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Gabrielle SOKENG

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Les Ladies Talk, ce sont des ateliers de discussions sur des thèmes qui touchent la femme et son quotidien. Nous nous retrouvons en groupe de 20 personnes autour d’un apéritif dans un restaurant de la place en afterwork pour échanger. Nous voulons parler de la sexualité dans le couple, plus particulièrement : Comment gérer les MST dans le couple ? C’est un sujet d’actualité car de par notre éducation, certains sujets ont du mal à être abordé dans les couples.

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Les Ladies Talk, ce sont des ateliers de discussions sur des thèmes qui touchent la femme et son quotidien. Nous nous retrouvons en groupe de 20 personnes autour d’un apéritif dans un restaurant de la place en afterwork pour échanger. Nous parlerons cette fois-ci de séduction, car elle doit être en permanence en nous , elle doit se refléter dans nos gestes , dans notre langage et à travers notre comportement .La très célèbre kira coaching, sera présente, pour nous « apprendre », l’art de la séduction.

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AIFA

by Gabrielle SOKENG

Il était une fois … Les contes de fées commencent ainsi non ?
Il était une fois, une femme au charme ensorcelant. Néanmoins, les plus belles fleurs se fanent au fil du temps.
Je m’appelle Aifa, j’ai 28 ans avec trois enfants.

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J’aurai pu avoir une histoire à la Cendrillon, mais j’ai choisi un tout autre sort. J’avais un rêve, être la « Anna Wintour » de mon pays, de ma génération. Je convoitais aussi les milliards de mon idole « Oprah Winfrey ».
Je n’avais surtout pas prévu l’attaque sordide de Cupidon ! Il m’a mortellement piqué.
J’ai tout quitté pour mon homme (ma famille, ma vie sociale, mes études, mon avenir). Je me suis mariée !
La première année était magique, je vivais telle une reine.
Puis, tout est devenu semblable à un film d’horreur, et encore, je pèse mes mots.

Qu’appelle t’on violence conjugale ?
Mon ménage en était l’exemple.
Non content de m’insulter, il s’est mis à me battre, à mal me parler devant ses amis. Si l’un d’eux me défendait, il me le faisait payer doublement.
Pourquoi tant de haine ?
Je suis quand même une parfaite fée du logis.

J’ai longtemps attendu une baguette magique assez puissante pour tout améliorer. Je n’avais même pas réalisé que j’avais entre les mains, les clés de cette horrible prison. Il est temps pour moi de cesser de « rêver de vivre et de vivre mes rêves « .

Le monde s’ouvrait à moi ! Il me fallait juste « prendre la lune avec les dents ».

Mes parents étaient enchantés d’apprendre, que je quittais mon mari. Ils allaient m’aider financièrement et par la suite, je pourrais voler de mes propres ailes.

Je ne voulais plus de ces infâmes guenilles, que je portais. Et à part mes petites « souris », plus rien ne m’importait.

Que faire ? Filer à l’anglaise ?
Mon homme était dans les bras de Morphée, l’occasion idéale pour disparaître avec mes filles.
Comment ai-je pu être assez candide ?
Il était venu nous retrouver à la seconde.
Je lui ai tenu tête, mais il m’enleva mes amours.
Pleurant, hurlant, écroulée sur le seuil de la porte, j’avais perdu toute crédibilité. J’entendais : »Aifa ressaisis toi ».

Une mère n’abandonne jamais ses enfants. Il est évident que j’allais les récupérer, même si pour cela ,je devais , »tenter le diable ».

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Les jours passaient et tout devenait sombre, dépressif. Je ressemblais à un zombie et je n’avais plus goût à rien. Il fallait que ça cesse ! Mes parents m’offrirent un voyage de « non-retour » à Los Angeles, histoire de me forger d’avantage. Cela ne m’enchantait guère ! Mais je n’avais absolument pas le choix.

