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Aza Mag a voulu célébrer les « Superwoman », autour d’un fabuleux Brunch. Mesdames, quoi de mieux, qu’un échange entre « Wonderwoman », dans un restaurant « Hype » au bord de la mer ? Quoi  de mieux de sentir cet air frais, autour d’un succulent met ?

Un jour, pour préparer l’événement, nous fîmes la visite de plusieurs endroits vers la corniche des Almadies. Nous fûmes tentées par le Cocotier, qui nous a fait une proposition très alléchante. Le genre à ne surtout pas, refuser.

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Le gérant nous a assuré d’aménager la salle du haut à temps, pour nous recevoir le jour j, et qu’on ne serait pas déranger.

Entre temps pour avoir une idée des plats qu’ils servaient dans ce restaurant, nous sommes même allées déjeuner et avons rediscuté avec le gérant, un français, pour peaufiner les détails. Il nous avait vendu du rêve et on était toute ouïe. Il a fallu le relancer plusieurs fois, par mail, par appel et même face to face. Nous nous sommes rendus sur place à 2 jours de l’événement pour les derniers réglages et nous avons échangé par téléphone la veille pour plus de clarté. Mais apparemment, il ne « comprenait » pas français !

Le jour j, nous arrivâmes à 8 H du matin, pour nous installer, vu qu’on était prévue pour 09 H.

  • Arrivées sur place, rien n’était prêt ! Rien de rien ! Nous avons trouvé un chantier avec des monceaux de bois, de la poussière, des toiles d’araignées et le pire c’était le gardien, qui nous disait d’un air arrogant : «  si vous ne trouvez pas cela propre, faites le vous-même ». C’était carrément choquant !
  • Le gérant était «malade », IL n’était pas présent, et surtout il ne répondait à aucun de nos appels d’urgence.
  • Il n’avait pas informé ses employés qui semblaient tous perdus
  • Les courses n’ont pas été faites et il nous a fallu annuler notre Brunch
  • Pour s’excuser auprès de nos invités et nous rapprocher d’avantage, nous nous sommes réunies autour d’un petit déjeuner et pour couronner toutes nos mésaventures, le service était très lent. LA HONTE!
  • Le chocolat chaud était servi dans des petites tasses (vraiment très petites) à Expresso parce qu’il n’y avait pas de tasses normales. Nous avions réservé au début pour 50 personnes ! Ils n’avaient même pas les couverts nécessaires pour nous servir.

La question que nous nous posons c’est pourquoi nous avoir laissé communiquer autour de son restaurant et pourquoi nous avoir assuré que son établissement pouvait accueillir notre événement, s’ils ne sont même pas capables de faire manger 15 personnes convenablement ?

Manque de professionnalisme, retard du service, arrogance des employés, insalubrité des lieux …

Ce restaurant doit être classé sous liste noire !

 

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Réduire les bidonvilles, augmenter les villes intelligentes, telles sont les recommandations qui sont le plus revenues lors du 16e Forum économique international sur l’Afrique, organisé par le Centre de développement de l’OCDE jeudi dernier à Paris.


Le Centre de développement de l’OCDE, la Commission de l’ Union Africaine et le Club du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest de l’OCDE, ont accueilli le Forum économique international sur l’Afrique le 29 Septembre dernier.

L’occasion a été saisie par différents experts et spécialistes de l’urbanisation pour plaider en faveur de la transformation des villes africaines.

Selon René Kouassi, Directeur de la Commission des Affaires économiques de l’Union Africaine (UA), sept citadins sur dix (72%) en Afrique subsaharienne vivent dans des bidonvilles,. Un chiffre révélateur de l’immensité des défis à relever, d’autant plus qu’à l’horizon 230, la moitié des africains vivront en ville.

« Il est temps de sortir les villes africaines de la ghettoïsation et de l’extrême pauvreté. Le forum permet, d’identifier les contours d’un nouvel écosystème pour bâtir en Afrique des villes durables et réduire des bidonvilles » a soutenu René Kouassi.

