement que l’on vous a recrutée parmi les dizaines de candidats en lice. Le monde du travail est une vaste ère de jeu créé par les hommes pour les hommes. A vous de vous intéresser aux règles de ce jeu au plus vite et de mettre en œuvre des stratégies pour entrer dans le jeu et en tirer des avantages.

Coaching corner :

Bon nombre de jeunes femmes estiment qu’elles seront reconnues pour leurs compétences, leur investissement, leur engagement et … que cela fera la différence. NON ! Cela ne se passe pas ainsi. Alors surtout, ne restez pas dans votre coin, observez ce qui se passe et ce qui se joue. Interagissez avec les autres dès le début, cela vous demande de sortir de votre zone de confort mais c’est une étape essentielle.

  • Osez être « désobéissante » :

Dans son Ted talk, intitulé « Why we have too few women leaders », Sheryl Sandberg raconte une anecdote qui lui est personnellement arrivée. Elle anime un séminaire et pour conclure la séquence des Q&A, elle annonce qu’elle ne répondra plus qu’à deux questions. A votre avis, que se passe-t-il ? Les femmes baissent la main, les hommes continuent de la lever. Au final, Sheryl répond à plus de deux questions, mais les femmes se sont d’elles-mêmes mises hors jeu.

Coaching corner :

Ne prenez pas tout au pied de la lettre. Un ordre, une consigne sont aussi là pour être challengés. Dans la majorité des organisations, ceux qui font entendre leur voix, sont force de suggestions, fixent leurs limites, se font remarquer et prennent l’avantage.

  • Donnez-vous la permission d’être fière de vous

Il y a peu encore vous étiez une jeune fille et voilà qu’a présent vous êtes une femme. Cela mérite un petit dialogue positif avec vous-même dans lequel vous faites le bilan factuel de tout ce que vous avez accompli. Oui, c’est vous qui avez parcouru tout ce chemin qui n’est dû ni à la chance, ni à la gentillesse des examinateurs ou des recruteurs mais bien à vous seule.

Coaching corner :

Les hommes attribuent leur réussite à eux-mêmes, les femmes l’attribuent au hasard. Croyez en vous et reconnaissez vos compétences, vos qualités, dégagez vos lignes de force, vos talents. Dressez en une liste et consultez la régulièrement pour en faire le socle sur lequel vous appuyer.

  • Demandez du feedback

Le feedback est un puissant levier de développement qui vous permet de croiser la perception que vous avez de vous avec le regard que les autres portent sur vous. Parfois, le décalage entre les deux est important. En demandant régulièrement du feedback, vous pouvez prendre en considération des pistes d’amélioration qui vous permettront de grandir et d’avancer.

Coaching corner :

Un feedback constructif, c’est un gros hamburger. Il est appétissant et croustillant sur le dessus où sont consignées les réussites. Il est fourré de nutriments qui sont factuels et constituent des axes d’amélioration potentiels. Usez et abusez de feedback avec votre N+1 pour vous permettre de mieux cerner ses attentes et de construire une relation de confiance avec lui. Faites-en de même avec des pairs de confiance.

Cette première prise de poste est fondamentale. N’ayez pas peur, foncez et amusez-vous. De nombreux défis vous attendent. Vous pouvez demander à un mentor ou à un parrain de vous accompagner dans cette étape.

Sophie Muffang est executive coach @ SMC². Spécialiste de l’accompagnement au changement orienté performance, elle intervient dans différents groupes du CAC 40 où elle contribue à « l’empowerment » des leaders et des managers.

SOURCE: BUSSINESS O

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Cette Tunisienne figure dans le classement Forbes des meilleurs entrepreneurs de moins de 30 ans. Son champ d’action ? L’environnement.

Depuis ses 11 ans, elle ne jure que par l’action collective. Fondatrice, en 2008, de Dream, un « réseau d’échange et d’action pour le développement » destiné aux jeunes, Sarah Toumi, aujourd’hui 28 ans, quitte Paris en 2012 pour retrouver la campagne tunisienne et ses souvenirs d’enfance. N’ayant jamais pu oublier les inégalités et la pauvreté qui régnaient à Bir Salah, le village de son grand-père, dans la région de Sfax (Centre), elle crée Acacias for All, une entreprise « à vocation sociale ».

Objectif : réduire le déficit hydrique de cette localité affectée par le changement climatique. Une initiative qui vaut à Sarah Toumi d’être la seule Arabe et Africaine à figurer dans le classement mondial 2016 des trente meilleurs entrepreneurs de moins de 30 ans, établi par le magazine américain Forbes.

Planter 1 million d’arbres d’ici à 2018

Cette passionnée de littérature de voyage (elle a obtenu une maîtrise sur ce thème à la Sorbonne) a regroupé en coopérative les femmes de Bir Salah. Leur travail ? Planter du moringa, une variété d’acacia qui donne de l’huile et de la gomme arabique très prisées sur le marché international. Cet arbre d’origine indienne a aussi la capacité de régénérer les sols et de drainer l’eau. Résultat, rien qu’à Bir Salah, 13 000 moringas ont été plantés, ainsi que 7 000 arbres fruitiers traditionnels. Ce projet s’accompagne d’actions solidaires, comme la création d’un club pour femmes ou d’un incubateur pour jeunes entrepreneurs, financés notamment par 45 000 euros de dons de la Fondation Roi-Baudouin et de la Fondation Orange, ainsi que par une campagne annuelle sur le web.

Sarah Toumi, qui compte essaimer en Tunisie, projette de planter 1 million d’arbres d’ici à 2018. Également récipiendaire des prix Ashoka Youth-Changemakers (2008) et Women for Change (2013), cette féministe musulmane qui admire Alaa Murabit, la fondatrice de l’ONG The Voice of Libyan Women, est plus que jamais déterminée à « inspirer des personnes normales qui veulent faire des choses extraordinaires ».

©Frida Dahmani

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