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Partir, recommencer à zéro, sans mes « Brebis » ! Quelle mère l’accepterait ?

« Les Fées nous endorment, nous ouvrent les portes de leur royaume, qui se referment sur nous, sans qu’elles aient pris la précaution, de nous en remettre les clés ». dit-on ! Cela est vrai, je n’avais aucune idée de ce que j’allais devenir, ni comment j’allais m’en sortir. J’avais peur !

Le voyage me parut « sans fin » mais surtout harassant. A mon arrivée, tout me semblait irréel. Tout était magique, du goudron à la plante fanée. J’étais émerveillée !

Los Angeles est la ville où tous les rêves deviennent réalités, à condition de « vendre son âme ».

Il me fallait «gagner mon pain», étant donné que mes parents ne m’aideront pas éternellement.

Ma tante, me proposa de l’aider dans son salon de coiffure, histoire de faire des miracles. Je n’avais jamais imaginé que des « Braids » pouvaient valoir tant d’argent. Grâce à ce travail, je pouvais complètement me métamorphoser. J’avais une nouvelle coiffure, des nouveaux vêtements et surtout j’ai troqué mes chaussures plates, pour des talons hauts. Je me suis senti comme Cendrillon, en essayant ma première paire. Ces merveilles n’étaient pas en verres certes, mais elles me rendaient forte. Forte, comme si je pouvais dominer le monde. Bien sûr, c’était fort évident, qu’il fallait que je m’entraîne durement, pour marcher comme ses «créatures», que je croisais dans la rue. J’étais devenue la « poupée » de ma tante, elle prenait plaisir à faire des « expériences esthétiques » sur moi. De ce fait, j’avais repris mon charme d’antan, j’étais redevenue une splendide Rose.

Si seulement mes « colombes » pouvaient me voir ! Elles auraient été ébahies. Elles me manquent tant !

Ma vie changea encore, après ma rencontre avec Isobel, une « business woman » hyper active, à la peau blanche comme neige. Elle était productrice de télé réalité. Et jusqu’à maintenant, je ne savais pas ce que ça voulait dire.

Los Angeles est la ville où tout devient possible, à condition de « vendre son âme » au diable. Je venais justement de le rencontrer, non de la rencontrer ! Avec sa voix de sirène, elle me disait : « Aifa, play with me ».

Pour récupérer mes enfants, j’étais prête à « tenter le diable », mais c’est plutôt lui qui me tente. Non pardon, c’est elle qui me tente.

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Aza Mag a voulu célébrer les « Superwoman », autour d’un fabuleux Brunch. Mesdames, quoi de mieux, qu’un échange entre « Wonderwoman », dans un restaurant « Hype » au bord de la mer ? Quoi  de mieux de sentir cet air frais, autour d’un succulent met ?

Un jour, pour préparer l’événement, nous fîmes la visite de plusieurs endroits vers la corniche des Almadies. Nous fûmes tentées par le Cocotier, qui nous a fait une proposition très alléchante. Le genre à ne surtout pas, refuser.

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Le gérant nous a assuré d’aménager la salle du haut à temps, pour nous recevoir le jour j, et qu’on ne serait pas déranger.

Entre temps pour avoir une idée des plats qu’ils servaient dans ce restaurant, nous sommes même allées déjeuner et avons rediscuté avec le gérant, un français, pour peaufiner les détails. Il nous avait vendu du rêve et on était toute ouïe. Il a fallu le relancer plusieurs fois, par mail, par appel et même face to face. Nous nous sommes rendus sur place à 2 jours de l’événement pour les derniers réglages et nous avons échangé par téléphone la veille pour plus de clarté. Mais apparemment, il ne « comprenait » pas français !

Le jour j, nous arrivâmes à 8 H du matin, pour nous installer, vu qu’on était prévue pour 09 H.