Au cours des échanges plusieurs intervenants ont invité les décideurs africains à accorder plus d’attention aux services de base, notamment le secteur informel qui touche plus de 60% de la population urbaine. Il s’agit pour eux, d’améliorer les services de base qui constituent un facteur-clé pour réduire la pauvreté.

Seulement, déplore Angel Gurria Secrétaire Général de l’OCDE, les deux tiers des infrastructures urbaines nécessaires en Afrique d’ici 2050 n’existent pas encore. Pour l’économiste mexicain, il appartient aux africains de construire ces infrastructures même si son organisme est prêt à accompagner

« L’OCDE est prête à concevoir, élaborer des villes africaines plus sûres, plus influentes et plus pérennes a-t-il indiqué. Il a  les solutions spécifiques doivent être construites par les Africains et pour les Africains » a dit Angel Gurria.

Cité en exemple par plusieurs intervenants Accra au Ghana a été l’attraction de la rencontre parisienne . D’ailleurs, le maire de la capitale ghanaeenne Alfred Oko Vanderpuije a tenu en haleine sur sa gestion, les participants à la dernière session du forum parmi lesquels Ibrahima Assane Mayaki Président du NEPAD et Célestin Monga Vice-Président de la BAD.

SOURCE: BBC Business

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l’Afrique subsaharienne se transforme à grande vitesse et dans ce processus, une nouvelle génération d’entrepreneurs souvent à la tête de startups dynamiques jouent un rôle de choix. C’est ce que pensent Jean-Michel Severino et Jérémy Hajdenberg qui sont les co-auteurs de « Entreprenante Afrique », essai paru chez Odile Jacob.


Jean-Michel Severino et Jérémy Hajdenberg, respectivement Président et Directeur Général Adjoint d’Investisseurs & Partenaires (I&P),un groupe de fonds d’impact investissement destiné aux PME africaines, sont formels: « La révolution entrepreneuriale sur le continent constitue le principal moteur des économies africaines  » et au cœur de cette expansion en marche, selon les auteurs, une nouvelle génération d’entrepreneurs ; souvent jeunes, la plupart du temps très bien formés et fréquemment issus de la diaspora.

« Ils sont créatifs et inventifs, proposent des biens et des services adaptés à la demande intérieure et se positionnent sur des parts de marchés à fort potentiel laissées par les groupes internationaux », résume Jean-Michel Severino.

Pour les deux  essayistes, si l’Afrique atteint des taux de croissance économique supérieurs à 5 % par an depuis le début des années 2000, elle le doit en partie à un secteur privé innovant et surtout à une classe moyenne émergente capable de consommer comme l’explique l’éditeur dans un communiqué.

« De l’agro-alimentaire à la téléphonie, du bâtiment à la santé en passant par le tourisme et l’énergie, les deux auteurs décryptent une microéconomie africaine, inclusive, créatrice d’emplois, distributrice de richesses et tirée par l’émergence d’une nouvelle classe moyenne estimée à plus de 370 Millions de personnes actuellement et 582 Millions en 2030, selon la Banque Africaine de Développement (BAD) ».

Severino et Hajdenberg croient beaucoup aux PME, qu’ils voient comme le creuset actuel de la croissance africaine.

« Les entreprises employant moins de 250 personnes représentent environ 20% des emplois en Afrique du Sud, au Burundi et au Cameroun ; entre 30% et 40% en Côte d’Ivoire, au Kenya, au Malawi et en Tanzanie. Elles sont donc en quelque sorte le creuset actuel et potentiel de la croissance économique du continent », écrivent-ils.

En tout cas l’optimisme dont font montre Jean-Michel Severino et Jérémy Hajdenberg dans leur ouvrage avec notamment des parcours héroïques de patrons africains et de formidables réussites, comme celles d’Aliko Dangote ou de Mo Ibrahim, contraste avec la dernière étude Africa’s Pulse de la Banque Mondiale parue jeudi qui parle d’une situation extrêmement contrastée, des disparités entre pays  et surtout d’un effondrement de la croissance dans plusieurs régions du continent.

SOURCE: Réussir

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Rejoignez le mouvement #WhatIReallyReallyWant

L’association The Global Goals, pour l’éducation des jeunes filles à travers le monde, s’est approprié le célèbre « Wannabe » des Spice Girls pour en faire un clip pop, féministe et absolument génial. A voir.

« What do you really really want ? » Le tube Wannabe des Spice Girls a beau avoir 20 ans (!), il résonne encore. A l’époque, Victoria Beckham et ses copines épicées demandaient aux hommes de s’accrocher pour décrocher leur cœur. Aujourd’hui, les féministes alpaguent les filles du monde entier pour leur demander ce qu’elles veulent vraiment vraiment. Dans une reprise du girlsband postée sur Youtube, l’association The Global Goals attendent des salaires égaux, la fin des violences faites aux femmes ou encore une éducation de qualité pour toutes. La vidéo appelle toutes celles qui se sentent concernées ou brimées à partager ce qu’elles désirent le plus sur les réseaux sociaux avec le hashtag #WhatIReallyReallyWant. L’association lutte pour l’éducation des femmes et jeunes filles, dans le but de mettre un terme aux fléaux de la pauvreté et de la famine, entre autres.
Posh, Mel C et Emma ont partagé le clip sur leur Facebook respectif, se disant fières que leur tube des années 90 serve une si noble cause. « Friendship never ends »… l’influence des Spice Girls non plus.

Source: Journaldesfemmes.com

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De son vrai nom, Fadima Al Zahra, elle demeure une femme de défis au regard de son parcours très impressionnant. Celle qui a été sacrée Ambassadeur de la beauté malienne lors du concours Miss ORTM en 1994, fait la fierté de la femme malienne, voire africaine. C’est un véritable exemple dans le domaine de l’entreprenariat féminin.

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Dans une interview accordée au célèbre magazine “Bko Business & Class” dans sa parution N°4 de mai-juin 2016, Sangaré Fadima dévoile ses secrets et ses ambitions. Elle déclare très haut sa fierté d’être une Malienne et une Africaine. “Je suis une femme malienne, fière de mon pays. Je suis mariée et mère de 5 enfants aujourd’hui. Mon parcours professionnel a été basé sur un esprit d’indépendance et de recherche de l’excellence dans mes offres et prestations de services. Au départ, ce n’était pas facile, mais j’ai eu très vite la conviction qu’au travers d’une activité créée et développée, je pouvais montrer à mes enfants le bon exemple par le travail et la persévérance. J’ai eu une opportunité qui m’a permis de me lancer dans le BTP et l’Immobilier. J’y ai mis toute mon énergie, avec rigueur et humilité. Ça a marché et cela a entraîné de nouveaux défis que j’ai relevés” dira Sangaré Fadima.

Après avoir fait ses preuves dans plusieurs domaines, notamment dans le commerce import et export, Fadima Al Zahra gère depuis quelques mois la Holding Dana, qui regroupe l’ensemble de ses entreprises : BTP, Immobilier, Commerce, Import – Export, complexe scolaire “La Fontaine”. Sans oublier l’énergie et la représentation-consulting de marques ou d’investisseurs étrangers. “J’ai énormément développé cette dernière branche dans le but de contribuer à la valorisation du climat des affaires au Mali. J’essaye de créer le pont entre investisseurs étrangers et décideurs. Ma responsabilité en tant que consultante est de convaincre les investisseurs de semer ici au Mali et d’en récolter équitablement et justement les fruits. Pour donner de l’emploi à notre jeunesse en particulier et pourquoi pas, l’encourager ainsi à entreprendre “précisera-t-elle.

A la question de savoir comment Fadima arrive à concilier business et famille, la réponse est très claire : “Je pense que tout est une question d’organisation et de s’y tenir. D’être pleinement et sereinement dans chacun de ces moments (famille et travail) quand on s’y consacre. Quel que soit l’endroit du monde où mon activité peut me mener, prendre chaque jour le temps de l’échange avec ma famille est ancré en moi”.

Aujourd’hui, l’ancienne Miss ORTM apprécie la montée en puissance féminine dans les affaires : “Je pense que cela est une source de fierté et d’encouragement pour toutes les femmes qui hésitent à se lancer. Et je les encourage à puiser dans tous ces exemples pour oser entreprendre. Elles réussiront, je n’en doute pas une seconde.  A mes sœurs et filles, je leur dirais de garder leur féminité comme puissance de vie et de rester authentiques”.