  • Arrivées sur place, rien n’était prêt ! Rien de rien ! Nous avons trouvé un chantier avec des monceaux de bois, de la poussière, des toiles d’araignées et le pire c’était le gardien, qui nous disait d’un air arrogant : «  si vous ne trouvez pas cela propre, faites le vous-même ». C’était carrément choquant !
  • Le gérant était «malade », IL n’était pas présent, et surtout il ne répondait à aucun de nos appels d’urgence.
  • Il n’avait pas informé ses employés qui semblaient tous perdus
  • Les courses n’ont pas été faites et il nous a fallu annuler notre Brunch
  • Pour s’excuser auprès de nos invités et nous rapprocher d’avantage, nous nous sommes réunies autour d’un petit déjeuner et pour couronner toutes nos mésaventures, le service était très lent. LA HONTE!
  • Le chocolat chaud était servi dans des petites tasses (vraiment très petites) à Expresso parce qu’il n’y avait pas de tasses normales. Nous avions réservé au début pour 50 personnes ! Ils n’avaient même pas les couverts nécessaires pour nous servir.

La question que nous nous posons c’est pourquoi nous avoir laissé communiquer autour de son restaurant et pourquoi nous avoir assuré que son établissement pouvait accueillir notre événement, s’ils ne sont même pas capables de faire manger 15 personnes convenablement ?

Manque de professionnalisme, retard du service, arrogance des employés, insalubrité des lieux …

Ce restaurant doit être classé sous liste noire !

 

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Rien ne vaut un bon vieux face à face pour démarrer la carrière que vous avez toujours voulu!

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Tout le monde n’aime pas se promener au milieu d’une foule à l’allure étrange, cartes de visite dans une main et un plateau de fromage dans l’autre.  Approcher des inconnus tout en essayant de tisser des liens peut être une expérience assez bizarre.  Cependant, le fait est qu’une discussion en face en face peut vraiment aider à tisser des liens professionnels et, en quelques minutes, donner un coup de fouet à votre carrière.

Que vous soyez à la recherche de partenaire, de client ou d’un employeur, les évènements de Networking peuvent réellement faire la différence. En effet, ils peuvent non seulement vous aider à progresser professionnellement, mais vous faire du bien sur le plan personnel.

Cependant, comme on le dit souvent, une seconde suffit pour faire mauvaise impression. Alors, avant de saisir l’une des nombreuses opportunités de Networking disponibles durant l’année, il est important de peaufiner son approche.  Voici comment s’y prendre:

1 – Allez-y tôt

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Arriver en retard à dessein, vous connaissez n’est ce pas?  C’est malheureusement une pratique qui ne s’applique qu’aux soirées privées et sorties entre amis.  Aussi, si votre plus grande peur est de vous retrouver bloqué dans une foule avec votre verre en plastique et vos cartes de visite alors que tout le monde est en pleine discussion, allez-y tôt.

Oubliez toutes notions que vous aviez sur être cool et branché  et soyez-y avant que ça ne commence.  Ce type de sorties peut être intimidant, spécialement si on y va seul.  Vous aurez moins l’impression d’être  perdu dans la foule si vous intégrez un petit groupe de personnes, et faites des nouvelles rencontres seul ou à plusieurs, au fur et à mesure que les gens arrivent.

2 – Soyez celui qui engage la conversation

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Les premières impressions sont plus que primordiales. D’un simple coup d’œil,  une personne peut se faire une opinion de vous en se basant sur votre apparence et sur votre posture..  Bien qu’avoir un look parfait soit important, pensez à   vous rendre à une sortie networking avec une tenue qui vous aidera à vous démarquer.

Evitez de vous noyer dans une mare de noir et de bleu marine en ajoutant une paire de chaussures excentriques ou des boucles d’oreilles tape-à-l’œil. Assurez-vous d’exprimer votre personnalité en fonction du contexte dans lequel  vous serez. S’il y a un code vestimentaire ou une attente particulière concernant la tenue à porter, assurez-vous de vous habiller en fonction de ce qui a été demandé. Vous ne voulez bien sûr pas laisser l’impression que vous aimez le clinquant ou que vous n’êtes pas professionnels n’est ce pas? N’oubliez pas qu’avant tout vous êtes sensé prendre du bon temps!