Source : maliactu.net

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by Team Aza Mag

La radio publique camerounaise a annoncé jeudi qu’un foyer de grippe aviaire H5N1 a été identifié dans une ferme avicole de Yaoundé, tuant près de 15 000 volailles en trois jours

Le constat d’une « forte moralité de la volaille » au complexe au complexe avicole de Mvog-Betsi, en périphérie de Yaoundé, a suscité l’inquiétude au Cameroun. Selon un bulletin d’analyse du Laboratoire national vétérinaire (Lanavet), entre le 20 et le 23 mai, près de 15 000 décès de volailles ont été enregistrés dans cette ferme sur les 33 000 que compte le site.

À en croire la radio d’État qui a rapporté la nouvelle, jeudi 26 mai, le virus H5N1 a été détecté dans la ferme suspecte. En conséquence : les volailles mortes ont été incinérées, le reste du cheptel abattu, tandis que l’accès à la zone infectée est désormais interdit.

Aucun cas de contamination humaine

Un seul foyer a été décelé jusqu’à présent, et aucun cas de contamination humaine n’a été officialisé, mais le gouvernement camerounais assure que des dispositions ont été prises « au cas où un individu serait contaminé ».

Jeudi soir, le Dr Taïga, ministre de l’Élevage, des Pêches et des Industries animales, a annoncé une série de mesures préventives pour éviter l’apparition de nouveaux cas de grippe aviaire.

Il ordonne notamment « la fermeture de la vente de volaille dans les marchés sur l’ensemble du département du Mfoundi », dont Yaoundé est le chef-lieu, ainsi que « des opérations de police sanitaire et vétérinaire » dans les exploitations avicoles de la zone.

SOURCE :JEUNE AFRIQUE

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Réunis à Addis-Abeba (Ethiopie) dans le cadre de la conférence de clôture du Projet Vaccins Méningite (PVM), des experts de la vaccination et des responsables de 26 pays africains de la « ceinture de la méningite » ont constaté et révélé ce lundi, 22 février 2016, que la méningite A était en passe d’être éradiquée du continent africain.

Ils fondent leurs déclarations sur les résultats obtenus depuis l’introduction en 2010 du vaccin MenAfriVac dans 16 des 26 pays de la « ceinture de la méningite », une zone de l’Afrique subsaharienne qui va du Sénégal à l’Ethiopie.

Dans le communiqué de presse parvenu aux rédactions des différents médias, l’on peut lire en effet que « plus de 235 millions d’enfants et de jeunes adultes (de 1 à 29 ans) ont été immunisés, et la méningite a disparu de ces zones ».

Plus encore, l’on est passé de plus de 250 000 cas de maladies lors de l’épidémie de 1996, à 80 cas confirmés en 2015 dans les pays qui n’avaient pas encore mené de campagne de vaccination massive et parmi les personnes non vaccinées.

Depuis des générations, la méningite A est un fléau dans « toute la ceinture africaine de la méningite », mais aujourd’hui nous pouvons nous féliciter qu’un vaccin sûr et efficace sauve des millions de personnes de la mort et de l’infirmité », se satisfait Seth Berkley, président-directeur général de l’Alliance du vaccin (GAVI), une organisation qui a soutenu le PVM.

Pour Manuel Fontaine, directeur régional de l’UNICEF pour l’Afrique de l’ouest et du centre, « le déploiement du vaccin contre la méningite A a été une très belle réussite en Afrique subsaharienne ».

Toutefois, le PVM prend ainsi fin alors que parmi les 10 pays qui doivent encore mener des campagnes complètes de vaccination, cinq sont prêts à le faire en 2016. Il s’agit de la République centrafricaine, de la Guinée-Bissau, du Soudan du Sud, de la République démocratique du Congo (RDC) et de l’Ouganda.

Quant aux cinq Etats restants (Burundi, Érythrée, Kenya, Rwanda et Tanzanie), ils devraient mener des campagnes de vaccination massive dans des zones à haut risque en 2016-2017.

D’où les réserves de Matshidiso Moeti, directrice régionale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’Afrique : « notre franc succès contre la méningite A n’est en aucun cas permanent, dit-elle. Pour maintenir le niveau de protection actuel contre cette maladie, tous les pays à risque doivent achever leurs campagnes de vaccination et intégrer le vaccin à leurs programmes de vaccination systématique contre les maladies infantiles. »

Nouvelles épidémies

Surtout que les experts réunis à Addis-Abeba indiquent que « selon un modèle mathématique, les pays risquent de connaître de nouvelles épidémies d’ici quinze ans si aucun programme de vaccination n’est mis en place après ces campagnes ponctuelles ».

A ce propos, huit pays de le « ceinture de la méningite » (Burkina Faso, République centrafricaine, Tchad, Ghana, Mali, Niger, Nigeria et Soudan) ont d’ores et déjà demandé un financement pour inclure le MenAfriVac dans leurs programmes nationaux de vaccination systématique contre les maladies infantiles en 2016.

Les 18 pays restants (Bénin, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gambie, Guinée, Sénégal, Togo, Burundi, Érythrée, Kenya, Rwanda, Tanzanie, RDC, Éthiopie, Guinée-Bissau, Mauritanie, Soudan du Sud et Ouganda) devant en faire de même au cours des deux prochaines années.

Considéré comme l’un des plus grand succès de santé publique, le PVM avait été mis sur pied en 2001 par l’OMS et l’organisation non gouvernementale PATH, avec pour principal bailleur la Fondation Bill & Melinda Gates.

Avant l’introduction du MenAfriVac fabriqué par le laboratoire indien Serum Institute of India, la méningite A était la principale cause des épidémies dans les pays de la « ceinture de la méningite ».

Mais, désormais, ce sont d’autres souches qui sont à l’origine de flambées de cette maladie ; à l’instar de l’épidémie de méningite C qui a frappé le Niger dans la première moitié de l’nnée 2015, avec près 8 341 cas pour 557 décès comptabilisés au mois de juin 2015.

Les experts ont décidé de concentrer maintenant leurs efforts vers l’éradication de ces autres souches.

Source:Scidev.net

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INGREDIENTS

* 5 bottes de feuille légume

* 1 bout de potasse

* 4 à 6 crabes (facultatifs)

* 200g de crevette fraîche décortiquée

* 1,5 Kg de maquereau fumé

* 3 gousses d’ail écrasé12782097_1148225631854132_907568381_n

* 1 bout de gingembre écrasé

* 5 piments rouges écrasés

* 1/2 cuillerées à café de poivre noir moulu

* 1 oignon écrasé

* 1 bol de tomate grossièrement écrasée environ 1,5 Kg

* 2 cuillerées à soupe de crevette fumée

* 1 bout de poisson salé sécher

* 400 g de peau de boeuf

* 1 tasse à café de sésame en poudre

* 1 oignon émincé

* 6 piments verts

* 30 cl d’huile

* Sel

PRÉPARATION

  1. Laver les feuilles légumes après les avoir soigneusement ôtées de leur tige, les couper grossièrement et les blanchir dans l’eau bouillante avec de la potasse. Rincer rapidement les légumes après les avoir égouttée de leur eau de cuisson. Eviter de les laisser tremper dans l’eau.
  2. Dans une casserole faire chauffer l’huile, y verser la tomate et tous les autres condiments écrasés ainsi que le poisson salé, le poivre et la crevette fumée. Remuer pour éviter de faire brûler la préparation.
  3. Au bout de 8 à 10mn ajouter crabe, crevette fraîche et peau de bœuf sans cesser de remuer. Mouiller avec une tasse d’eau. Au premier bouillon mettre le poisson nettoyé dans la sauce et saupoudrer de sésame. Saler et vérifier l’assaisonnement. Laisser cuivre à feu doux pendant 10mn.
  4. Au bout du temps indiqué ajouter à la sauce légume l’oignon émincé et le piment vert. Continuer la cuisson pendant 5mn encore et ôter la casserole du feu.

Bon appétit à tous !

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