3 – Ne vous laissez pas absorber par la négativité

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Les grincheux de nature ont  toujours du temps pour les sorties networking. Ils ont l’art de se plaindre de tout: de l’économie,  du marché du travail, de votre business, de vos perspectives de carrière… Sachez que vous rencontrerez ce type de personnes, alors faites de votre mieux pour les éviter.

Ne vous sentez jamais obligés de discuter avec une personne négative, spécialement lors d’une sortie networking.  Faîtes plutôt de votre mieux pour guider la conversation en faisant des commentaires constructifs. Si la personne ne fait montre d’aucune envie de changer d’attitude, prenez poliment congé d’elle. Ceci va certainement vous paraître bizarre, mais  les enfants sont ceux qui savent le mieux faire du networking. En effet, non seulement ils sont imbattables lorsqu’il s’agit de se faire de nouveaux amis, mais ils n’ont pas peur et sont enthousiastes lorsqu’ils se dirigent vers leurs pairs. Si nos enfants peuvent le faire, pourquoi pas nous?

De la même façon, ne soyez pas dans la catégorie de ceux qui portent l’étiquette de râleurs. Assurez-vous de ne tenir que des conversations positives. Si vous déprimez à cause de votre travail, considérez que c’est une  occasion d’en trouver un nouveau. Concentrez vos efforts sur l’espoir d’un nouvel emploi et sur les compétences extraordinaires que vous avez.

4 – Recherche, recherche, recherche

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Les astuces tactiques de networking fonctionnent mieux lorsqu’on y va en étant bien préparé.  Rappelez-vous, ce sont des évènements qui ne durent pas toute une journée. Vous n’aurez qu’une toute petite fenêtre pour faire une bonne impression sur un large groupe; alors mettez la chance de votre côté en faisant assez de recherches avant le jour J.

D’abord, cherchez à savoir qui organise l’évènement. Ils n’auront sûrement pas beaucoup de temps pour discuter ce jour là, mais souvenez-vous que c’est grâce à eux que vous participez à l’évènement, ainsi que toutes les personnes présentes sur place.  Tout au plus, vous devrez quand même vous présenter à eux.

Votre plus grande priorité doit  être de comprendre la rationnelle derrière la liste des invités. Généralement, on publie en ligne la liste des invités avec leurs fonctions. Utilisez cette liste pour identifier les personnes avec qui vous allez devoir entrer en contact. Si l’invité doit venir avec une équipe, appuyez-vous sur les co-invités ou ses assistants pour vous aider à vous présenter.

Enfin, n’oubliez pas de faire usage des réseaux sociaux: apprenez à reconnaître les visages de ceux qui vous intéressent le plus et assurez-vous de les cibler d’abord avant de vous embrouiller à investiguer sur l’origine des chocolats gratuits.

5 – Faites comme si votre carte de visite était de l’argent 

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Vous avez certainement un grand nombre de cartes de visite, mais la capacité de rétention de votre mémoire elle, n’est pas illimitée.  Alors, au lieu de distribuer votre carte de visite à tout va pendant l’événement, gardez à l’esprit que pour un networking réussi, il faut  construire de véritables relations.  Vous n’iriez pas chez Target  pour jeter votre argent à la fenêtre en achetant tout et  n’importe quoi n’est ce pas? Ne faîtes donc pas pareil avec vos cartes de visite.  Ne soyez pas une «  Blackjack Betty ».

Prenez plutôt le soin de savoir où va votre carte de visite. Profitez de l’événement pour faire de vrais échanges avec les gens, écoutez autant que vous ne parlez (l’idéal serait de plus parler), mais écoutez vraiment. Comprendre les passions de quelqu’un vous sera utile pour construire  la relation que vous êtes venu chercher. Votre objectif sera  de donner votre carte de visite aux personnes avec qui vous avez passé du temps à discuter, ceux dont vous comprenez les passions et dont les objectifs sont les mêmes que les vôtres, et vice versa. Vous aurez plus de chance  de faire un suivi efficace  avec eux plus tard.

Source: Andrew Medal  https://www.entrepreneur.com/article/287791

Traduction de l’anglais: Davide Adams  www.languages-pro.com

 

Gabrielle, gabrielle@31.207.37.221 

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Les Ladies Talk, ce sont des ateliers de discussions sur des thèmes qui touchent la femme et son quotidien. Nous nous retrouvons en groupe de 20 personnes autour d’un apéritif dans un restaurant de la place en afterwork pour échanger. Nous voulons parler de la sexualité dans le couple, plus particulièrement : Comment gérer les MST dans le couple ? C’est un sujet d’actualité car de par notre éducation, certains sujets ont du mal à être abordé dans les couples.

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Ladies Talk est un atelier de discussion sur les problématiques qui touchent la vie de la femme moderne africaine. Dans ces workshop, tous les thèmes peuvent être abordés. L’objectif est de discuter et de trouver des solutions à des problèmes qui nous touchent dans notre quotidien. Prochain Ladies Talk le Mardi 28 Févier 2017

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Le management est l’art des apparences ! Et tout le monde peut être l’artiste qui occupe un poste de management. Mais combien d’entre vous réussissent à le faire ? Marie Curie disait : « Dans la vie, rien est à craindre ! Tout est à comprendre ! ».

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Je vous laisse vous inspirer de l’exemple de Marianne, jeune manager de 26 ans, qui nous raconte comment elle a fait pour être une jeune femme manager qui assure !

« La génération Y est entrée dans des postes de direction des décennies plus tôt que ceux qui les ont précédés. Et laissez-moi vous dire, le manque d’expérience et de formation en gestion est une combinaison dangereuse. J’ai été promue à un poste de chef d’équipe à 26 ans, moins d’un an après avoir été embauchée. Et j’ai galéré. Je n’avais aucune idée comment gérer les gens et j’étais team leader, en plus je devais superviser des personnes à l’étranger qui avaient deux fois mon âge avec deux fois plus d’expériences. J’ai pris ce défi comme une opportunité de croissance et j’ai passé une année à apprendre à être une excellente manager. »

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Voici quelques conseils non traditionnels d’un manager de 26 ans afin que vous ne fassiez pas les mêmes erreurs que moi :

  1. Ne pas apprendre par l’exemple

Ne sachant pas quoi faire, j’ai copié le style de gestion de mon patron parce que nous avions une relation de travail fantastique et productif. Ce fut un désastre. Il n’y a pas de style copier-coller pour gérer les gens, et pour être un bon manager, il faut pouvoir comprendre les gens. Essayez différentes techniques et prêtez attention à ce qui fonctionne jusqu’à ce que vous créiez votre propre style.

  1. Demandez de l’aide

Quand j’ai réalisé que je me noyais en tant que manager, j’ai contacté notre conseiller en ressources humaines pour obtenir de l’aide. Nous avions des réunions tous les mois pour que je puisse poser des questions et obtenir des commentaires sur des questions précises. J’ai lu des articles et des livres. J’ai demandé aux amis ce qu’ils ont aimé et n’a pas aimé dans leurs gestionnaires et obtenu des conseils de personnes qui dirigeaient des gens depuis des décennies.

  1. Imposez votre pouvoir

À 26 ans, je ne croyais pas que je devais être un leader. Je manquais de confiance, et comme les gens que je supervisais étaient mes pairs ou plus, je me sentais incapable d’être leur manager. Quand j’ai finalement acquis une certaine confiance et essayé d’affirmer une certaine autorité, cela n’a pas fonctionné parce qu’ils connaissaient déjà la personne peu experte que j’étais avant. Imposez votre pouvoir et votre autorité dès le premier jour, même si vous ne pensez pas que vous le méritez.

  1. N’ayez pas honte de réessayer

Vous avez commis des bévues le premier jour ? Gérez vos erreurs avec grâce. Admettez que vous n’êtes pas parfait, et réessayez. J’ai profité de l’occasion qu’il m’était donnée de rejoindre mon équipe sur le terrain pendant une mission pour créer une nouvelle culture. J’ai donné le ton en demandant à mon équipe ce qu’ils voulaient et de quoi ils avaient besoin. Nous avons rédigé une charte d’équipe décrivant nos valeurs, notre façon de travailler ensemble, nos attentes les unes des autres et leurs attentes envers moi en tant que leader. J’ai créé des liens réels et significatifs avec eux et tous les 3 mois, nous faisions le point sur notre charte, toujours en dehors du bureau. Ces points de contact ont été inestimables. Notre équipe était répartie dans deux bureaux, et même si nous étions en contact presque tous les jours, faisions tout pour nous connecter temps réel et assurer une collaboration efficace lorsque nous étions séparés. Si vous n’êtes pas satisfait d’un modèle qui a été créé, de trouver une occasion de le refaire et de reprendre le contrôle.

  1. Demandez-leur feed-back

Lors de nos réunions trimestrielles hors-site, mon équipe et moi revoyons la charte et nous nous assurons que chacun d’entre nous était à la hauteur des attentes et je leur demandais toujours s’il y avait quelque chose de plus que je pouvais faire. J’ai demandé à notre consultant en ressources humaines de demander leurs avis à  toutes les personnes qui n’étaient pas dans mon équipe afin que je puisse savoir ce que les gens pensaient de moi en tant que manager et comment je pouvais évoluer. J’ai appris mes forces, mes faiblesses et mes points de croissance. Mais tout aussi important, j’ai démontré l’engagement à être un bon leader et montré que les dirigeants peuvent être ouverts à la critique et ont besoin de contribution pour grandir. De nombreux gestionnaires et superviseurs pensent que la seule façon de gagner le respect et l’autorité est en se rendant intouchables. Essayez l’approche inverse: exposez votre nature humaine à votre équipe et montrez votre vulnérabilité.

  1. Choisissez parmi vos passe-temps des choses qui peuvent vous aider pour l’inspiration

J’ai trié mes intérêts personnels et choisi la nourriture, le yoga, et la productivité pour rassembler notre équipe. Pendant nos hors-sites, nous pouvions faire un atelier cuisine ensemble comme un exercice de team-building. La passion est un moyen immédiat de créer une connexion.

  1. Encouragez la croissance et soyez transparents sur vos lacunes

La croissance est un facteur nécessaire à la satisfaction au travail. J’étais clair avec mon équipe que je n’étais pas le be-all-end-all pour l’information et la croissance. Je me suis investi avec les ressources humaines pour leur trouver des formations professionnelles adéquates. La formation est un bon levier de management et la connexion de votre équipe avec d’autres experts montrera votre perspicacité et votre intelligence.

En un an, j’avais complètement retourné les choses et bien dirigé le vaisseau. J’avais une équipe connectée et efficace et mes supérieurs dans l’organisation ont vu que mon équipe était une des équipes les plus fortes. Prendre le temps et l’énergie pour devenir un bon manager tôt vous sera bénéfique tout au long de votre carrière. Faites-le en apprenant et en vous connectant intentionnellement avec les personnes que vous gérez.

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Et vous ? Êtes-vous une jeune manager ? Est-ce difficile pour vous ? Parlez-nous-en dans les commentaires !

 

Source: Levo.com    Traduction: LSPRO

Gabrielle                                                                                                                                                                              gabrielle@31.207.37.221 

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